Catégorie : Ville de Bruxelles

  • Le  MR regrette le surréalisme du Plan taxi qui prolonge les discriminations

    Le MR regrette le surréalisme du Plan taxi qui prolonge les discriminations

    Plan taxi à Bruxelles. Le MR dénonce une évolution inacceptable faite « de discriminations et de mépris ».

     

    « Le Gouvernement bruxellois a finalement cédé aux sirènes du lobby des taxis. Après 7 ans, il propose une réforme qu’il qualifie lui-même d’évolution, pas de révolution. Il dit même que ce plan taxi arrive « à son heure. Quel mépris pour un secteur qui attend depuis si longtemps une réforme ambitieuse où chacun a les mêmes droits et les mêmes obligations » commente David Leisterh, Président du MR Bruxelles.

     

    Une évolution insuffisante

    Plusieurs arrêts invalidant les décisions illégales du Gouvernement (date du 15 janvier, interdiction des licences flamandes et wallonnes, licences pour taxis éléctriques …), une dizaine de manifestations l’année dernière, des familles interdites de travailler le jour de Noël, des véhicules saisis illégalement, une ordonnance sparadrap initiée en urgence grâce à une majorité alternative. Tout cela illustre, selon les libéraux, l’attentisme coupable d’une majorité qui entend par ailleurs décider de tout par arrêté : numerus clausus, tarifs, procédures, composition des commissions, … soit une coquille vide adressée au Parlement.

     

    « On évolue. On reconnaît l’obsolescence de l’ordonnance de 1995. L’intérêt des plateformes comme Uber ou Heetch est enfin souligné et on propose enfin d’encadrer leur activité. On uniformise par ailleurs la durée de la licence et la formation des chauffeurs. Ces éléments sont positifs, mais ils sont minoritaires par rapport aux discriminations générées par la nouvelle ordonnance » continue le Vice-président libéral de la Commission Mobilité, David Weytsman.

     

    Une discrimination inacceptable pour les libéraux

    Selon lui, «si le Gouvernement se réjouit d’uniformiser le secteur, il laisse des droits différents sur la plupart des éléments importants. Numerus clausus différents, tarifs différents, impossibilité de céder les licences pour les LVC et non pour les taxis. Cette « discrimination » est tout simplement inacceptable pour les libéraux. Le Conseil d’État lui-même souligne cette incohérence : « Une telle différence de traitement est de nature à porter atteinte à la liberté d’entreprendre des actuels titulaires d’autorisation concernés » explique-t-il dans son avis.

     

    David Weytsman, député bruxellois :

    • « Les chauffeurs de taxi pourront par exemple continuer à prendre des courses privées en plus de la maraude et du recours aux plateformes là où les LVC sont obligés de recourir uniquement à ces dernières. Plus possible pour eux, donc, de prendre en charge un client via un hôtel, un site internet comme Booking ou une clientèle d’habitués. Pourquoi toutes ces discriminations ? L’ensemble du secteur est bénéfique pour la mobilité, la sécurité routière et la liberté de mouvement des personnes à mobilité réduite. C’est méprisant pour les LVC »
    • « Sur le numerus clausus, le Gouvernement annonce la couleur dès son exposé des motifs. Il dit qu’il faudrait que le Gouvernement fixe le nombre de taxis de rue à un niveau inférieur au nombre de véhicules actuellement exploités sous le couvert d’une autorisation de LVC. Ce n’est pas ce que demandent les Bruxellois ni ce qu’exigent les objectifs régionaux de mobilité. Ce n’est pas non plus ce qu’illustrait l’étude commandée par le Gouvernement. Ce Gouvernement doit laisser faire les gens qui souhaitent travailler à améliorer notre mobilité ».

     

    Le MR déposera dès lors une quinzaine d’amendements en vue de la prochaine Commission Affaires Intérieures.

  • Un manque de modernisation dans l’administration

    Un manque de modernisation dans l’administration

    Bertin Mampaka donnait une interview pour La Capitale. Le député bruxellois parle de son échevinnat lorsqu’il était échevin à la Ville de Bruxelles mais également du manque modernisation dans l’administration .

    Découvrez l’article complet ICI.

    Des regrets ?

    La Ville compte aujourd’hui près de 200.000 habitants avec des besoins en matière de crèches, de logements mais aussi d’infrastructures sportives. Et donc, mon regret, c’est de ne pas avoir pu reprendre la gestion du centre sportif de la Stib à Haren. Il est largement sous-utilisé, c’est un scandale ! J’aurais aussi voulu agrandir le centre sportif et la piscine de Neder-over-Heembeek et créer de petites infrastructures sportives dans des espaces de la Ville situés en intérieur d’îlot à Laeken.

    La compétence la plus difficile, c’est la propreté ?

    C’est la plus ingrate et la plus compliquée. S’il fait propre, les gens trouvent ça normal. Et s’il fait sale… Or, la Ville de Bruxelles est comme le living du pays. Il doit y traîner peu de mégots.

    Sinon, un regret vis-à-vis de la politique du collège actuel ?

    Il n’y a pas de vision à court et moyen terme dans la gestion du parc de logements. Le CPAS a-t-il vocation à gérer 2.700 logements ? Pourquoi ne pas les regrouper avec les 3.7000 de la régie en une seule gestion ? La situation actuelle est une ineptie. Ce serait aussi plus sain que l’échevin du Commerce puisse gérer les espaces commerciaux de la Ville, et de manière aussi efficiente que le privé.

    D’autres regrets ou critiques

    Philippe Close n’a pas réussi à moderniser l’administration etles fonctions dirigeantes. La Ville peine à remplacer l’ex-directeur de la régie foncière, par exemple. Faute de rendre ces fonctions de direction attractives et de nature à attirer des talents venus de l’extérieur. Et puis beaucoup d’échevins (actuels) exercent leur mandat comme des fonctionnaires…

    Stade Roi Baudouin : aucun projet de PS-Ecolo-DéFI

    Prenez le stade Roi Baudouin. Quel est le projet, le démolir ou le rénover ? Courtois (ex-échevin MR des sports) a eu le mérite d’essayer… Ici, on a une majorité PS-Ecolo-DéFI qui se trouve devant un chancre, sans projet. Les pylônes électriques, par exemple, un jour ils vont tomber. Il faudrait en remettre de nouveaux et refaire l’électricité.

    Vous estimez toujours qu’il n’y a pas assez d’employés d’origine subsaharienne à la Ville ?

    Quand j’étais échevin, tous mes collègues en avaient au moins un dans leur cabinet. Maintenant, je n’en vois plus un dans les couloirs de l’hôtel de ville ! Il n’y a pas de plafond de verre, il faut la volonté politique d’assurer une réelle diversité. Même chose dans la police où il y a très peu d’inspecteurs et de commissaires noirs.

    Comme député, vous voyez des choses avancer ?

    Ma plus grande fierté est d’avoir repris depuis 2004, avec Vincent De Wolf et Olivier de Clippele, le combat de l’allocation-loyer. C’est la seule manière, avec les AIS (agences immobilières sociales) de socialiser les logements privés. Cela va soulager pas mal de gens.

  • Bruxelles-Ville : La propreté, la priorité numéro 1 du MR

    Bruxelles-Ville : La propreté, la priorité numéro 1 du MR

    Chère voisine, Cher voisin,

    Du Centre-Ville à Laeken, du Quartier Européen à Haren en passant par l’Avenue Louise ou Neder-Over-Heembeek, un problème récurrent touche nombreux quartiers de notre Ville : l’absence de propreté publique !

    Des Bruxellois pas satisfaits

    Les constats sont connus (dépôts clandestins, poubelles qui s’amoncellent, déchets au sol, multiplication des incivilités…) et pèsent lourd sur notre qualité de vie. Les enquêtes d’opinion sont d’ailleurs unanimes : les Bruxellois ne sont pas satisfaits de la propreté dans leur Région et placent cette thématique dans le top 3 de leurs priorités. Un quartier sale va aussi de pair avec une baisse de la fréquentation et donc de la sécurité pour ses habitants et commerçants. C’est donc toute la vie sociale et économique d’un quartier qui souffre du manque de propreté.

    Des propositions concrètes du MR

    Malgré plus de 50 propositions concrètes avancées par le MR ces derniers mois, ni la Ville de Bruxelles, ni la Région de Bruxelles-Capitale, ne prennent de mesures fortes pour que la Ville soit à nouveau agréable et propre.

    Le MR, dans l’opposition régionale bruxelloise depuis bientôt 20 ans, veut faire de la propreté dans les quartiers une priorité absolue !

    Inspiré par d’autres villes propres, comme Malines, le MR propose, notamment, de :

    • Aborder les questions de propreté publique dans toutes les écoles. C’est aussi une question de protection de notre environnement !
    • Intensifier le nettoyage des rues, en particulier les axes commerciaux.
    • Mettre sur pied de véritables brigades de la propreté, composées de policiers et de volontaires chargés d’un travail de sensibilisation.
    • Durcir les sanctions pour auteurs d’incivilités et leur infliger, systématiquement, une peine de travail d’intérêt général.
    • Engager des gardiens de parc pour chaque espace vert.
    • Etendre le réseau de caméras à tous les points connus de dépôts clandestins.

    Au niveau communal, vos conseillers communaux interpellent, chaque mois, le Bourgmestre, Philippe Close (PS), et l’Échevine de la Propreté Zoubida Jellab (Ecolo). En parallèle, au niveau régional, les Députés libéraux déposeront une proposition exigeant du Gouvernement bruxellois de se doter de réels moyens de répression des infractions mais de clarifier les compétences institutionnelles afin de ne plus être confrontés à l’habituelle réponse : « cette voirie n’est pas du ressort de la commune mais bien de la Région… ».

    Nettoyons nos rues, rejoignez-nous !

    Enfin, dans les prochaines semaines, le MR à l’initiative des Jeunes MR de la Ville de Bruxelles organisera, à nouveau, des campagnes de ramassage des déchets. N’hésitez pas à nous contacter à l’adresse nettoyonsbruxelles@gmail.com si vous voulez nous rejoindre ou nous signaler un problème de propreté récurrent dans votre quartier.

  • David Weytsman, tête de liste à Bruxelles-ville pour 2024

    David Weytsman, tête de liste à Bruxelles-ville pour 2024

    « A Bruxelles ville, 50% des enfants naissent dans une famille sous le seuil de pauvreté. C’est un chiffre effrayant. Mais ce n’est pas une fatalité ».

    David Weytsman est la première tête de liste MR déclarée pour les prochaines élections communales du 13 octobre 2024. Il emmènera la liste de la ville de Bruxelles.

    Rencontre avec celui qui est aussi député régional bruxellois.

    On vous a vu dernièrement dans plusieurs médias pour parler des élections communales de 2024. Vous êtes déjà en campagne ?

    Le terme campagne n’est pas celui que j’emploierais aujourd’hui. Mais clairement, nous sommes toujours en action. Il est essentiel pour moi de préparer notre projet avec une équipe soudée.  Nous ne pouvons pas arriver à 6 mois des élections les mains dans les poches en nous demandant ce que nous voulons pour notre ville. La situation budgétaire et économique y est catastrophique !  En 2024, les enjeux sont trop importants. Il faut un programme économique fort. Grâce au travail de nos 11 conseillers communaux et CPAS et l’expertise de nos anciens Echevins, Geoffroy Coomans de Brachène et Bertin Mampaka, nous sommes mobilisés dès à présent.

    Quels sont les enjeux justement ?

    Le projet libéral est la seule alternative crédible à cette majorité de gauche qui court après l’extrême gauche. Notre ambition est claire. Nous souhaitons redynamiser notre Ville qui s’est massivement paupérisée ces dernières années. Les chiffres sont effrayants :  50% des enfants naissent dans une famille sous le seuil de pauvreté ; jusque 50% des jeunes au chômage dans certains quartiers ; plus de 10.000 personnes en attente d’un logement social et des milliers de commerçants dans le rouge.

    Il faut un projet fort et en finir avec cette stratégie inutile de la confrontation entre Bruxellois sur des sujets aussi importants que la mobilité, la sécurité et la protection espaces verts. Nous souhaitons en finir également avec cette attitude fataliste des autorités bruxelloises. On doit arrêter de trouver normal qu’à Bruxelles, il fasse sale, qu’on se fasse agresser, qu’on ait peur dans les transports en commun, qu’on mette 20 minutes pour se garer, qu’on galère pour trouver un logement. Nous devons, enfin, arrêter de trouver normal qu’à Bruxelles, il faille connaître quelqu’un au Collège pour trouver un logement social, une crèche ou un emploi. L’insécurité, la malpropreté, le chômage, le clientélisme et la pauvreté ne sont pas des fatalités !

    Comment mobilisez-vous les forces pour créer ce projet ?

    Avant tout avec Alexia Bertrand et David Leisterh qui ont initié un important travail tant au Parlement que dans tous les quartiers.  Je partage d’ailleurs l’enthousiasme de David pour le porte-à-porte, dans tous les quartiers !

    Ensuite grâce à Florence Frelinx, la nouvelle Présidente du MR de la Ville de Bruxelles, qui a présenté une nouvelle équipe et déjà lancé de nombreuses activités.

    Ensuite, avec notre équipe à la Ville, nous avons décidé de créer 15 groupes de travail autour de 15 questions essentielles pour notre mouvement. Ces groupes seront composés de politiques, de militants mais aussi d’acteurs de terrain et d’experts. En 2022, les 600 membres du MR de la ville de Bruxelles seront invités à participer à l’un ou plusieurs de ces groupes de travail.

    En attendant, je vous donne à toutes et tous rendez-vous pour le « Bal des Libertés » qui aura lieu ce 18 juin ! Plus de détails à suivre.

  • Le MR souhaite réglementer le secteur des trottinettes à Bruxelles

    Le MR souhaite réglementer le secteur des trottinettes à Bruxelles

    Nos députés David Weytsman et Anne-Charlotte d’Ursel ont déposé une proposition au Parlement bruxellois qui a pour ambition de règlementer le secteur de la micromobilité à Bruxelles.

    Le développement de ces formes de mobilité alternatives permet à la Région d’atteindre ses objectifs de report modal et de lutte contre la congestion automobile et la pollution de l’air.

    Parmi les mesures demandées au Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, se retrouvent une réforme du mécanisme de licence des opérateurs, la création de drop-off zones obligatoires, l’assouplissement de la redevance imposée aux opérateurs en fonction de la réalisation de missions de service public telle qu’une couverture du territoire régional, des réalisations de campagnes de sécurité routière ou encore des projets pilotes avec la STIB.

    La proposition :

    [pdf-embedder url="https://site.mrbruxelles.be/wp-content/uploads/2022/02/proposition-micromobilit%C3%A9.pdf" title="proposition micromobilité"]

  • Port de signes conventionnels : un manque de cohérence de la Ville de Bruxelles

    Port de signes conventionnels : un manque de cohérence de la Ville de Bruxelles

    Le MR a déploré ce lundi 31 janvier, le « manque de cohérence » du collège échevinal dans le dossier du port de signes convictionnels à l’Institut Francisco Ferrer.
    En effet, le collège des bourgmestre et échevins n’est pas allé en appel du jugement du tribunal de Première instance de Bruxelles. Ce dernier avait estimé le 24 novembre 2021 que le règlement scolaire discriminatoire sur son volet interdisant le port de signes convictionnels.

    Des professeurs se mobilisent

    Depuis cette annonce, des professeurs se mobilisent pour introduire un recours en tierce personne. La Haute École Libre de Bruxelles, qui offre une formation en codiplomation avec l’institut Francisco Ferrer, et le Centre d’action laïque (CAL) ont franchi ce pas. Toutefois, le Collège de la Ville de Bruxelles a laissé passer le délai pour aller en appel.

    Respect de la neutralité

    Pour la conseillère communale Céline Vivier (MR) cette attitude s’inscrit « en opposition complète avec la longue et forte tradition de neutralité et de respect de celle-ci dans l’enseignement de la Ville de Bruxelles. Et pourtant, le bourgmestre prétend continuer à défendre la neutralité, mais il laisse donc dans les faits aux autres le soin de le faire… », a-t-elle déploré.

    Lire l’article complet ICI.

  • Liberté N°2 – Le magazine du MR de la Ville de Bruxelles

    Liberté N°2 – Le magazine du MR de la Ville de Bruxelles

    Retrouvez ci-dessous la seconde édition du Magazine "Liberté" édité par le MR de la Ville de Bruxelles.

    Bonne lecture.

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  • Économie, emploi, propreté : la Ville de Bruxelles perd en attractivité

    Économie, emploi, propreté : la Ville de Bruxelles perd en attractivité

    La Ville de Bruxelles perd en attractivité. David Weytsman et Geoffroy Coomans avancent plusieurs propositions. Les deux libéraux pointent du doigt la Ville de Bruxelles concernant l’économie, l’emploi, la propreté publique et la gestion des grands projets.

    L’économie est une priorité

    Pour David Weytsman, la priorité absolue doit être l’économie. Selon lui, l’échevin du Commerce Fabian Maingain (DéFI) « ne comprend pas les soucis des commerçants » et la nécessité d’aider tous les commerces en difficulté de manière ciblée en fonction du chiffre d’affaires. Les appels à projet et les bons-cadeaux octroyés aux clients sous forme de réduction nécessitent des efforts administratifs de leur part dont ils se passeraient bien.

    Un citymarketing pour relancer l’emploi des jeunes

    Tout d’abord, les deux libéraux proposent un city marketing. Cet endroit servirait d’outils marketing pour relancer l’emploi des jeunes dans les quartiers entre autres des Marolles, Anneessens et Laeken.

    Dans ces endroits, avant la crise, le chômage atteignait jusqu’à 40%. Des études prouvent qu’il augmentera dans les deux prochaines années. Dès lors, il est primordial de se concentrer sur ce point. « Les jeunes qui vivent connaissent plus Actiris pour les contrôles que Bruxelles Formation faute de maisons de l’emploi« .

    Pour inverser cette tendance, il faut supprimer les taxes économiques, soutenir les investissements privés et attirer des incubateurs.

    Une trop faible consultation de la Ville

    Le mot « participation » se retrouve 47 fois dans l’accord. Toutefois, les comités de quartier se plaignent d’une trop faible consultation par la Ville, notamment en matière de propreté publique. La Ville de Bruxelles est sale mais l’information ne remonte pas. Les comités de propreté ont également été supprimés.

    En outre, le budget est monopolisé à 94% par la composante PS du collège. Il y a un déséquilibre criant entre les familles politiques.

    Une gestion hasardeuse des grands projets

    Enfin, ils reprochent une gestion hasardeuse de plusieurs grands projets. Il s’agit notamment de la fusion d’hôpitaux sans l’aval des conseil médicaux, le Bois de la Cambre, le projet de rénovation de la Bourse dont le coût dérape ou encore du futur commissariat central.

     

    Retrouvez l’article de la DH ICI.