Catégorie : Uccle

  • Bruxelles, un peu moins solidaire

    Bruxelles, un peu moins solidaire

    Une proposition du MR et du CDH visant à maintenir dans le temps une plateforme cruciale d’entraide entre les citoyens s’est vue bloquée au Parlement bruxellois par la majorité ce vendredi 11 février 2022.

     

    Aujourd’hui, la majorité bruxelloise s’est opposée à une proposition portée par les Députés Aurélie Czekalski (MR), David Leisterh (MR) et Gladys Kazadi (CDH) visant à pérenniser une plateforme solidaire au niveau bruxellois.

     

    Durant la crise du Covid, ont été créées successivement “Brussels Helps” et “Connecting Brussels”, la deuxième remplaçant la première. En travaillant avec des asbl, les autorités de la Région bruxelloise voulaient apporter une aide pour les personnes les plus impactées par la crise: les personnes âgées, les célibataires, les étudiants, les jeunes adultes, les expatriés et tous ceux qui se sentaient accablés par l’isolement.

    L’objectif était de mettre ces personnes en relation avec d’autres qui voulaient trouver un sens dans cette période de crise, qui voulaient rendre service et aider leur voisin, leur voisine. Cette plateforme pour renforcer la solidarité intergénérationnelle avait donc tout son sens.

     

    Les résultats furent extrêmement positifs. A la date du 25 mai 2020, soit trois mois après le lancement de la plateforme, le nombre total d’aides pour Bruxelles s’élevait à 351. Quant au nombre de personnes qui ont proposé d’aider, il s’élevait à 2511 !

     

    Les aides qui peuvent être fournies sont variées: une discussion chaleureuse, s’occuper de démarches administratives, tenir compagnie pendant une promenade, bricoler, cuisiner un repas, se rendre à la pharmacie ou livrer des courses. Chaque engagement a son importance, petit ou grand, cela a contribué à rendre notre Ville-Région plus conviviale.

     

    “On ne parle pas de politique politicienne ici mais de valeurs humaines, de vivre ensemble, d’intergénérationnel. Nous ne devons laisser personne au bord du chemin. C’est notre rôle de faciliter ces liens humains et cette entraide. Une société inclusive passe aussi par ce type de soutien”, ont rappelé les co-signataires du texte.

     

    Si cette plateforme n’avait pas pour vocation de continuer post-crise, les Députés Czekalski, Leisterh et Kazadi proposaient de la maintenir car les besoins des personnes les plus fragiles ne s’arrêtent pas du jour au lendemain. De plus, la cause des besoins peut être bien différente en fonction de la situation des personnes et continuer bien après la fin du Covid.

     

    “Les contacts humains sont la base de cette société et la crise semble avoir rendu les citoyens moins individualistes. Profitons de cet élan de générosité qui est né il y a deux ans et faisons le perdurer, faisons perdurer l’entraide dans les quartiers”, a exhorté Aurélie Czekalski en séance plénière.

     

    La majorité en a jugé autrement…

  • Horeca, monde de la nuit et culture à Bruxelles : il faut urgemment un plan Marshall !

    Horeca, monde de la nuit et culture à Bruxelles : il faut urgemment un plan Marshall !

    A l’heure où le Comité de concertation devrait relâcher les restrictions liées à la situation sanitaire, le Mouvement Réformateur bruxellois demeure extrêmement préoccupé par la situation dans l’HORECA, le monde de la nuit et la culture non subventionnée.

     

    Il faut travailler sur trois axes pour tenter de limiter les dégâts économiques et humains dans ces secteurs qui occupent un volume d’emploi important et font vivre Bruxelles.

     

    David Leisterh, Président du MR Bruxellois et député régional, et Clémentine Barzin, députée MR, ont rencontré de nombreux acteurs ces dernières semaines. Le constat est clair : même si le secteur de la nuit pourra probablement lui aussi à nouveau accueillir cette fête à laquelle tout le monde aspire depuis deux ans, les entreprises de ces secteurs n’y sont pas, à la fête, et pour longtemps encore.

     

    En cause, le poids de la dette créée durant la crise, mais aussi, la perte de chiffres d’affaires dus aux fermetures, à la baisse de capacité d’exploitation ou à la perte de +/- 30 % de clients en télétravail pour l’Horeca.

     

    Dans ce cadre, Bruxelles devra grandement son redressement économique à la bonne santé de son horeca, de son secteur de la nuit et de ses entreprises culturelles. « C’est essentiel pour notre attractivité : aider l’HORECA, c’est aider au redéploiement de toute la Région », souligne David Leisterh. C’est pour cette raison que le MR a rencontré différents acteurs de terrain ce mardi pour faire le point.

     

    Suite à ces rencontres, nous demandons :

     

    1. La réouverture du secteur de la nuit lors du prochain CODECO au vu de l’amélioration de la situation sanitaire et des investissement lourds qui avaient déjà été réalisés en matière de protocole sanitaire par les acteurs du secteur.
    2. La mise sur pied d’une TASK FORCE composée des autorités fédérales et régionales mais aussi des acteurs de terrain afin de développer un Plan Marshall bruxellois qui doit aider à reconstruire tous ces secteurs et, derrière, toute une région. Où sont les aides promises ? Les professionnels les attendent depuis la mi-décembre ! Il faut s’assurer d’un soutien économique efficace.
    3. Où sont les indemnités promises au secteur bruxellois pour compenser les inégalités en termes de primes avec la Région wallonne et flamande.

     

    Et pour cause, les constats sont nombreux dont, entre autres, l’amnésie de certaines institutions publiques quant aux crises de ces dernières années (qui remontent aux attentats terroristes) et le peu de clémence que ça engendre auprès d’un secteur dont même des institutions qui ont pignon sur rue reçoivent des menaces de faillite si telle ou telle dette vis-à-vis de l’Etat n’est pas directement payée.

     

    En parallèle, d’autres sociétés bien connues ont vu leur trésorerie fondre comme neige au soleil et ne comprennent toujours pas les disparités régionales en termes de primes octroyées. La concurrence régionale va aujourd’hui battre son plein et Bruxelles ne peut pas perdre cette bataille-là aussi.

     

    L’urgence est aujourd’hui différente : nous ne devons plus saupoudrer une aide similaire à l’ensemble des acteurs mais plutôt développer une approche micro-économique dans le cadre d’un plan Marshall savamment étudié qui aide intelligemment les acteurs économiques bruxellois à se redresser et à redresser l’emploi bruxellois.

  • Bois de la Cambre : un nouvel appel en justice contre la Ville de Bruxelles

    Bois de la Cambre : un nouvel appel en justice contre la Ville de Bruxelles

    La commune d’Uccle se tourne à nouveau à a justice face à la Ville de Bruxelles concernant le Bois de la Cambre.

    Rappel des faits

    Souvenez-vous, au printemps 2020, lors du premier confinement, la Ville de Bruxelles décide de fermer le Bois de la Cambre afin que les Bruxellois puissent profiter pleinement de la nature. Hic à cette décision : les automobilistes et la qualité des quartiers. En effet, en juin 2020, lorsque le premier confinement prend fin, la vie reprend doucement son cours et la circulation se remplit. Or, avec la fermeture du Bois de la Cambre, des bouchons apparaissent et c’est la commune d’Uccle qui voit apparaitre de grandes nuisances dans ses quartiers, au point que la qualité de vie y baisse drastiquement.

    Procédure judiciaire lancée par la commune d’Uccle

    Suite au dialogue de sourds entre Uccle et la Ville de Bruxelles où cette dernière refuse de rouvrir le Bois malgré les gros problèmes de circulation, Uccle décide d’aller en justice. En novembre 2020, le tribunal de première instance de Bruxelles donne raison à Uccle. Le juge considère illégale la fermeture totale de la boucle sud du bois. La Ville de Bruxelles doit changer la situation. Quelques semaines plus tard, elle procède à une réouverture partielle. Les automobilistes peuvent réemprunter la Drève de Lorraine pour rejoindre l’avenue Franklin Roosevelt, via une partie des avenues de Boitsfort et du Brésil. La Ville de Bruxelles respecte ainsi l’ordonnance rendue en première instance.

    Toutefois, pour Uccle et son bourgmestre (Boris Dilliès), la Ville de Bruxelles a certes respecté la décision judiciaire mais a minima et la réouverture partielle n’est pas suffisante. « Une fois la fin du télétravail, la situation risque d’être à nouveau intenable« , explique Boris Dilliès. « Ce n’est pas par plaisir qu’on va devant les tribunaux. Ça ne m’amuse pas ! Si j’y suis obligé, c’est que, depuis le départ, la Ville a affiché le plus grand mépris vis-à-vis de la défense des Ucclois ».

    Retrouvez l’article complet du journal Le Soir ICI.

  • Des subsides à tire-larigot

    Des subsides à tire-larigot

    La Ministre Groen de la Mobilité distribue des subsides dans le cadre de l’appel à projets « Bruxelles en vacances » à tire-larigot. Un réel saupoudrage de l’argent public pour des projets superflus. « Dans un contexte économique où des entrepreneurs et des familles entières sont à l’agonie, il est difficile pour la population de comprendre un tel gaspillage de l’argent public… », estime la Députée MR Aurélie Czekalski.

     

    En avril dernier, le Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale a relancé l’appel à projets « Bruxelles en vacances » pour inviter les organisations à s’approprier l’espace public avec des projets qui créent du lien entre les habitants et qui mettent en pratique certains des objectifs de « Good Move ».

     

    En 2020, le montant total pour les 46 projets qui ont été retenus, s’élevait à peu plus de 500.000 euros. Pour les 49 projets de 2021, le budget total est de 591.602,51 euros. « Plus d’un million en deux ans qui auraient pu servir à soutenir les différents secteurs qui souffrent cruellement de la pandémie de la Covid-19 et qui ont du mal à remonter la pente », souligne la Députée libérale. Un montant dont la répartition géographique laisse également à désirer. Par exemple en 2021, la Ville de Bruxelles est subsidiée à hauteur de 20 % des projets soit 107.492 euros tandis que la Commune d’Etterbeek 0 %. De plus, pour 29 des 49 projets, ce sont des porteurs de projets qui réitèrent un projet (identique ou différent).

     

    En comparaison, la Vlaamse Gemeenschapscommissie (VGC) a décidé de débloquer, en mars 2021, 280 000 euros dans le cadre de « Staycation BXL ». La VGC a choisi 120 projets, en juin 2021, qui s’inscrivent dans les catégories suivantes: les plaisirs sportifs, les plaisirs d’art, les plaisirs numériques et les plaisirs ludiques. Ils soutiennent plus de projets et dans des catégories plus vastes. Cela permet de rencontrer de manière plus large les attentes en la matière de la part des Bruxellois.

     

    Depuis deux ans, également, certains des projets subventionnées posent question. En 2020 par exemple, le « Citizen Bike Garden » a été subsidié par la Région bruxelloise à hauteur de 5.000 euros pour une installation qui est restée en place en tout et pour tout deux mois ! « On peut se demander si la Ministre et le Gouvernement bruxellois ont trop d’argent ? Il faut arrêter de jouer avec l’argent public ! On gaspille tout simplement l’argent public dans des aménagements qui ne sont pas pérennes ! Il faut voir où on met le curseur. Cet argent n’a pas toujours été distribué à bon escient. Ceci au détriment, par exemple, d’activités culturelles ou sportives, d’aide aux seniors, d’inclusion dans la ville. Ils ont raté le coche oubliant certains secteurs qui auraient eu besoin d’une aide appropriée… », critique la Députée Aurélie Czekalski.

     

    En 2021, le projet « Bye bye Leopold Destination Simonis » a été subventionné à hauteur de 10.000 euros. Il s’agit d’une structure mobile qui représente une copie de la statue de Léopold II située à la place du Trône. Cette structure va être vecteur de tensions. Le Gouvernement bruxellois a choisi de soutenir l’un des sujets les plus clivants et facteur de tension en Belgique tant les débats et manifestations sur la décolonisation de l’espace publique ont causé débordements et animosités à Bruxelles ces dernières années. Il est difficile de comprendre la logique de soutenir un tel projet. Il ne s’agit pas ici de l’idée du siècle.

     

     

    « Nous sommes bien loin de la bonne gouvernance prônée par Ecolo-Groen depuis de nombreuses années. Une fois au pouvoir, ils ont rapidement mis leurs grands principes de côté. », déplore la Députée libérale. Le Gouvernement bruxellois n’a aucune culture de la gestion financière. C’est un des maux bruxellois : saupoudrer n’importe comment l’argent au lieu d’investir massivement dans un projet concret et surtout structurel. Aucune ambition, aucune vision, juste jeter l’argent par la fenêtre pour des projets éphémères et dont on peut s’interroger légitimement sur l’intérêt.

     

     

  • « À Bruxelles, c’est la bérézina à tous les étages »

    « À Bruxelles, c’est la bérézina à tous les étages »

    Les députés bruxellois Clémentine Barzin et David Leisterh ont dénoncé la situation problématique à Bruxelles avec la mise en place imminente d’un Covid Safe Ticket.

     

    La Députée bruxelloise MR  Clémentine Barzin a évoqué, ce jour, en Commission des Affaires Économiques, toute la dimension du Covid Safe Ticket suite à l’annonce de son installation relayée par la presse.  Elle a notamment insisté sur les nouvelles différences créées entre les Régions et qui pénalisent à nouveau Bruxelles en raison de l’échec du Gouvernement bruxellois sur la vaccination.

     

    La levée des restrictions COVID depuis le 1er septembre sauf en Région bruxelloise prive aujourd’hui le secteur HORECA de la possibilité d’augmenter le nombre de personnes à table, d’accueillir davantage de clients, de servir au bar et d’ouvrir au-delà d’une heure du matin.

    La Députée déplore que cette restriction ne semble pas avoir été concertée avec les représentants du secteur HORECA dont les établissements subissent de plein fouet l’échec de la politique de vaccination mise en œuvre à Bruxelles malgré les nombreux signaux d’alarme des derniers mois.

     

    « L’annonce, en suite de la panique, d’un pass sanitaire ou de l’élargissement du Covid Safe Ticket, aujourd’hui avec des fuites dans la presse évoquant plusieurs secteurs concernés, divise et soulève de nombreuses interrogations quant à son efficacité sur le public non vacciné, déclaré « précarisé », dénonce Clémentine Barzin.   J’imagine que le gouvernement et votre collègue le Ministre de la Santé ont étudié l’impact d’une telle mesure sur le public visé, ont évalué précisément que restreindre encore l’accès aux bars et aux restaurants de même qu’à d’autres secteurs s’avérera efficace pour accélérer la vaccination et que vous avez sondé la population bruxelloise pour vous assurer de l’efficacité d’une telle mesure avant de l’annoncer ».

     

    Une situation pénalisante pour Bruxelles

     

    En guise de réponse, la Secrétaire d’État bruxelloise à la transition économique a fait un rétroacte et est restée très évasive. Aucun élément n’a été fourni concernant la durée du Covid Safe Ticket ou sur les modalités de ce dispositif alors que nous sommes en pleine urgence. Rien non plus sur la circonscription des mesures aux zones identifiées comme les plus problématiques en termes de vaccination.

     

    Par ailleurs, ces mesures vont avoir pour conséquences une concurrence directe avec les commerces hors de la Région bruxelloise. Un commerce d’Uccle où la vaccination est totalement satisfaisante risque de voir partir des clients vers le brabant wallon et le brabant flamand, ceci est extrêmement pénalisant.

     

    « L’absence de réponse sur la concertation préalable des secteurs et sur l’analyse d’impact des mesures montre une grande impréparation, avec le risque, d’une part, que les mesures prises ne soient pas une réponse à la faiblesse de la vaccination à Bruxelles et, d’autre part, que les conséquences économiques soient à nouveau plus lourdes à Bruxelles. Les commerçants bruxellois ont déjà assez subi : les conséquences inéluctables de la crise sanitaire, avec des aides plus faibles et plus tardives, que pour ne pas subir aujourd’hui les conséquences de l’incurie du gouvernement en matière de vaccination. »

     

    Le MR bruxellois reste fort préoccupé par l’évolution de la situation sanitaire à Bruxelles et regrette que les autorités bruxelloises n’aient pas réagi plus tôt face au manque d’adhésion à la vaccination visible dès le mois d’avril :  » Nous n’acceptons pas que l’économie bruxelloise soit systématiquement la victime collatérale des échecs du gouvernement bruxellois. Primes insuffisantes, relance du tourisme loupée, échec de la vaccination…C’est un peu la Bérézina à tous les étages. » dénonce David Leisterh, Président du MR bruxellois.

     

  • Uccle : les commerçants reçoivent un million d’euros de la commune

    Uccle : les commerçants reçoivent un million d’euros de la commune

    Les commerçants ucclois vont recevoir un million d’euros. En effet, le comité de concertation n’ayant pas donné de date de réouverture pour l’horeca, la commune d’Uccle a décidé d’agir. Un million d’euros seront mobilisés pour aider les 850 à 900 entreprises uccloises.

    Rembourser le précompte immobilier

    Valentine Delwart (MR), échevine des Finances, précise : « Le remboursement vise surtout les commerces qui sont restés fermés depuis le 1 er janvier. Il ira de 500 à 1500€, au prorata du nombre de mois de fermeture. ».

    Cette prime sert à rembourser de manière anticipée la part du précompte immobilier pour 2021 due à la commune. Cette aide permettra aux commerçants de couvrir, en partie, leurs frais fixes.

    Un complément pour endiguer les faillites éventuels des commerçants

    Votée à l’unanimité, cette mesure va permettre d’endiguer les faillites. En effet, sur 100 % des entreprises d’Uccle en bonne santé en mars 2020, 40 % d’entre elles sont en difficulté un an plus tard.

    « Les entreprises qui avaient une activité économique saine il y a un an sont étranglées aujourd’hui. C’est une mesure essentielle pour préserver l’économie de la commune. », indique l’échevine.

    Lire l’article complet de La Capitale ICI.

  • Kauwberg : un site plus écologique

    Kauwberg : un site plus écologique

    Le site du Kauwberg va recevoir un important travail de restauration écologique. Suite à une question d’Aurélie Czekalski, le Ministre de l’Environnement confirme que Bruxelles Environnement travaille à l’élaboration d’un schéma d’orientation pour rendre le site plus écologique.

    Une biodiversité déjà importante

    Pour rappel, le site du Kauwberg est un espace vert de près de 53 hectares. Cet espace de qualité est classé en zone Natura 2000 depuis 2015. La Région est devenue propriétaire de la plus grande partie du lieu en 2019. Bruxelles Environnement en assure la gestion.

    La biodiversité est importante mais il est possible de faire du Kauwberg un site exemplaire en matière d’écogestion et de préservation de la biodiversité, conformément à son classement Natura 2000. Il s’agit en effet d’un endroit présentant un grand potentiel pour le bien-être des Bruxellois.

    Comment rendre le site encore plus écologique ?

    Pour réaliser cette tâche, le Gouvernement compte réaliser un travail d’entretien et de sécurisation de la zone et en établissant un équilibre entre la fonction écologique et les fonctions plus récréatives.

    Aurélie Czekalski et le MR bruxellois se réjouissent de l’attention portée par la Région bruxelloise à la gestion du Kauwberg. Ce site fait la fierté de nombreux Ucclois.

    Enfin, la députée a également encourager la Région à continuer de collaborer avec la commune d’Uccle à ce sujet. Toutefois, il est aussi important de présenter ce plan de gestion aux riverains, aux associations, etc.

     

    Retrouver l’article complet de La Capitale en cliquant ICI.

  • La région Bruxelloise lance Mymarket.brussels, une idée initiée par Valentine Delwart (échevine MR Uccle)

    La région Bruxelloise lance Mymarket.brussels, une idée initiée par Valentine Delwart (échevine MR Uccle)

    Le 1er décembre 2020, la Région Bruxelloise lance son site d’e-shopping local. Rassemblant des dizaines de magasins indépendants, la plateforme permet de bénéficier de toutes les facilités du shopping en ligne tout en soutenant le commerce bruxellois.

    Le commerce local contre la crise

    L’affirmation faisait déjà consensus avant la crise sanitaire, et ce peu importe la couleur politique : il faut privilégier l’achat local plutôt que des géants tels qu’Amazon. Après la crise sanitaire, le bon sens nous conforte dans cette idée. Pourtant, difficile d’acheter local lorsqu’on a peur de sortir de chez toi. Dans cette optique, le projet MyMarket.brussels offre une solution.

    Le projet numérique propose aux consommateurs d’acheter des produits de différents magasins sur une même plateforme, puis de se faire livrer ou choisir une option de retrait « click and collect ». On y trouve de tout : alimentation, soins du corps, vêtements pour bébés ou encore jouets, le site se base sur la formule gagnante du géant Amazon, le volet local en plus. Certains commerces ne vendent pas directement sur la plateforme mais restent trouvables. L’idée, c’est de créer une sorte « d’annuaire en ligne » du commerce bruxellois.

    Le projet au sang bleu

    Un premier projet similaire avait été lancé à Ixelles au printemps dernier. Un autre est le fruit du travail de l’échevine du commerce d’Uccle, Valentine Delwart. Cet été, elle a imaginé les contours de la plateforme jusqu’à faire dessiner le site actuel par une agence digitale. L’échevine savait qu’il fallait élargir la plateforme à l’ensemble de la Région pour lui offrir un réel poids, et c’est gagné.