Catégorie : Ganshoren

  • Devenez ambassadeur pour le MR Bruxelles

    Devenez ambassadeur pour le MR Bruxelles

    Chères amies,
    Chers amis,

    Sophie, Hadja et Michel et moi sommes honorés de la confiance qui nous est témoignée et nous mesurons bien les responsabilités qui seront les nôtres: mener les listes fédérales et régionales vers la victoire le 09 juin 2024.

    La dynamique que nous avons créée repose largement sur vous. Et en cette année de mobilisation, nous comptons sur vous pour porter notre projet libéral. Jusqu’au vote, chaque geste, chaque action comptera. Consacrez nous un peu de temps et devenez un ambassadeur libéral en complétant ce formulaire. La campagne commence aujourd’hui, grâce à vous et avec vous.

    Amitiés,
    David Leisterh

  • Les libéraux s’unissent à Ganshoren

    Les libéraux s’unissent à Ganshoren

    À Ganshoren, les libéraux du MR et de l’Open Vld s’unissent pour faire campagne et liste commune aux élections communales d’octobre 2024, emmenés par le chef de file, Stéphane OBEID.

    Il y a déjà quelques mois, les libéraux francophones du MR et flamands de l’Open VLD déclaraient vouloir unir leur forces dans les 19 communes bruxelloises pour forger une région capitale plus forte.

    Ce lundi 21 novembre, les libéraux ganshorenois – séparés depuis près de 30 ans – ont annoncé qu’ils s’uniront pour former une liste « Open MR » à l’occasion des élections communales du 13 octobre 2024. La liste sera menée par Stéphane Obeid, actuel président de la section MR de Ganshoren et Premier Echevin de la commune. «Je salue ce rapprochement. 2024 sera une année capitale sur le plan électoral et les libéraux en rangs serrés pour défendre un projet ambitieux à la fois sur le plan communal et régional » assure David Leisterh, Président du MR Bruxelles.»

    Avec cette union, les libéraux aspirent à se redonner enfin de la cohérence et espèrent bien renforcer les bancs du Conseil communal pour défendre leur vision de la commune.

    « Je suis honoré d’emmener cette liste unie pour porter les valeurs libérales ; représenter, défendre, promouvoir et mettre en valeur ma commune ainsi que, bien évidemment, pour proposer aux Ganshorenois un projet politique qui puisse les rendre fiers et heureux de vivre à Ganshoren », déclare Stéphane Obeid, Président du MR de Ganshoren.

    « Nous allons maintenant nous atteler à confectionner ensemble une liste qui présentera des candidats aux multiples talents, une liste qui soit la plus convaincante possible », précise Luc Crahaij, Président de l’Open VLD de Ganshoren.

    Ce rapprochement Open MR, qui poursuit la dynamique notamment initiée à Jette, « témoigne de la volonté d’approfondir et de renforcer l’alliance des libéraux bruxellois pour forger une Région capitale plus forte », assure Thomas Ryckalts, président de l’Open VLD en région de Bruxelles-Capitale.

  • Gestion des déchets : Ganshoren innove

    Gestion des déchets : Ganshoren innove

    L’obligation de tri des déchets organiques rentrera en vigueur au niveau européen, en 2024. Il est donc temps de se préparer. Au niveau régionale, la collecte des déchets n’est pas encore modernisée sur ce point là. Sous l’impulsion de Stéphane Obeid (MR), premier Échevin de Ganshoren, la commune a la solution !

    Une gestion locale…

    En vue de cette nouvelle obligation européenne, un nouveau centre de biométhanisation doit voir le jour à Haren… en attendant, les déchets voyagent toujours jusqu’à Ypres… sauf les déchets des ganshorenois !

    8700 kg de déchets alimentaires et organiques récoltés sur l’ensemble de la commune… Et compostés dans la localité !

    … pour une récolte originale !

    Fini les vieux camions de poubelles pour récolter les déchets organiques. On est en 2022 donc la mode, c’est le vélo ! Et pas n’importe lequel… un vélo cargo, rebaptisé le « cycl’organique ». La commune a également la volonté de developper les composts de quartier.

    Un pied de nez à la Région

    La gestion des déchets est une compétence régionale, mais Stéphane Obeid a pris l’initiative de décentraliser cette compétence. Selon lui, pour répondre à cette nouvelle problématique, il est primordiale que les communes coopèrent avec la région.

  • Ganshoren : des actions concrètes contre la malpropreté

    Ganshoren : des actions concrètes contre la malpropreté

    Chères riveraines, Chers riverains,

    Comme vous pouvez chaque jour le constater, les avenues Charles-Quint, Jacques Sermon ou encore de l’Exposition Universelle connaissent d’importantes difficultés de propreté publique. On ne compte plus les déchets qui s’accumulent et les dépôts clandestins, les encombrants, les tags qui maculent notre environnement urbain.

    La propreté, une priorité !

    Cette situation ne peut plus durer. Elle n’est d’ailleurs malheureusement pas spécifique à notre quartier. Les enquêtes d’opinion sont unanimes : les Bruxellois ne sont pas satisfaits de la propreté dans leur région et placent cette thématique dans le top 3 de leurs priorités. On pourrait croire que le Gouvernement régional l’a compris puisque l’Agence Bruxelles-Propreté a vu sa dotation augmenter de 244% en 15 ans (186 millions en 2020) ! Hélas, la gestion de l’Agence a été plusieurs fois dénoncée par la Cour des Comptes. Pire, malgré une augmentation du personnel tout aussi impressionnante (+20% en 5 ans), la propreté à Bruxelles reste un vrai problème qui a entamé la crédibilité du Gouvernement, l’image de Bruxelles, mais aussi la motivation du personnel.

    Le MR, dans l’opposition régionale bruxelloise depuis bientôt 20 ans, veut rendre à Bruxelles ses lettres de noblesse et faire de la propreté une priorité en s’inspirant d’autres villes proches et plus propres, à l’instar de Malines, mais aussi en s’alimentant de votre expérience dans votre commune. Le manque de propreté est en effet précurseur de nombreuses situations négatives: un quartier sale est synonyme de quartier peu sécurisé pour ses habitants. Il est alors moins fréquenté, ce qui fait souffrir les commerces des alentours et par extension toute la vie économique du quartier.

    Des actions concrètes

    Pour enrayer cette dynamique, le MR propose la mise en place d’actions concrètes. Au niveau communal, Stéphane Obeid, 1er Echevin en charge de la propreté a adressé un courrier au Ministre bruxellois de la propreté visant à l’enjoindre d’agir sans délais pour rendre les voiries régionales propres. Au niveau régional, nos députés déposeront une résolution demandant au Gouvernement bruxellois de se doter de réels moyens de répressions des infractions mais aussi de transférer la compétence du nettoiement des voiries au niveau des communes, afin de ne plus être confronté à l’habituelle remarque : « cette voirie n’est pas du ressort de la commune mais bien de la Région… ».

    Plus spécifiquement, nous demandons de renforcer les cellules répressives dédiées à la traque des actes de malpropreté, d’instaurer de véritables patrouilles de surveillance sur le terrain, mais aussi nous demandons des sanctions pécuniaires élevées pour des incivilités en matière de non-respect de la propreté publique. Il faut aussi introduire la possibilité d’infliger la prestation citoyenne comme sanction alternative en cas d’infraction.

  • Le MR de Ganshoren s’oppose à la suppression drastique du stationnement

    Le MR de Ganshoren s’oppose à la suppression drastique du stationnement

    La commune de Ganshoren connaît de nombreux projets de réaménagement de ses voiries qui sont à l’étude ou en phase test. Avec l’échevine de la Mobilité, Magali Cornelissen (MR), nous faisons le point sur ces dossiers.

     

    Cela fait des années qu’on attend un réaménagement de l’avenue Charles Quint. Où en est le projet ?

     

    Pour le moment, la balle est dans le camp de la Région. Il y a un peu plus d’un an, les communes ont été consultées ainsi que les citoyens. Nous avons formulé nos impératifs. Les trois scénarios comportent deux fois deux bandes pour les voitures, des pistes cyclables individuelles de chaque côté et des trottoirs de qualité. La question est de savoir ce qu’on répartit sur les deux fois deux bandes. S’agit-il d’une bande voitures et d’une bande réservée aux transports publics ? Une bande voitures et une bande réservée aux transports publics et au covoiturage ? Ou deux bandes voitures avec les transports publics qui n’ont pas de site propre ? Au niveau communal, on est plutôt favorable au scénario laissant la part belle au covoiturage. Nous avons aussi attiré l’attention de la Région sur le fait de maintenir le stationnement sur cet axe qui reste un axe, initialement, très commerçant. Et on espère qu’un aménagement qualitatif permettra un retour des commerces.

     

    Comment se passent les discussions avec la Région ?

     

    Lors de l’opération menée par la Région pour mettre en place des pistes cyclables temporaires sur les axes régionaux, nous avions clairement émis un avis négatif pour l’avenue Charles Quint. Et puis un jour, on a découvert par la fenêtre qu’une piste cyclable avait été dessinée pendant la nuit sur la moitié de l’avenue Charles Quint. En réalité, la réduction à une seule bande de voitures au milieu de l’avenue Charles Quint conduit à des embouteillages monstres avec un report du trafic dans des voiries qui n’ont pas vocation à accueillir du trafic de transit. C’est contraire aux principes de Good Move qui nous dit ne pas être contre les voitures mais qu’elles doivent se concentrer sur les grands axes. Pour Ganshoren, les grands axes sont l’avenue Charles Quint, l’avenue Jacques Sermon et l’avenue de l’Exposition. Nous avons demandé à la Région de la retirer mais nous n’avons même pas eu une réponse.

     

     

    En tant qu’échevine de la Mobilité, ce n’est pas trop un casse-tête de mettre en œuvre le plan Good Move ?

     

    C’est un véritable casse-tête. Surtout quand nous sommes mesurées, on ne fait jamais de gens contents. Ceux qui sont contre tout changement ne sont pas contents. Et ceux qui sont pour des attitudes radicales ne sont pas contents. On essaie de le faire avec conviction. Il faut prévoir de la place pour tous, mais il ne faut pas le faire au détriment des autres ou de manière radicale. On est conscient que la voiture prend beaucoup de place mais commençons déjà par permettre d’autres choix. Depuis que je suis arrivée comme échevine de la Mobilité en 2012, on le fait. À l’époque, il n’y avait pas de box à vélo, qu’une seule piste cyclable sur l’avenue Van Overbeke. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Ganshoren est passée de la préhistoire aux temps modernes. Mais on ne souhaite pas supprimer de manière drastique du stationnement. Il ne faut pas oublier que Ganshoren est la commune la moins bien desservie en transport en commun. Nous devons d’abord améliorer cette offre.

     

    Retrouvez l’interview complète sur le site de La Capitale 

  • Reconnection au passé à Ganshoren avec un projet d’agriculture urbaine

    Reconnection au passé à Ganshoren avec un projet d’agriculture urbaine

    Grâce à Sabrina Baraka, échevine en charge de l’environnement, l’ASBL Terre-en-Vue va pouvoir utiliser 1,5 hectares pour un projet d’agriculture urbaine.

    Un projet de maraîchage et de verger participatif

    Aujourd’hui, il n’existe plus de parcelle agricole dans la commune. C’est notamment pour cette raison que l’échevin souhaite recréer de la biodiversité et se reconnecter au passé. Il y aura dans ce terrain des plantation d’arbres et arbustes et une attention pour la gestion des eaux.

    Ce terrain est situé en bordure de la rue au Bois et de la rue Vanderveken. Il existe déjà sur place un potager collectif et quelques infrastructures sportives en plein air.

    Un appel à projets sera prochainement diffusé par l’ASBL Terre-en-vue pour sélectionner le candidat qui viendra effectivement exploiter le terrain. Les autorités espèrent lancer le projet ce printemps-ci.

    Retrouvez l’article de la DH ICI.