Catégorie : Anderlecht

  • Vos Présidents de section

    Vos Présidents de section

    Régionale MR Bruxelles : David Leisterh

    Anderlecht : Gaëtan Van Goidsenhoven

    Auderghem :Martine Maelschalck

    Berchem-Ste-Agathe : Geoffrey Van hecke

    Etterbeek : Olivier Coppens

    Evere : Alexandre Larmoyer

    Forest : Cédric Pierre De Permentier

    Ganshoren : Lionel Van Damme

    Ixelles : Gautier Calomne

    Jette : Jennifer Gesquière

    Bruxelles-Ville : Florence Frelinx

    Koekelberg : François Decraene

    Molenbeek-St-Jean : Didier Milis

    Schaerbeek : Audrey Henry

    Saint-Gilles : Olaf van der Straten

    Saint-Josse : Yesim Gunes

    Uccle : Boris Dilliès

    Watermael-Boitsfort : David Leisterh

    Woluwe-St-Lambert : Amélie Pans

    Woluwe-St-Pierre : Tanguy Verheyen

  • Devenez ambassadeur pour le MR Bruxelles

    Devenez ambassadeur pour le MR Bruxelles

    Chères amies,
    Chers amis,

    Sophie, Hadja et Michel et moi sommes honorés de la confiance qui nous est témoignée et nous mesurons bien les responsabilités qui seront les nôtres: mener les listes fédérales et régionales vers la victoire le 09 juin 2024.

    La dynamique que nous avons créée repose largement sur vous. Et en cette année de mobilisation, nous comptons sur vous pour porter notre projet libéral. Jusqu’au vote, chaque geste, chaque action comptera. Consacrez nous un peu de temps et devenez un ambassadeur libéral en complétant ce formulaire. La campagne commence aujourd’hui, grâce à vous et avec vous.

    Amitiés,
    David Leisterh

  • Métro bruxellois, nouvelle pomme de discorde de la majorité

    Métro bruxellois, nouvelle pomme de discorde de la majorité

    La Députée bruxelloise Aurélie Czekalski était invitée dans l’émission « Les Experts » sur BX1, l’occasion de parcourir l’actualité bruxelloise.

    En allant sur le terrain, elle a constaté les nuisances engendrées par les nouvelles rames de métro. : vibrations dans les habitations et nuisances sonores.  Celles-ci ne concernent pas un ou deux riverains mais des milliers d’habitants le long des lignes 1 & 5 de la STIB qui traversent notamment les communes de Woluwe Saint Pierre et Saint Lambert, Auderghem, Anderlecht, Molenbeek,…

    Après le tunnel gate, le métro gate ? Un dossier à suivre de près : les citoyens veulent des réponses et des solutions durables. Il en va de leur qualité de vie. Toute la lumière doit être faite par le constructeur et donnée par la STIB.

    Extrait de l’émission : https://www.facebook.com/AurelieCzekalski.MR/videos/1034115884062376/

  • «La majorité n’a toujours pas tiré toutes les conclusions après Good Move»

    «La majorité n’a toujours pas tiré toutes les conclusions après Good Move»

    Pour La Capitale, Gaëtan Van Goidsenhoven fait un bilan de la majorité PS-Ecolo à Anderlecht et évoque les grands dossiers.

    Une politique éloignée de sa population

    « Je ne comprends pas comment le collège est passé aussi loin de sa population. Dans l’accord de majorité, il était expressément dit que l’implication des citoyens allait être renforcée et on est passé complètement à côté. Alors Good Move est évidemment l’exemple le plus marquant de ce ratage. On le voyait très clairement depuis le début, la majorité allait dans le mur. Les gens n’étaient pas au courant. Ils avaient l’impression que leurs priorités étaient complètement ignorées. Lorsque les choses ont pris une mauvaise tournure en septembre, une partie du collège a fait volte-face. Néanmoins, cette obstination à prétendre qu’il y avait des concertations à grande échelle, ça n’a pas plu aux habitants. »

    « Avec mon groupe, on essaye de rapporter les craintes des citoyens. D’ailleurs, on est parfois pointé du doigt parce qu’on fait « trop d’interpellations. Les riverains se plaignent du manque de concertation et de dialogue. Cela explique ce climat quand même inédit dans l’histoire de la commune. Des interpellations citoyennes, il y en avait une tous les trois mois sous la précédente législature. Maintenant il y en a plusieurs par conseil. C’est évidemment un signal inquiétant du point de vue démocratique. Ce n’est pas un problème si les gens interpellent, c’est un problème s’ils ont fondamentalement l’impression que les dirigeants politiques ne vivent pas les mêmes réalités. »

    Good Move : un mauvais bilan

    « L’ampleur de cette défiance est inédite. Je pense d’ailleurs que ça a profondément marqué les esprits à Anderlecht mais même bien au-delà. Des collègues me parlent de ce qui s’est passé ici. C’est révélateur d’une volonté de la population de ne plus être tenu à distance. Je perçois une colère et ça, c’est peut-être un aspect inquiétant mais aussi une volonté très forte de la population d’entrer dans le dialogue. Non pas de se substituer aux responsables politiques mais de dire que maintenant, les grandes décisions doivent passer par une vraie consultation, une profonde implication de la population qui doit pouvoir exprimer ses choix. »

    « J’ai rencontré de nombreux habitants, je voyais leur profond désespoir. Beaucoup de choses ne vont pas à Cureghem, et puis comme si on voulait fermer les yeux sur cette réalité, on impose Good Move en nous disant que c’est ça la solution. Je crois qu’on a assisté, dans notre commune, à un moment démocratique historique. Ce qui s’est passé à Anderlecht a aussi inspiré très largement. Même si le débat était très vif, peut-être parfois agressif, il s’est tenu au conseil communal et je pense que c’est bien. Si ça ne s’était pas tenu au conseil communal, je pense qu’il y aurait eu sans doute davantage de frustration exprimée dans la rue. »

    Préserver les espaces verts

    « Je suis un amoureux de la nature de longue date. J’ai eu la chance de vivre à 10 minutes de la zone de Neerpede, c’est-à-dire d’une zone naturelle rurale exceptionnelle. Je sais ce que ça m’a apporté dans mon accomplissement personnel. La présence de la nature en ville doit pouvoir être préservée. On a besoin de ces zones de respiration. On a le devoir de faire quelque chose pour que les Anderlechtois puissent encore avoir un bel endroit où se retirer du bruit et de la fureur de la ville. Neerpede, c’est 1.000 ans de présence de l’agriculture à Bruxelles. C’est comme ces cathédrales qu’on voit mais là c’est une cathédrale de paysages, c’est là où Erasme et Maurice Carême allaient se balader. C’est un lieu important pour les Anderlechtois. Ce n’est pas par hasard si ce projet d’étang de baignade fait débat. »

    Lire l’intégralité de l’interview dans La Capitale 

  • « Les premières concrétisations de Good Move relèvent plus du fiasco que de la réussite »

    « Les premières concrétisations de Good Move relèvent plus du fiasco que de la réussite »

    Enfin, la majorité PS-Ecolo à Anderlecht a accepté de repartir de zéro sur le plan Good Move grâce à la mobilisation des Anderlechtois. Nous nous sommes faits entendre et cela a payé. Mais nous resterons mobilisés dans les prochaines jours et les prochaines semaines afin d’obtenir un plan concerté avec les habitants pour les habitants.

    Pour notre député Gaëtan Van Goidsenhoven, également chef de groupe au MR Anderlecht, « les derniers évènements à Anderlecht autour de la maille à Cureghem sont symptomatiques de l’absence totale d’adhésion de la population aux dispositifs qui lui sont imposés sans aucune concertation ! On l’a vu également à Molenbeek ou à Bruxelles-Ville. Si la confiance avec les citoyens est rompue c’est en grande partie en raison de la planification chaotique de la Région : absence de maîtrise des flux sur les axes structurants (pour ne pas dire blocage), coordination des chantiers insuffisante, manque de communication en amont et absence d’un cadre régional suffisant en matière de participation citoyenne. »

     

    Dans la colère, les citoyens impactés ont récolté plus de 6000 signatures à Anderlecht (soit 6X plus que le nombre de pétitionnaires permettant d’être entendu par le Parlement bruxellois). Voilà pourquoi le MR a demandé un moratoire avec effet immédiat à Cureghem. Il appartenait d’abord à la Région et à la Commune de mettre en place tous les prérequis nécessaires garantissant un équilibre soutenu par la population.

    « Aujourd’hui, les premières concrétisations de Good Move relèvent plus du fiasco que de la réussite« , déplore Gaëtan Van Goidsenhoven.  » Désormais, le quartier de Cureghem a besoin d’un nouveau plan, cette fois-ci largement concerté. « 

    La réaction de notre député après le Conseil Communal honteux à Anderlecht qui avait empêché les riverains et les conseillers de se faire entendre et sa déclaration au Parlement bruxellois.

     

  • Concilier protection de la nature et développement d’activités durables à Neerpede

    Concilier protection de la nature et développement d’activités durables à Neerpede

    Partant du constat qu’il n’existe pas encore en Région bruxelloise d’instrument juridique approprié pour protéger les espaces naturels tout en y favorisant le développement d’activités économiques durables, le député Gaëtan Van Goidsenhoven (MR) a déposé une proposition d’ordonnance visant à instituer le concept de « parc naturel urbain » dans le droit bruxellois.

     

    Constat :

     

    Différents statuts de protection de la nature (réserves naturelles, zones Natura 2000, zones verte, zones classées biotopes urbains, etc.) existent mais sont trop restrictifs et empêchent l’implantation d’activités économiques durables à les statuts existants sont inconciliables avec différentes activités humaines (maraîchage, agriculture bio, fermes pédagogiques, écotourisme, etc.)

     

    Objectifs du parc naturel urbain

     

    • Protéger le patrimoine naturel et culturel de vastes zones naturelles en milieu urbain en créant un statut juridique (à insérer dans l’ordonnance bruxelloise « nature » de 2012) ;

     

    • Permettre l’implantation importante de l’agriculture urbaine, pour favoriser les circuits courts et la consommation durable ;

     

    • Promouvoir une dimension sociale, en assurant l’accueil, l’éducation et l’information du public ;

     

    • Favoriser l’écotourisme en assurant la gestion du flux des visiteurs par la création d’infrastructures appropriées

     

    Originalité du statut : apte à conférer à un vaste site naturel un cadre de protection qu’aucun autre outil juridique ou réglementaire existant n’est susceptible de lui procurer sans pour autant figer la zone dans son état actuel à concilie protection du patrimoine naturel et dynamisme économique

     

    Charte paysagère : dimension participative visant l’implication des citoyens et associations

     

    Innovation dans la politique d’aménagement du territoire, le concept de « Charte paysagère » doit être le résultat d’un processus de concertation abouti avec la population, les associations, les organismes socioprofessionnels et d’autres acteurs spécialisés. Elle implique également un mode de gestion original, qui mise sur l’apport et la contribution des différentes parties prenantes aux différents aspects d’aménagement et de gestion du site.

     

    Modèles d’inspiration

     

    • Parcs naturels urbains français(Lille, Strasbourg) : ils visent à revaloriser le patrimoine naturel et culturel de zones de nature délaissées en milieu urbain et impliquent une démarche de construction collective à travers une charte mobilisant les citoyens autour de multiples enjeux de développement durable. Ils ne constituent cependant pas un réel statut juridique.

     

    • Parc urbain de La Rouge (Toronto) : véritable statut juridique de protection (avec effets contraignants) d’un vaste espace naturel en milieu urbain. Extrêmement inspirant car il s’agit d’une des dernières exploitations agricoles du grand Toronto et de la première zone fédérale protégée du Canada à préserver à la fois l’agriculture et le patrimoine naturel et culturel. Considéré par des experts comme un modèle de gestion d’un espace naturel en milieu urbain.

     

     

    Zone spécifiquement concernée en Région bruxelloise : Neerpede

     

    • Il s’agit du dernier grand espace rural (plus de 300 hectares) en Région bruxelloise, caractérisé par un sol très fertile et par une végétation particulièrement remarquable (milieu humide, vallons, crêtes, biodiversité très riche). Son paysage bucolique du Pajottenland a notamment inspiré Pieter Bruegel au XVIe siècle.

     

    • Espace menacé par l’urbanisation croissante (ring à proximité, zone de développement urbain autour de l’hôpital Erasme, possible création d’une gare internationale de bus à proximité, etc.)

     

    • Le site ne dispose toujours pas d’un statut de protection globale. Le Plan Opérationnel Neerpede (PON), commandité par la Région, apporte des pistes de solutions intéressantes pour valoriser le site, mais n’apporte de pas de solution pour la protection pérenne du site contre l’urbanisation (pas de mesures légales contraignantes)

     

    • Le statut de « Parc naturel urbain » serait donc tout à fait approprié pour conférer au vaste espace de Neerpede un statut juridique de protection, tout en permettant de développer les pratiques agricoles (déjà présentes), l’écotourisme, des projets pédagogiques autour de la nature en ville, des projets de recherche, des pratiques sportives et culturelles

     

     

    Conclusion

     

    En réinventant la vitalité de son territoire tout en développant une culture de la nature au profit de différents usages durables, le « Parc naturel urbain » pourrait incarner un modèle d’écodéveloppement moderne.  Le site de Neerpede pourrait ainsi devenir le premier pôle territorial alliant intelligemment écologie et développement durable.

     

    Il s’agit d’une occasion d’ancrer un territoire dans la ville du XXIe siècle, en lui garantissant une singularité et en pérennisant son ouverture vers le reste de la Région.

    Retrouver toute la proposition ici :

     

    [pdf-embedder url="https://site.mrbruxelles.be/wp-content/uploads/2022/07/parc-naturel-urbain-proposition.pdf" title="parc naturel urbain proposition"]

  • Une dernière chance pour le Gouvernement PS-Ecolo-Défi de sauver la Friche Josaphat

    Une dernière chance pour le Gouvernement PS-Ecolo-Défi de sauver la Friche Josaphat

    Le projet définitif pour la friche Josaphat devrait être adopté avant les vacances d’été

    « L’heure de vérité approche : il est encore temps pour ECOLO de réaliser un sursaut concret dans la préservation de la biodiversité urbaine », selon Gaëtan Van Goidsenhoven.

     

    La nouvelle version du PAD Josaphat devrait être adoptée définitivement avant les vacances d’été. C’est du moins ce qui ressort de la dernière réponse du Ministre-Président Rudi Vervoort, interrogé sur le sujet au Parlement par le député libéral Gaëtan Van Goidsenhoven.

     

    Pour le député MR, qui suit le dossier depuis de nombreuses années et qui a même introduit une proposition de résolution visant à étudier la faisabilité de la création d’une réserve naturelle sur la partie ouest de la friche (rejetée par la majorité en juin 2021), l’adoption du projet actuel constituerait une faute politique majeure et une tâche indélébile sur le bilan du Gouvernement bruxellois :

     

    « A l’heure où on fait de la biodiversité un enjeu fondamental des politiques urbaines, l’adoption du projet actuel, qui ne prévoit qu’un « biopark » d’1,28 hectares sur un site qui en compte 33, constituerait une grave erreur, tant sur le plan urbanistique que sur le plan symbolique. Dans un contexte où la Région aurait perdu pas moins de 14 % de ses espaces verts entre 2003 et 2016, l’image de Bruxelles comme « ville verte » risquerait de s’écorner durablement. Cela ferait passer le très mauvais signal que l’ensemble des terrains publics sont voués au béton ».

    Gaëtan Van Goidsenhoven

     

    Gaëtan Van Goidsenhoven rappelle par ailleurs que la commission délibérative sur la « biodiversité en ville » – à laquelle il a participé, dont les recommandations ont été émises tout récemment par les citoyens tirés au sort au Parlement bruxellois, suggère notamment « de conserver des superficies suffisantes des friches existantes avec un statut particulier ».

     

    « Alors que le sujet initial, proposé par plus de 1.000 citoyens, concernait directement la défense de la biodiversité sur la friche Josaphat et alors que la majorité PS-ECOLO s’est arrangée pour élargir la thématique afin de ne pas prendre de risques sur cette question sensible, il serait hallucinant de ne même pas tenir compte des recommandations émises après délibérations entre citoyens et députés », ajoute-t-il.

     

    Pour le député régional, l’heure de vérité approche et il est encore temps de réaliser un sursaut dans ce dossier hautement symbolique :

     

    « L’adoption définitive du PAD requiert un consensus au Conseil des Ministres et ECOLO a donc encore la capacité de bloquer le projet. Après le crash de la majorité sur le dossier de l’étourdissement avant l’abattage des animaux, les politiques ont ici l’occasion de poser un geste fort sur un sujet qui rassemble l’ensemble de la population bruxelloise, toute classe sociale confondue : la présence de la nature en ville. Or, la friche Josaphat est le dossier bruxellois par excellence par lequel le grand public s’est approprié cette thématique ».

     

    « Ne pas tenir compte de cette réalité constituerait un échec politique incompréhensible et injustifiable aux yeux des Bruxellois. Il est encore temps pour un sursaut ! »

    Gaëtan Van Goidsenhoven.

  • Anderlecht : trop de malpropreté dans la commune

    Anderlecht : trop de malpropreté dans la commune

    Désormais aucun quartier d’Anderlecht n’est plus épargné par la malpropreté : poubelles débordantes, amoncellements de dépôts clandestins… le problème s’est généralisé malgré la promesse d’initiatives nouvelles financées par l’augmentation des impôts communaux. L’absence d’évaluations des politiques de propreté et l’échec manifeste des mesures de sanction participent au bilan calamiteux de la majorité PS-One Brussels-Cdh-Ecolo-Groen-Défi en la matière. À chaque conseil communal le groupe MR bataille afin de forcer la majorité à reconsidérer les mesures toujours insuffisantes en terme de propreté publique.

    Cette situation ne peut plus durer

    Elle n’est d’ailleurs malheureusement pas spécifique à notre quartier. Les enquêtes d’opinion sont unanimes : les Bruxellois ne sont pas satisfaits de la propreté dans leur région et placent cette thématique dans le top 3 de leurs priorités. On pourrait croire que le Gouvernement régional l’a compris puisque l’Agence Bruxelles-Propreté a vu sa dotation augmenter de 244% en 15 ans (186 millions en 2020) ! Hélas, la gestion de l’Agence a été plusieurs fois dénoncée par la Cour des Comptes. Pire, malgré une augmentation du personnel tout aussi impressionnante (+20% en 5 ans), la propreté à Bruxelles reste un vrai problème qui a entamé la crédibilité du Gouvernement, l’image de Bruxelles, mais aussi la motivation du personnel.

    La propreté : une priorité pour le MR !

    Le MR, dans l’opposition régionale bruxelloise depuis bientôt 20 ans, veut rendre à Bruxelles ses lettres de noblesse et faire de la propreté une priorité en s’inspirant d’autres villes proches et plus propres, à l’instar de Malines, mais aussi en s’alimentant de votre expérience dans votre commune. Le manque de propreté est en effet précurseur de nombreuses situations négatives: un quartier sale est synonyme de quartier peu sécurisé pour ses habitants. Il est alors moins fréquenté, ce qui fait souffrir les commerces des alentours et par extension toute la vie économique du quartier.

    Pour enrayer cette dynamique, le MR propose la mise en place d’actions concrètes. Au niveau communal, le conseiller Gaëtan Van Goidsenhoven et son équipe continueront à interpeller sans relâche le bourgmestre et ses échevins sur la question de la propreté dans la commune. Au niveau régional, nos députés déposeront une résolution demandant au Gouvernement bruxellois de se doter de réels moyens de répressions des infractions mais aussi de transférer la compétence du nettoiement des voiries au niveau des communes, afin de ne plus être confronté à l’habituelle remarque : « cette voirie n’est pas du ressort de la commune mais bien de la Région… ».

    Des actions concrètes

    Plus spécifiquement, nous demandons de renforcer les cellules répressives dédiées à la traque des actes de malpropreté, d’instaurer de véritables patrouilles de surveillance sur le terrain, mais aussi nous demandons des sanctions pécuniaires élevées pour des incivilités en matière de non-respect de la propreté publique. Il faut aussi introduire la possibilité d’infliger la prestation citoyenne comme sanction alternative en cas d’infraction.

  • Pour un rétablissement des Journées du Patrimoine

    Pour un rétablissement des Journées du Patrimoine

    L’ensemble des partis francophones a voté contre notre proposition pour rétablir les Journées du Patrimoine à Bruxelles !

     

    En 2021, le Gouvernement bruxellois PS-Ecolo-Défi a décidé de remplacer les « Journées du Patrimoine » par les « Heritage Days. Pour nous, et comme le relèvent certaines associations, « à l’heure où le patrimoine immatériel est progressivement mis en valeur, abandonner le français et le néerlandais qui sont tous deux également constitutifs de notre culture bruxelloise, et donc de notre patrimoine, est indéfendable. »
    Pour le Gouvernement bruxellois, le terme patrimoine renverrait à une conception patriarcale dépassée, en décalage avec la conception actuelle de l’égalité entre les hommes et les femmes.

    Un combat idéologique

    Plutôt que de mener un combat de pureté idéologique contre les langues, sous prétexte de vouloir en bannir les traces sémantiques qui comporteraient en elles le germe d’une discrimination sexiste, le Gouvernement bruxellois devrait plutôt diriger ses politiques publiques dans un sens qui permette de familiariser la population avec l’idée que le plurilinguisme est une possibilité pour découvrir autrui au travers de sa langue.

    Le bilinguisme est une richesse

    En effet, cette atteinte continue au bilinguisme régional s’apparente de plus en plus clairement à la volonté politique de déconstruire l’identité bruxelloise, historiquement multilingue. En entreprenant de la sorte l’élimination de termes considérés comme nocifs, elle fait fi du fait que la langue française est aujourd’hui parlée par un nombre majoritaire de locuteurs et elle s’en prend collatéralement au néerlandais.
    Le bilinguisme ne devrait pourtant pas être perçu comme une contrainte, mais bien comme une richesse qui permet la diversité culturelle au sein d’une Ville-Région extrêmement cosmopolite.
    Notre proposition:
    [pdf-embedder url="https://site.mrbruxelles.be/wp-content/uploads/2022/03/PR-Journ%C3%A9es-du-Patrimoine-Heritage-Days-08-09-2021-1.pdf" title="PR Journées du Patrimoine Heritage Days – 08-09-2021 (1)"]
  • Reconnaissance des ambulances vétérinaires comme véhicules prioritaires : victoire du MR

    Reconnaissance des ambulances vétérinaires comme véhicules prioritaires : victoire du MR

    La commission Mobilité du Parlement bruxellois donne un effet utile au droit de pétition en votant une proposition de résolution relative à l’utilisation des couloirs de bus et des passages spéciaux pour les ambulances pour animaux

    Ce mardi 11 janvier, la Commission de la Mobilité a adopté à l’unanimité une proposition de résolution déposée à l’initiative du Député bruxellois Gaëtan Van Goidsenhoven (MR) visant à étendre l’utilisation des couloirs de bus et des passages spéciaux aux ambulances pour animaux (« ambulances vétérinaires ») circulant en tant que véhicules prioritaires. La proposition initialement déposée par les partis MR, Cdh, N-VA et CD&V ainsi que la Députée indépendante V. Austraet a pu rejoindre un large consensus après l’adoption d’amendements déposés par la majorité bruxelloise, Groen et Défi en tête. La proposition fait également écho à la pétition lancée par Vet Emergency ayant récolté de nombreuses signatures pour permettre une intervention plus rapide des ambulances vétérinaires dans la Capitale en cas d’urgence.

     

    « Je me réjouis que notre proposition de résolution ait pu faire l’objet d’un consensus majorité/opposition, dépassant les clivages habituels » se félicite Gaëtan Van Goidsenhoven « Les ambulances vétérinaires n’étant pas encore considérées comme des véhicules prioritaires, elles se retrouvent quotidiennement coincées dans les embouteillages. Chaque semaine, des animaux qui auraient pu être sauvés décèdent ainsi dans des ambulances qui n’ont pas été en mesure d’intervenir suffisamment rapidement. Le texte voté en commission demande clairement au Gouvernement bruxellois d’intervenir pour permettre à ces véhicules d’utiliser les bandes bus ainsi que de plaider auprès des autorités fédérales pour qu’ils soient reconnus comme véhicules prioritaires. C’est une avancée pour le bien-être animal, qui n’aura en outre aucun impact sur la mobilité bruxelloise, le nombre d’ambulances vétérinaires étant extrêmement restreint ».

     Une pétition couronnée de succès

    “Pour de nombreuses personnes, un animal de compagnie est un membre à part entière de la famille. En appliquant les mêmes règles de circulation aux ambulances pour animaux qu’aux ambulances pour humains, nous offrons plus rapidement l’aide nécessaire à de nombreux animaux en danger et nous assurons de la clarté dans la circulation” explique Arnaud Verstraete (Groen).

     

    Pour le député DéFI Marc Loewenstein : Attribuer aux ambulances vétérinaires un réel statut de véhicules prioritaires constitue un signal clair pour le bien-être animal et permettra de lever les divers obstacles en termes d’accès aux sites propres, de vitesse autorisée et de stationnement, qui font aujourd’hui perdre des minutes précieuses aux vétérinaires en intervention d’urgence.

     

    Le débat sur cette proposition a suivi l’examen d’une pétition relative au même objet et présentée par ses auteurs, à savoir les responsables de Vet Emergency, un service vétérinaire spécifiquement équipé d’ambulances pour venir en aide aux animaux 24h/24.

     

    « En votant cette résolution, nous avons permis de donner un effet utile au droit de pétition en Région bruxelloise, poursuit Gaëtan Van Goidsenhoven. En allant au-delà des simples débats qui suivent généralement l’examen des pétitions, notre proposition a permis que les demandes des pétitionnaires soient couronnées de succès. Cette opposition constructive, avec le soutien de la majorité, prouve que lorsqu’il y a une réelle volonté d’avancer, cela débouche sur des solutions » conclut le Député libéral Gaëtan Van Goidsenhoven.