Catégorie : David Leisterh

  • Fumée blanche pour la 5G à Bruxelles : le MR salue enfin l’adoption d’un cadre législatif mais regrette le temps perdu !

    Fumée blanche pour la 5G à Bruxelles : le MR salue enfin l’adoption d’un cadre législatif mais regrette le temps perdu !

    La commission de l’environnement du Parlement bruxellois a adopté ce mercredi 25 janvier 2022 un projet d’ordonnance permettant enfin le déploiement de la 5G sur le territoire bruxellois, une réforme attendue de longue date par les Libéraux bruxellois.

    En effet, le MR bruxellois avait proposé dès 2013 sous la plume de Vincent De Wolf, Député bruxellois (MR) et Bourgmestre d’Etterbeek, de moderniser la norme pour répondre aux enjeux de développement tout en augmentant les moyens dédiés à la transparence, l’information et la prévention en matière d’ondes électromagnétiques. Or il aura fallu presque deux législatures et une commission délibérative, à laquelle la Députée et membre effective de la commission environnement Aurélie Czekalski (MR) a participé, pour que le gouvernement bruxellois s’accorde.

    « 9 ans, 1 mois et 15 jours, c’est le temps qu’il aura fallu au gouvernement bruxellois pour sortir de sa caverne et reconnaître enfin la plus-value de la 5G en matière de développement économique et d’emplois. Bruxelles comme capitale de l’Europe aurait dû être la première ville européenne à développer la 5G et pas la dernière. Nous regrettons que tant de temps ait été inutilement perdu : tout ça pour ça…les autorités bruxelloises véhiculent une fois de plus une pâle image de l’attractivité de notre Région. » ont déploré les Libéraux dans leurs interventions.

    Si le MR accueille cette avancée pour la Région bruxelloise positivement, ils n’en sont pas moins restés critiques sur le contenu. La réforme prévoit, en effet, une norme cumulative, que les opérateurs devront se partager.

    Le MR a également rappelé que « L’arrivée de la 5G va donner un énorme coup de boost à la transition numérique et écologique des entreprises et des pouvoirs publics bruxellois mais aussi en termes d’emploi. La 5G contribuera à attirer des investissements. C’est ce dont notre Capitale a besoin. »

  • Le MR, 1er parti en 2024, pour redresser Bruxelles

    Le MR, 1er parti en 2024, pour redresser Bruxelles

    Sur BX1, David Leisterh a fait le point sur différents sujets d’actualité. Il revient notamment sur le service citoyen obligatoire et les raisons pour lesquelles le MR doit être le premier parti en 2024.

    Le MR, 1er parti en 2024, pour redresser Bruxelles

    Le MR est dans l’opposition depuis 20 ans, et cela se ressent.

    • Bruxelles a un des taux de chômage les plus élevés d’Europe
    • Bruxelles a un des taux de pauvreté les plus élevés d’Europe
    • 40.000 personnes et 3.000 entreprises quittent Bruxelles chaque année
    • Bruxelles, c’est un communautarisme de certains qui brise le vivre ensemble que devrait être cette région aux 183 nationalités
    • Bruxelles a malheureusement une mobilité imaginée par des donneurs de leçons et faite de bloc de béton qu’on a appelée good move
    • Bruxelles, c’est une crise budgétaire où la dette a triplé en 10 ans et où le déficit est passé de 150 millions à 2 milliards

    Les Bruxellois veulent une autre alternative. Et pour cela, nous abattons un travail de terrain depuis plus d’un an. Nous sommes tous les week-ends et en semaine aussi, dans la rue à frapper aux portes, à aller sur les marchés pour convaincre de l’idéologie libérale.

    Un service citoyen obligatoire pour aider les jeunes

    À Bruxelles, il existe des quartiers où des jeunes ont connu leurs parents et leurs grands-parents qui cherchaient un emploi,  qui voulaient sortir de cette situation mais ne trouvaient pas la porte.

    Le service civil obligatoire est une des solutions. Dans un monde de mondialisation où justement, on cherche à rencontrer le monde dans son ensemble, il faut d’abord qu’on apprenne à se connaître soi-même, à découvrir un maximum de ses passions, de ses opportunités.

    Le service citoyen actuel n’est pas suffisant, il n’y a qu’entre 500 et 1000 personnes d’inscrites. Pour David Leisterh, il faut implémenter ce service via une activité en deux temps. D’abord nous voulons que des jeunes venus de toute la Belgique se retrouvent pour une période de tronc commun pendant laquelle nous organiserons des débats et différents ateliers autour de la citoyenneté. Ensuite, nous offrirons aux jeunes la possibilité de rejoindre différents organismes tels que des ASBL, des entreprises, des acteurs sportifs, ou encore des CPAS et le secteur social.

    Maroc : un voyage sous la diplomatie parlementaire

    Pour David Leisterh, ce voyage était public, il a d’ailleurs été communiqué sur les réseaux sociaux. « J’ai rencontré le Ministre des Affaires Étrangères, j’ai rencontré des autorités sur place, des Gouverneurs de province, des entreprises aussi, parce qu’il y a un développement économique assez puissant dans certaines régions là-bas. Sur place, en effet, il y a un très puissant développement économique qui est en cours, avec pas mal d’emplois qui sont créés. Et c’est une porte d’entrée de l’Afrique. »

    Les députés libéraux se sont rendus au Maroc dans le but d’entretenir un partage, un dialogue, une discussion avec les autorités locales. Ce cas est largement différent de celui rapproché à Monsieur Tarabella qui, selon l’enquête, attendrait des valises de billets au bas de tel ou tel hôtel.

     

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  • Discours de David Leisterh aux Voeux 2023 du MR Bruxelles

    Discours de David Leisterh aux Voeux 2023 du MR Bruxelles

    Mesdames, messieurs les Ministres,
    Mesdames, Messieurs, les Parlementaires,
    Mesdames, Messieurs les mandataires locaux,

    Cher GL, notre Président,
    Chère Julie, ma Présidente,

    Chères amies,
    Chers amis,

    Bonsoir et bienvenue !

    En chemin pour me rendre dans cette magnifique salle de La Madeleine, et alors que j’admirais la collection automne-hiver 2022-2023 des blocs de béton du gouvernement bruxellois, je me suis rappelé que ma résolution principale de cette année était –  outre de tout faire pour gagner les élections en 2024 – de dire plus souvent merci.

    C’est en fait un peu égoïste parce que vous savez, quand vous êtes dans l’opposition à Bruxelles et que chaque jour vous rongez votre frein face aux chiffres du chômage ou des salaires à vie de certains hauts fonctionnaires parachutés, vous avez besoin d’espoir et d’optimisme pour tenir le coup.

    Et du coup, vous verrez que dire merci est une résolution magique qui vous apporte espoir et optimisme :  vous verrez, dites-le avec le sourire et regardez celui que vous faites naître chez la personne à qui vous le dites.

    Du coup, égoïstement, mais aussi pour se donner à toutes et tous espoir et optimisme, une fois n’est pas coutume, je voudrais d’abord commencer par les remerciements cette année – qui sont un peu une autre manière de souhaiter les vœux – et remercier une personne qui incarne l’espoir, qui nous a toutes et tous impressionnés par sa force de travail, ses compétences et sa défense de nos valeurs malgré des années ô combien compliquées pour elle : Sophie, merci !

    Au MR, à Bruxelles, on a la chance d’avoir des femmes d’exception. Dans le parti frère aussi d’ailleurs. Je pense aussi à Hadja, Valérie…

    Merci à tous les collègues du parlement, qu’il soit régional, fédéral ou européen. Les amis, chaque jour vous démontrez qu’une autre voie est à portée de main – merci à vous !

    Vous savez au MR, on a aussi des hommes d’exception. Merci à nos bourgmestres, Vincent, Boris, Frédéric. Merci à vous les gars, vous n’imaginez pas le nombre de mandataires autour de vous qui en ce moment ont l’espoir de marcher dans vos pas libéraux.

    Merci à vous, sympathisants, militants, membres, mandataires qui vous mobilisez déjà comme jamais, sous la pluie, le week-end, pour porter votre projet dans vos communes. Vous donnez un espoir phénoménal à ce parti, à Bruxelles.

    Merci à notre président, qui ne retient pas ses efforts pour nous faire gagner – jusqu’à en piquer mon morceau de galette des rois la semaine passée où se trouvait la fève, tout ça pour pouvoir porter la couronne ne 3ème fois consécutive. La vérité a ses droits !

    Merci aux collaborateurs de l’ombre qui me permettent d’être devant vous ce soir.

    Merci à Julie, sans qui tout ça, sans qui tout moi ne serait pas.

    Pourquoi je tente d’entamer ces voeux sur une touche d’espoir, d’optimisme et de joie ?

    Parce que – dans la reconquête de Bruxelles, qui est notre mission – cet optimisme qui nous anime va être testé. Va être challengé. Va être attaqué.

    1/ Il va d’abord être challengé face aux constats qui sont ceux de Bruxelles

    Et il y a une chose sur laquelle toutes les Bruxelloises et tous les Bruxellois sont d’accord – ces constats, ils ne sont pas le bilan des Libéraux puisqu’on est dans l’opposition depuis bientôt 20 ans.

    – le fait que bruxelles ait un des taux de chômage les plus élevés d’Europe – on peut dire tout ce qu’on veut mais c’est pas nouS
    – un des taux de pauvreté les plus élevés d’Europe – idem
    – 40 000 personnes qui quittent chaque année – idem
    – 3000 entreprises qui leur emboitent le pas – idem
    – un communautarisme de certains qui brise le vivre ensemble que devrait être cette région aux 183 nationalités – idem
    – une mobilité imaginée par des donneurs de leçons et faite de bloc de béton qu’on a appelée good move – c est pas nous
    – Une crise budgétaire où on a triplé la dette en 10 ans et où le déficit est passé de 150 millions à 2 milliards – c’est pas nous.

    Et je le dis toujours très clairement – pas à vous – mais peut-être certains dehors : si par le plus grand des hasards, ces constats ne vous choquent pas : ne votez pas pour nous.

    2/ non, ne votez pas pour nous parce que si nous gagnons – et c’est bien là que notre optimisme sera aussi mis à mal – notre victoire sera une promesse différente des autres : celle de remettre au centre de notre capitale des valeurs fortes : l’émancipation par le travail, la méritocratie et la fin de l’assistanat.

    Tout le monde mérite sa chance : de Cureghem à Fort J, de Stockel à Ribeaucourt, nous garantirons à chacun une égalité des possibles, une égalité des droits mais aussi et surtout l’égalité des devoirs. D’une part, chacun doit pouvoir entreprendre, trouver un job qu’il aime, réussir sa vie comme il l’entend. D’autre part, nous n’accepterons aucune excuse venant de ceux qui parfois expriment leurs émotions en cassant et en transgressant les lois.

    En fait, ce que je veux dire à tous les travailleurs et travailleuses, entrepreneuses et entrepreneurs, et celles et ceux qui veulent bosser : tenez bon, on arrive !

    Et à tous les casseurs, fauteurs de trouble, délinquants : baissez d’un ton, montez le son et écoutez nous bien : on arrive –

    Et quand je parle de la valeur travail, je ne le dis pas pour faire bien face à vous, je le dis parce que c’est grâce à cette valeur que je suis devant vous ce soir : petit-fils d’une aide-ménagère qui travaillait derrière les hauts fourneaux de Cockerill, fils d’une aide-soignante : je sais que c’est le travail qui émancipe, je sais que c’est le travail qui permet d’ouvrir le champ des possibles, et je sais que quand nous mettons au cœur de notre raisonnement la valeur travail, nous posons en réalité la bonne et seule question: nos enfants, vivront-ils mieux ou moins bien ?

    Les amis, en 2024 c’est ce choix que les Bruxellois et les Belges auront à faire. Quand les électeurs auront en main leur bulletin de vote à Bruxelles, ils ne feront pas un choix entre une beaucoup trop de partis et beaucoup trop de candidats, non. Ils feront un choix entre poursuivre ce qui est fait depuis 20 ans … ou ouvrir cette nouvelle ère que Bruxelles attend.

    bxl yeux tête ? Fier de bxl – pas de bashing

    Parce que : regardons en face ce que nous propose ce gouvernement : c’est une supercherie à grande échelle.

    Pour eux, quel que soit le problème, ils ont toujours les trois mêmes solutions : I/ on crée un organisme public qui se révèlera probablement inefficace, II/ on subventionne à tout va des asbl sans vraiment contrôler leur utilité et puis si ça ne marche pas, III/ on dira que c’est de la faute du fédéral.

    On a le droit a quelques variantes parfois, certaines asbl ont des kickers d’autres pas, certains sujets ont le droit à de beaux blocs de béton, d’autres pas, certains fonctionnaires ont des salaires à vie d’autres pas.

    Je terminerai avec un dernier élément.  Nous avons longtemps eu une chose, une unique chose à envier à ces partis : la culture du terrain et du compagnonnage.

    C’est ce que nous faisons de plus en plus, mais si nous voulons gagner il faut y aller encore plus fort. Je sais que nous entrons dans une année électorale et que pour la plupart, nous savons tous où nous aimerions être en 2024, sur quelle place, dans quel rôle.

    Nous savons ce que le parti peut faire pour nous. Pensons surtout à ce que nous pouvons faire pour le Parti mais surtout pour Bruxelles.

    Ce sera dur, mais c’est notre seule façon de gagner en 2024. Après 20 ans dans l’opposition, la victoire ne se décrète pas, elle se construit.

    Ce soir, vous l’aurez remarqué, j’ai mis des baskets. Parce que Bruxelles a besoin d’un patron qui quitte ses pantoufles et qui se met à bosser.

    Bruxelles a besoin de bosser

    Bruxelles a besoin de responsabilité

    Bruxelles a besoin d’humanité

    Bruxelles a besoin de baskets.

    Bruxelles a besoin de réformes et donc d’un mouvement…

    Bruxelles a besoin de vous !

    Vous êtes tout ce que je souhaite de plus précieux à Bruxelles en 2023 – pour ça, bonne année, bonne santé… et en route vers la victoire.

  • L’emploi doit être le moteur du redéploiement à Bruxelles

    L’emploi doit être le moteur du redéploiement à Bruxelles

    En termes de taux de chômage, Bruxelles est la 221e région sur 257 en Europe. Pour David Leisterh, quand on est la capitale de l’Europe, on doit avoir vocation à être beaucoup plus haut dans ce classement !

    Travailler sur Actiris et l’entreprenariat

    Il n’est pas acceptable qu’Actiris identifie 83.000 métiers inoccupés alors qu’il y aurait 86.000 demandeurs d’emploi. Nous avons des propositions claires et évidentes qui doivent aider à augmenter le taux d’emploi et le nombre de formations à Bruxelles. Parmi celles et ceux qui peuvent aussi aider à créer de l’emploi à Bruxelles, il y a les indépendants de notre région. Pourtant, ils ont connu tellement d’obstacles ces dernières années : tunnels, attentats, Ukraine, inflation, Covid une fois, Covid deux fois et puis Good Move, le plantage de cette législature. Nous avons demandé une commission spéciale pour aider, depuis Bruxelles, tous ces créateurs d’emploi. Les finances bruxelloises sont de plus en plus dans le rouge. Diminuer le taux de chômage et oser des réformes structurelles sont la clé pour retrouver une base saine dans une Région, Bruxelles, dont beaucoup rêveraient d’avoir le nom.

    Découvrir l’intervention de David Leisterh en séance plénière

  • Un service citoyen obligatoire pour les jeunes

    Un service citoyen obligatoire pour les jeunes

    Dans La Libre Belgique, David Leisterh parle du souhait d’instaurer le service citoyen obligatoire pour les jeunes. Il s’agirait d’un des moyens de réponse face aux récentes épisodes de violence. Ce service serait également une possibilité pour les jeunes de trouver leur voie.

    En Allemagne et en France, 140.000 et 40.000 jeunes participent respectivement au service citoyen. Le service citoyen, différent du service civil, est un programme pour les jeunes de 18 à 25 ans qui sont prêts à s’engager, pendant 6 mois, dans le projet solidaire de leur choix.

    Un des moyens de réponse face aux récents épisodes de violence

    On se le rappelle, Bruxelles a connu plusieurs faits de violence fin 2022 (émeutes après Belgique-Maroc, violences envers la police). face à ces hausses et à cette répétition d’épisodes violents, le MR se tourne vers le service citoyen obligatoire, notamment sur Bruxelles.

    Il existe déjà un service citoyen en Belgique, mais il est peu connu et sous-financé. En Région bruxelloise, le budget qui y est consacré n’a pas évolué depuis sept ans et ne permet de le proposer qu’à 118 jeunes par an. A tire de comparaison, il concerne 140 000 jeunes par an en France, 40 000 en Allemagne, 40 000 en Italie…

    Trouver sa voie

    En 2022, c’est près de 120 jeunes bruxellois qui ont fait le choix de s’engager dans un service citoyen. Grâce à l’octroi d’un subside de 40.000 euros, ils ont pu, six mois durant, « s’engager dans des projets utiles à la collectivité.

    La mise en place d’un tel service à Bruxelles d’abord fait sens et servirait d’exemple. Bruxelles reste un laboratoire pour la Belgique en raison de son statut de grande ville. Automatiquement, il y a un effet loupe, un effet grossissant sur certaines problématiques. Il y a une érosion du respect de l’autorité au sens large, que ce soit vis-à-vis de la police, des services de secours, des pompiers, de la justice…. Les évènements, les faits divers et l’actualité brûlante à Bruxelles que l’on a connus ces derniers mois en témoignent malheureusement. Il y a une difficulté de plus en plus grande à se retrouver sur un socle commun de valeurs qui fonde la cohésion sociale.

  • Le MR exige l’arrêt immédiat des salaires à vie et l’annulation des parachutages

    Le MR exige l’arrêt immédiat des salaires à vie et l’annulation des parachutages

    Durant la législature 2009-2014, le Gouvernement bruxellois (composé à l’époque du PS-Ecolo-Les Engagés) a décidé que les hauts fonctionnaires, après 10 ans de carrière, conserveraient leur salaire à vie. Cette mesure entre en vigueur maintenant.

    Le MR exige l’arrêt immédiat des salaires à vie et l’annulation des parachutages. Il faut supprimer ce Win for Life pour les hauts fonctionnaires bruxellois. Cette affaire est symptomatique de tout ce qui ne va pas dans l’administration bruxelloise à l’heure actuelle : aucune transparence, des parachutages de personnes à des postes pour lesquels il n’y a pas de qualification, des avantages perçus en marge de la prise de fonction et un système auquel il faut mettre fin immédiatement.

  • Retrouvez toutes les dates des voeux des différentes sections locales ! 

    Retrouvez toutes les dates des voeux des différentes sections locales ! 

    Schaerbeek & Saint-Josse

    Dimanche 8 janvier à 13h – « Le Garage » – Avenue Emile Max 138, 1030 Bruxelles

     

    Ixelles

    Dimanche 8 janvier à 17h – Brasserie « Couleur Café » – Galerie Toison d’Or – Avenue de la Toison d’Or 9, 1050 Ixelles

     

    Bruxelles-Ville

    Mardi 10 janvier à 18h30 – Grand Serment des Arbaletriers – Impasse du Borgendael, Place Albert 7-9, 1000 Bruxelles

     

    MR Bruxelles

    Jeudi 12 janvier à 19h – Salle de la Madeleine – rue Duquesnoy 14, 1000 Bruxelles

     

    Molenbeek-St-Jean

    Dimanche 15 janvier à 15h – Tennis-Club « Le Chalet » – » Rue Charles Malis 1, 1080 Bruxelles

     

    Saint-Gilles

    Lundi 16 janvier 20h – Centre Culturel J. Franck – Chaussée de Waterloo 94, 1060 Saint-Gilles

     

    Etterbeek

    Jeudi 19 janvier à 19h – Cohop – Brussels Cooperative Brewpub – Chau. de Wavre 950, 1040 Etterbeek

     

    Anderlercht

    Vendredi 20 janvier à 19h30 – Salle Aurore – chaussée de Mons, 722, 1070 Bruxelles

     

    Jette

    Samedi 21 janvier à 19h – Chalet du Heymbosch avenue Jean Joseph Crocq 50, 1090 Jette

     

    Berchem-Ste-Agathe

    Dimanche 22 janvier à 12h – Salle des fêtes – Avenue du Roi Albert 33, 1082 Berchem-Sainte-Agathe

     

    Evere

    Dimanche 15 janvier à 11h – Royal Evere White Star – Av. des Anciens Combattants 350, 1140 Evere

     

    Ganshoren

    Lundi 23 janvier à 18h30 – Brochette du Chalet – avenue Broustin 113, 1083 Ganshoren

     

    Auderghem

    Mardi 24 janvier à 19h – Restaurant « La Soeur du Patron » – chaussée de Wavre 1700, 1160 Bruxelles

     

    Woluwe-St-Pierre

    Mardi 24 janvier à 19h – Kontakt, avenue Orban 54, 1150 W-St-Pierre

     

    Watermael-Boitsfort

    Mercredi 25 janvier à 20h – Maison Haute – Pl. Antoine Gilson 2, 1170 Bruxelles

     

    Koekelberg

    Jeudi 26 janvier à 19h30 – Frederic Blondeel – Rue de Ganshoren 39, 1081 Koekelberg

     

    Uccle & Forest

    Vendredi 27 janvier à 18h30 – Stade National de Hockey – Royal Hockey Club Uccle Sports – Chaussée de Ruisbroek 18, 1180 Bruxelles

     

    Woluwe-Saint-Lambert

    Mardi 31 janvier à 19h – Oh Chef! – chaussée de Roodebeek 101, 1200 Bruxelles

  • Budget : un déficit et une dette qui se creusent

    Budget : un déficit et une dette qui se creusent

    Depuis 2016, les chiffres sont de plus en plus inquiétants. En moins de 10 ans, la dette a triplé : elle atteint près de 13 milliards d’euros. Sans grande surprise, la dette d’aujourd’hui sont les taxes de demain. La clef du succès pour répondre à cette problématique ? L’emploi, en intégrant au mieux les entreprises car c’est plus de 83 000 métiers qui sont inoccupés alors qu’il y a 86 000 demandeurs d’emploi. Pour rencontrer cet enjeu, il faut fixer un cap et changer de méthode. Nous avons des réformes concrètes sur la table !

    Un déficit et une dette qui se creusent

    En 2016, le Gouvernement bruxellois hors emprunts, hors amortissements recevait plus ou moins 4,1 milliards d’euros et dépensait plus ou moins 4,25 milliards. Le déficit à la fin de l’année est donc de 150 millions. Malheureusement, ce déficit se creuse au fur et à mesure des années.
    2017 : 200 millions €
    2018 : 600 millions €
    2019 : 1.000 millions €
    2020 : 1.200 millions €
    2021 : 1.700 millions €
    2022 : 2.000 millions €
    En d’autres termes, le Gouvernement bruxellois a dépensé en 2022 2 milliards en plus que ce qu’il ne recevait. Ces déficits réguliers provoquent un emballement de la dette. Bruxelles passerait d’une dette en 2016 de 4,7 milliards à 13 milliards en mai 2024.

    Quelques pistes de solutions

    Il existe plusieurs pistes de solutions pour tenter d’améliorer les finances bruxelloises. Premièrement, le Chef de groupe au Parlement bruxellois recommande l’utilisation de spending review. Ensuite, via Optiris, il faut rationnaliser la machine administrative bruxelloise qui est devenue trop volumineuse. Enfin, la politique des subsides doit être contrôlée. Certains subsides sont correctement calibrés, contrairement à d’autres. La politique des subsides est passée de 200 à 800 millions d’euros en quelques années. 800 millions, c’est le budget d’Actiris.
    « La confiance des Bruxellois, elle se gagne, et elle se gagne durement. Elle nous a été donnée à toutes et tous ici, au Parlement bruxellois, et nous devons en être dignes. Nous, les libéraux, nous estimons que quand on s’appelle Bruxelles et qu’on est la capitale de l’Europe, on se doit de montrer l’exemple.«
  • La formation en alternance pour booster l’emploi à Bruxelles

    La formation en alternance pour booster l’emploi à Bruxelles

    Les députés libéraux Clémentines Barzin et David Leisterh (MR) appellent à une réforme « ambitieuse » de la formation en alternance avec une proposition d’ordonnance. « Il faut booster radicalement l’emploi à Bruxelles en plaçant les entreprises au centre de la formation ».

    Ils se basent sur le système français mis en place par le président Emmanuel Macron en 2018. « C’est un basculement assez substantiel. On garde les espaces de formations publiques existantes mais on permet aux entreprises d’être formatrices. En 2021, près de 700.000 contrats d’apprentissage ont été signés en France, cela a quasi doublé en deux ans », pointe le député.

    Le gouvernement financerait la création de centre de formation en alternance des entreprises qui devront répondre à des critères (certification de qualité) et des objectifs (taux d’insertion, d’assiduité et de réussite d’obtention de la certification). « C’est une question de choix politique. On arrive à 69 millions d’euros investis dans la version ‘sobre’ sans compter le retour sur investissement. Un euro investi, c’est 1,2 euro pour l’État », termine Clémentine Barzin.

    Pour lire l’article en entier.

  • Une mobilisation citoyenne pour éviter les débordements

    Une mobilisation citoyenne pour éviter les débordements

    Latifa Aït-Baala était présente ce mercredi soir sur le boulevard Lemonnier, comme lors des derniers matchs du Maroc. « J’étais présente en tant que citoyenne, pour faire partie des gilets verts », explique elle. Les gilets verts ont vu le jour après le match Belgique-Maroc, pour éviter de nouveaux débordements, en formant une chaîne humaine pour séparer les casseurs de la police, et ainsi éviter tout problème. Les gilets verts avaient également comme objectif de sensibiliser les jeunes dans le quartier Lemonnier.

    Minimiser les incidents

    Malheureusement, plusieurs casseurs se sont mêlés à la fête.  « Cela nous a surpris », déclare Latifa Aït-Baala, qui est particulièrement triste du dénouement de la soirée. « La violence a directement éclaté alors qu’il n’y avait pas de raison d’en arriver là, il faut être fier du parcours historique réalisé par le Maroc. » La députée bruxelloise souhaitait mettre l’accent sur les prestations marocaines. « Tout le monde a montré l’exemple, les joueurs, les supporters, le peuple marocain. Pourquoi à Bruxelles cela foire ? » peste elle.

    « La sensibilisation fonctionne auprès de certains jeunes, mais quand il y a un effet de masse, la violence – que je ne comprends pas – s’intensifie, c’était le cas ce mercredi soir », regrette la gilet vert, qui précise qu’il n’y avait pas que des jeunes présents. « certaines personnes souhaitaient s’en prendre aux forces de l’ordre et ont profité de l’événement. »