Catégorie : David Leisterh

  • Bruvaxgate : Le MR réclame une convocation en urgence de la Commission Santé

    Bruvaxgate : Le MR réclame une convocation en urgence de la Commission Santé

    Le Mouvement Réformateur (MR) réclame ce mardi la convocation en urgence de la Commission de la Santé du Parlement bruxellois pour entendre le Ministre bruxellois de la Santé Alain Maron (Ecolo) suite aux révélations parues ce matin dans le journal Le Soir au sujet d’une importante faille dans la protection des données vaccinales des Bruxellois.

    Bruvax : une faille dans les données

    Le journal a, en effet, révélé la possibilité pour toute personne ou organisme d’accéder aux données personnelles médicales relatives à la vaccination (soit au statut vaccinal) sur la simple base du numéro de registre national. Cette faille concernerait tous les Bruxellois via la plateforme Bruvax mise en place par les autorités régionales bruxelloises, ayant voulu mettre en place un système autonome du système mis en place par le Fédéral Qvax, actuellement utilisé par la Flandre et la Wallonie.

    Cette faille dans le système n’est d’ailleurs par le premier problème rencontré par la plateforme bruxelloise de vaccination Bruvax, puisque des fraudes à l’enregistrement avaient également été mises à jour au mois de mai de cette année, permettant aux non-Bruxellois de se faire vacciner dans les centres de la Région.

    Une longue série de manquements et d’erreurs de la part du Gouvernement bruxellois

    Pour le MR ce couac de plus vient compléter la longue série de manquements ou d’erreurs des autorités bruxelloises dans la gestion de la crise du Covid. Georges-Louis Bouchez, Président du MR : « Alain Maron vient de démontrer qu’il n’avait pas la capacité de protéger la vie privée des Bruxellois et le droit au secret médical. Ce défaut de prévention est inacceptable dans une démocratie soucieuse des droits individuels.  Cette énième bévue s’ajoute à la longue liste de manquements observés à Bruxelles depuis le début de la crise sanitaire. »

    Le MR demande des explications

    David Leisterh, Président du MR bruxellois ne décolère pas non plus et réclame toute la transparence dans cette affaire : « Le MR demande la convocation en urgence de la Commission de la Santé pour que le Ministre Maron vienne s’expliquer sur ce Bruvaxgate. Cette faille dans la consultation de données privées existe-elle depuis le lancement de la plateforme ? Comment a-t-elle été rendue possible ? Ce sont des faits extrêmement graves qui remettent en cause la capacité des autorités régionales à protéger les données personnelles relevant du secret médical. Cette situation est particulièrement dommageable pour le lien de confiance qui doit exister entre les pouvoirs publics et les citoyens, dans une période déjà suffisamment sensible et de surcroit dans une Région qui peine déjà à convaincre depuis des mois les citoyens en matière de vaccination. »

  • Le Covid Safe Ticket de la bonne conscience pour masquer le fiasco de la campagne de vaccination

    Le Covid Safe Ticket de la bonne conscience pour masquer le fiasco de la campagne de vaccination

    Ce mercredi, le projet d’ordonnance relative à l’extension du Covid Safe Ticket a été débattu en Commission de la santé.

    Le groupe MR qui a déposé pas moins de 10 amendements (voir annexe), tous rejetés par la majorité, s’abstient aujourd’hui. Notre vote est un vote de lanceurs d’alerte car trop de flous demeurent.

    Alexia Bertrand, cheffe du Groupe du Groupe MR au Parlement bruxellois : « Nous avons décidé de nous abstenir sur le vote du pass sanitaire bruxellois car depuis des semaines nous avons compris que le Gouvernement bruxellois veut surtout utiliser le CST pour masquer l’échec de la vaccination à Bruxelles. Nous sommes venus avec des amendements pour renforcer le cadre légal et démocratique du dispositif. Malheureusement, nous constatons que le Gouvernement bruxellois utilise cet outil pour se donner bonne conscience mais sans poursuivre d’objectifs concrets, ce qui ne résout absolument rien à la crise sanitaire que nous traversons. »

    David Leisterh, Président du MR bruxellois : « Nous avons besoin de transparence démocratique et les garanties à cet égard sont loin d’être rencontrées. Nous avons pointé l’absence de seuils précis pour les différents indicateurs qui permettent d’activer ou de désactiver le pass sanitaire. Le Ministre Maron (Ecolo) nous répond que ce n’est pas possible, malgré les remarques du Conseil d’État qui le juge non seulement souhaitable pour renforcer le principe de légalité mais aussi possible au regard des connaissances épidémiologiques acquises aujourd’hui. Le Gouvernement wallon travaille d’ailleurs avec les experts sur ces seuils. Il y a donc un manque de volonté du Gouvernement bruxellois. Sans critères clairs et sans logique, c’est le fait du Prince. Pour un tel dossier, entrainant des restrictions de liberté, nous ne pouvons pas l’accepter ! »

    Outre l’absence de seuils précis, le Groupe MR dénonce les nombreuses différences qui subsistent entre le CST bruxellois et le futur CST wallon, malgré les concertations entre les gouvernements bruxellois et wallon. Ces différences désavantagent une fois de plus l’économie bruxellois déplore le Groupe MR.

    « Une fois de plus, c’est l’économie bruxelloise qui paye les pots cassés. La sécurité juridique pour le take away n’est pas garantie, la limitation de 8 clients par table à l’extérieur reste d’application uniquement à Bruxelles, et les évènements privés, comme les mariages, ne sont pas clairement exclus du dispositif. La majorité entretient le flou et l’ambiguïté avec le risque d’avoir par la suite une application arbitraire des règles. Ces zones de flou risquent de pénaliser Bruxelles avec une partie des activités qui seront tout simplement délocalisées vers la Wallonie ou la Flandre, sans aucun bénéfice sur le plan sanitaire. Tout cela manque de clarté et de cohérence alors que l’adhésion de la population reste capitale pour sortir de cette crise. » déplore Viviane Teitelbaum.

    La Cheffe de Groupe Alexia BERTRAND regrette aussi la méthode : « Le simple fait que le conseil d’Etat doive rappeler au Gouvernement bruxellois qu’il doit passer par une ordonnance pour prolonger le CST alors que sa durée est plus longue à Bruxelles qu’en Wallonie (puisqu’on peut aller jusqu’en juin 2022) n’inspire pas grande confiance sur la transparence démocratique qui entoure le processus. »

    Le Groupe MR insiste sur le fait que la priorité doit être donnée à la campagne de vaccination. 18% du public à risque des 65+ ne sont pas vaccinés à Bruxelles, cela représente environ 32.000 personnes qui risquent en cas d’infection de développer une forme plus grave du Covid nécessitant une hospitalisation.

    « À cette cadence, il faudra encore plus de 4 mois pour que Bruxelles atteigne le niveau de la Wallonie en matière de vaccination des 18+ et plus de huit mois pour rattraper le retard avec la Flandre. C’est beaucoup trop lent ! Le Gouvernement bruxellois doit se poser les bonnes questions et pas uniquement sortir le pass sanitaire comme dernière carte à abattre. Le fait que l’annonce du pass n’ait eu aucun impact sur l’inscription à la vaccination est déjà un signe qu’ils restent de nombreux efforts à fournir dans d’autres domaines… » conclut David Leisterh.

    Outre la fixation de seuils chiffrés, le Groupe MR a également plaidé pour aligner les CST bruxellois et wallon afin de ne pas pénaliser inutilement l’Horeca bruxellois, pour instaurer une période dérogatoire d’un mois minimum pour les clubs sportifs (une cinquantaine d’équipes pourraient disparaître) et pour limiter ce premier dispositif au 31 janvier 2022 et non pas au 1er juillet 2022. Ces amendements n’ont malheureusement pas été soutenus par la majorité.

  • Visites de terrain du MR Bruxelles : découvrez le planning

    Visites de terrain du MR Bruxelles : découvrez le planning

    Après 1 an et demi sans pouvoir se rencontrer dans les meilleures conditions, nous avons décidé de revenir sur le terrain, au plus près de chez vous ! David, Alexia & vos élus iront chaque semaine à votre rencontre, dans votre rue. 

     

    Une série de porte-à-porte* pour prendre de vos nouvelles, célébrer vos réussites, entendre vos doutes … pour encore mieux prendre conscience de la réalité de votre quotidien. 

    Le 02/10 à 10h à Schaerbeek 

    Le 02/10 à 15h à Evere

    Le 09/10 à 10h à Forest

    Le 09/10 à 14h à Koekelberg 

    Vous nous avez manqué. Nous avons parfois dû prendre ou accepter des décisions difficiles, sans pouvoir vous les expliquer comme nous aurions voulu le faire. La priorité était à l’urgence sanitaire. 

    “Cela fait 1 an et demi que nous défendons les Bruxellois dans cette crise sanitaire, parlons-en !” Alexia Bertrand, Cheffe de Groupe MR au Parlement bruxellois

    Il est temps maintenant de se retrouver, de se parler à nouveau, d’oser se dire les choses et d’avancer ensemble pour apprécier le présent, préparer l’avenir et rattraper le temps perdu. 

    “Les réseaux sociaux c’est bien. On adore échanger en virtuel. Mais le réel, c’est ce qu’on préfère !” David Leisterh, Président MR Bruxelles

    Les dates ne vous conviennent pas ? Organisez votre propre rencontre chez vous avec vos amis, les élus de votre commune, notre Président, David Leisterh ou notre Cheffe de groupe, Alexia Bertrand.

    Intéressé ? Envoyez-nous un message via le Whatsapp du MR Bruxelles (0470 220 220) et l’équipe vous recontactera. 

    *Le planning sera mis à jour chaque semaine. 

    ** Pour connaître l’adresse exacte, contactez-nous via WhatsApp (0470 220 220)

  • « À Bruxelles, c’est la bérézina à tous les étages »

    « À Bruxelles, c’est la bérézina à tous les étages »

    Les députés bruxellois Clémentine Barzin et David Leisterh ont dénoncé la situation problématique à Bruxelles avec la mise en place imminente d’un Covid Safe Ticket.

     

    La Députée bruxelloise MR  Clémentine Barzin a évoqué, ce jour, en Commission des Affaires Économiques, toute la dimension du Covid Safe Ticket suite à l’annonce de son installation relayée par la presse.  Elle a notamment insisté sur les nouvelles différences créées entre les Régions et qui pénalisent à nouveau Bruxelles en raison de l’échec du Gouvernement bruxellois sur la vaccination.

     

    La levée des restrictions COVID depuis le 1er septembre sauf en Région bruxelloise prive aujourd’hui le secteur HORECA de la possibilité d’augmenter le nombre de personnes à table, d’accueillir davantage de clients, de servir au bar et d’ouvrir au-delà d’une heure du matin.

    La Députée déplore que cette restriction ne semble pas avoir été concertée avec les représentants du secteur HORECA dont les établissements subissent de plein fouet l’échec de la politique de vaccination mise en œuvre à Bruxelles malgré les nombreux signaux d’alarme des derniers mois.

     

    « L’annonce, en suite de la panique, d’un pass sanitaire ou de l’élargissement du Covid Safe Ticket, aujourd’hui avec des fuites dans la presse évoquant plusieurs secteurs concernés, divise et soulève de nombreuses interrogations quant à son efficacité sur le public non vacciné, déclaré « précarisé », dénonce Clémentine Barzin.   J’imagine que le gouvernement et votre collègue le Ministre de la Santé ont étudié l’impact d’une telle mesure sur le public visé, ont évalué précisément que restreindre encore l’accès aux bars et aux restaurants de même qu’à d’autres secteurs s’avérera efficace pour accélérer la vaccination et que vous avez sondé la population bruxelloise pour vous assurer de l’efficacité d’une telle mesure avant de l’annoncer ».

     

    Une situation pénalisante pour Bruxelles

     

    En guise de réponse, la Secrétaire d’État bruxelloise à la transition économique a fait un rétroacte et est restée très évasive. Aucun élément n’a été fourni concernant la durée du Covid Safe Ticket ou sur les modalités de ce dispositif alors que nous sommes en pleine urgence. Rien non plus sur la circonscription des mesures aux zones identifiées comme les plus problématiques en termes de vaccination.

     

    Par ailleurs, ces mesures vont avoir pour conséquences une concurrence directe avec les commerces hors de la Région bruxelloise. Un commerce d’Uccle où la vaccination est totalement satisfaisante risque de voir partir des clients vers le brabant wallon et le brabant flamand, ceci est extrêmement pénalisant.

     

    « L’absence de réponse sur la concertation préalable des secteurs et sur l’analyse d’impact des mesures montre une grande impréparation, avec le risque, d’une part, que les mesures prises ne soient pas une réponse à la faiblesse de la vaccination à Bruxelles et, d’autre part, que les conséquences économiques soient à nouveau plus lourdes à Bruxelles. Les commerçants bruxellois ont déjà assez subi : les conséquences inéluctables de la crise sanitaire, avec des aides plus faibles et plus tardives, que pour ne pas subir aujourd’hui les conséquences de l’incurie du gouvernement en matière de vaccination. »

     

    Le MR bruxellois reste fort préoccupé par l’évolution de la situation sanitaire à Bruxelles et regrette que les autorités bruxelloises n’aient pas réagi plus tôt face au manque d’adhésion à la vaccination visible dès le mois d’avril :  » Nous n’acceptons pas que l’économie bruxelloise soit systématiquement la victime collatérale des échecs du gouvernement bruxellois. Primes insuffisantes, relance du tourisme loupée, échec de la vaccination…C’est un peu la Bérézina à tous les étages. » dénonce David Leisterh, Président du MR bruxellois.

     

  • L’actionnariat salarié comme nouveau pacte économique et social

    L’actionnariat salarié comme nouveau pacte économique et social

    Benoît Piedboeuf, chef de groupe MR à la Chambre, et David Leisterh, président du MR bruxellois, défendent ce slogan: « Travailler mieux pour gagner plus ».

    Depuis la révolution industrielle, les pays développés à économie de marché ont connu un développement sans précédent dans l’histoire humaine. Cependant, depuis près d’une quarantaine d’années nous voyons les inégalités exploser dangereusement. Aujourd’hui, plus que jamais, la digitalisation et la mondialisation accentuent ce phénomène et des nouvelles fractures viennent finir de nous convaincre que le capitalisme que nous connaissons n’est plus viable. La crise sanitaire que nous traversons ne doit pas être le moment de faiblir mais au contraire celui d’oser sortir des sentiers battus et de proposer des mesures radicales et innovantes.

    C’est dans ce cadre que l’actionnariat salarié doit être envisagé comme un nouveau pacte économique, social et sociétal.

    Économique car il faut pouvoir acter que la distribution de la valeur ajoutée n’est plus équitable. Les employés sont sans cesse pris dans un piège. Soit l’entreprise fait des bénéfices et se porte bien et eux ne voient aucun impact dans leur pouvoir d’achat , soit l’entreprise va mal et doit les licencier. face je gagne, pile tu perds. Ce n’est pas viable, la privatisation des gains et la socialisation des pertes, ce n’est pas le capitalisme moderne. Permettre aux salariés de détenir une part du capital c’est en terminer avec une vision belliqueuse de l’entreprise. Au niveau macroéconomique c’est un signal à l’ensemble de la société : nous sortirons ensemble de cette crise en acceptant de tous monter dans le même bateau : ceux qui possèdent le capital et ceux qui ne possèdent que leur force de travail.

    Le débat entre le facteur capital et le facteur travail, souvent présenté comme polarisé prend dès lors une nature profondément différente en créant une véritable troisième voie: la participation entre les deux parties prenantes, en reconnaissant l’apport singulier de chacun et la nécessité d’aligner leurs points de vue. Le débat quitte le terrain de la confrontation pour entrer dans celui de la conversation sur le projet commun à développer pour que le facteur travail et le facteur capital puissent être chacun reconnu dans son apport unique et singulier.

    Social car c’est une réhabilitation du travail qui découlerait de ce pacte. En effet, proposer une telle mesure c’est croire en l’intelligence collective et sortir d’une société polarisée par tout et d’accord sur rien. Celui qui travaille ne peut gagner moins que celui qui ne travaille pas, or nous savons que demander aux entreprises d’augmenter les salaires c’est leur demander de se trouver dans une situation précaire face aux autres entreprises dans la compétition mondiale. Ainsi, le mécanisme que nous proposons permet de pallier ce problème par la création de valeur partagée : en partageant les bénéfices, tout le monde y gagne. Le travail devient alors une participation active à un projet et les salariés ont également un intérêt financier à l’avancement de leur entreprise. Grâce à l’actionnariat salarié, il est possible de constituer un capital et susciter davantage d’implication du salarié dans son entreprise.

    Sociétal enfin car c’est une nouvelle société qui doit en découler. En effet, l’actionnariat salarié peut être un moteur pour ré-humaniser les entreprises,redonner une réelle place à l’employé et favoriser la communication avec l’employeur en unissant les deux parties par un objectif commun. Nous pensons qu’il peut aussi favoriser l’éclosion d’un véritable éco-système de start-ups et de PMEs en favorisant l’entrepreneuriat, l’innovation, la création de valeur et l’emploi. Si un célèbre slogan préconise de travailler plus pour gagner plus, ici nous nous proposons de travailler mieux pour gagner plus. C’est une société du compromis et de l’effort qui doit découler de cette mesure qui réconcilie enfin employés et chefs d’entreprises.

    Techniquement, les mécanismes existants en Belgique ne sont pas suffisants. Le Mouvement Réformateur se mobilise pour proposer de donner toute la flexibilité nécessaire aux fondateurs de start-ups, aux entrepreneurs et PMEs ainsi qu’aux grandes entreprises de pouvoir mettre en place des programmes de participation durable de leurs salariés au capital de leur entreprise.

    Ce n’est pas un changement dans la gouvernance des entreprise que nous proposons mais l’avènement d’un nouveau paradigme: le Mouvement Réformateur entend rassembler employeurs et salariés autour de buts communs : la création de valeur et le sentiment d’appartenance à un projet.

     

  • Le MR demande une réunion d’urgence au Parlement pour la vaccination à Bruxelles

    Le MR demande une réunion d’urgence au Parlement pour la vaccination à Bruxelles

    Dans La Libre Belgique, David Leisterh fait le point sur le retard de vaccination à Bruxelles et la nécessité de prendre des mesures complémentaires immédiatement. A défaut d’un sursaut, Bruxelles deviendra une île COVID: restrictions plus fortes, davantage de malades dans les hôpitaux, absence de reprise économique.
    Le Groupe MR demande une réunion d’urgence au Parlement et un sursaut du Gouvernement.
    Retrouvez l’article ICI.
  • Sauvons nos commerces bruxellois après la crise !

    Sauvons nos commerces bruxellois après la crise !

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    Le commerce, les restaurants, les bars, le tourisme et l’événementiel à Bruxelles, ce sont 8.500 indépendants et 112.000 salariés.

    Depuis mars 2020, les compensations publiques à l’impact de la crise covid ont pénalisé les Bruxellois, qui ont globalement reçu des primes plus tard et plus faibles qu’en Wallonie et en Flandre.

    Les exigences de la reprise sont différentes pour chaque secteur mais le soutien public doit être total – encore et surtout aujourd’hui – à l’heure où les dettes accumulées, les investissements nécessaires et les incertitudes quant à la demande pèsent sur la trésorerie.

    De l’argent, il y en a, c’est une question de priorités.
    Et la priorité, c’est l’activité et donc le pouvoir d’achat des Bruxellois.

    Nos demandes envers le gouvernement bruxellois: 

    • Dégager de nouvelles marges budgétaires pour la trésorerie des indépendants et entrepreneurs bruxellois.
    • Mettre en place une compensation de reprise pour TOUS les demandeurs des secteurs les plus impactés, en fonction de leurs besoins et sans fixer de seuil en termes de perte du chiffre d’affaires.
    • Investir dans l’attractivité commerçante de Bruxelles : Offres « 2 nuits + 1 gratuite » pour les hôtels, appels à projets pour soutenir les incitants locaux à la consommation (chèques commerces)…
    • Renforcer les formations pour de futurs employés en hôtellerie, dans les restaurants, dans les événements, un nombre important d’employés ayant changé de vie pour passer le cap de la crise covid.
    • Renoncer ou reporter toute mesure qui aurait pour conséquence d’alourdir encore la charge sur les indépendants et entrepreneurs bruxellois au cours de l’année 2021 : taxation kilométrique, LEZ, toute taxe régionale…

    Aujourd’hui, les élus bruxellois ont la responsabilité de sauver les commerces bruxellois.

    Votre soutien compte. Votre soutien est précieux. Votre soutien est crucial. Soutenez-nous: signez la pétition !

     

    SIGNEZ LA PÉTITION ICI.

  • Prime Tetra : le MR veut revoir les critères d’accès

    Prime Tetra : le MR veut revoir les critères d’accès

    Le MR appelle le gouvernement bruxellois à revoir les critères de perte de chiffre d’affaires pour l’octroi de la prime Tetra. Pour Alexia Bertrand (cheffe de groupe MR au Parlement bruxellois), David Leisterh (Président MR Bruxelles) et Clémentine Barzin (Députée bruxelloise), le seuil de 40% de perte du chiffre d’affaires est intolérable et accentue la précarité d’établissements qui ont besoin d’un soutien du gouvernement bruxellois. La compensation minimale de 6.000€, devrait être accordé à tous les Horeca qui ont souffert de la crise sanitaire.

    Trop de restaurateurs et cafetiers sont laissés au bord du chemin ! C’est le constat des députés libéraux bruxellois à la suite des retours de la prime Tetra, disponible depuis ce lundi 19 avril. Et pour cause, les établissements horeca doivent prouver une perte du chiffre d’affaires de minimum 40% entre le dernier trimestre de 2020 et le dernier trimestre de 2019.

    Or, à l’automne de 2020, au milieu d’une année entière douloureusement marquée par la crise covid et son impact sur l’activité Horeca, de nombreux responsables d’établissements ont multiplié les initiatives pour s’en sortir, pour “se réinventer” : développement du take away, livraisons, commandes en ligne, communications toutes-boîtes….

    Le Gouvernement bruxellois exclut une série d’indépendants

    Le seuil de 40% a dès lors pour conséquence d’exclure d’un soutien financier indispensable des établissements qui, de par des efforts redoublés, n’ont par exemple accusé “que” 30% de perte de chiffres d’affaires. Le besoin est pourtant réel : les dettes de la crise sont toujours là tandis que le financement de la reprise le 8 mai (pour les terrasses) est source de nouvelles inquiétudes.

    « C’est la double peine pour l’Horeca à Bruxelles », dénoncent d’une seule voix Alexia Bertrand (MR), Clémentine Barzin (MR) et David Leisterh (MR). « Non seulement la crise a fragilisé tous ces indépendants mais, en plus, au moment de recevoir l’oxygène tant attendu, le gouvernement bruxellois les en prive ! »

    Élargir les critères d’accès

    Aujourd’hui, le MR bruxellois demande au gouvernement PS-Ecolo-Defi de rouvrir dans les meilleurs délais les critères d’accès à la prime Tetra.

    En Wallonie, les primes Horeca, entre 4.000 et 12.000 euros, sont calculées en fonction du nombre d’équivalents temps plein (ETP) d’un établissement. Quand on n’engage personne d’autre que soi, l’on reçoit quoi qu’il en soit une compensation de 4.000 euros. Le gouvernement bruxellois doit revoir ce critère de pourcentage de perte du chiffre d’affaires !

    En outre, en Région bruxelloise, un seuil de compensation minimum de 6.000 euros est accordé aux établissements ouverts récemment. Pourquoi ce seuil n’est-il pas applicable à tous les établissements Horeca qui ont souffert de la crise covid ?  A la veille de la reprise de l’Horeca dans le pays et à Bruxelles, de nombreux restaurateurs et cafetiers sont préoccupés par le financement de leur réouverture : comment payer le matériel de sécurité sanitaire, l’éventuelle nouvelle terrasse, les fournisseurs,…? Pour certains c’est déjà trop tard mais pour d’autres, c’est un cap qu’il faut aider à passer.

    « Le gouvernement bruxellois, à la traîne sur de nombreuses mesures, inférieures aux deux autres Régions, ne peut rater ce nouveau rendez-vous », concluent les députés libéraux.

  • Le MR Bruxelles défend une proposition équilibrée pour protéger la forêt urbaine de la RTBF

    Le MR Bruxelles défend une proposition équilibrée pour protéger la forêt urbaine de la RTBF

    Le « bois Georgin » est le nom d’usage attribué à l’espace boisé d’une superficie d’environ 5 hectares, situé dans la commune de Schaerbeek, à l’arrière des sites de la RTBF et de la VRT.

     

    « Ce bois a la particularité d’avoir évolué de manière relativement autonome, sans intervention de l’homme, depuis son intégration en 1962 dans le complexe audiovisuel », explique Gaëtan Van Goidsenhoven. Pour cette raison, une grande variété de flore et de faune a pu se développer autour des 15.000 arbres du site. Or, dans l’état actuel du projet d’aménagement du site défendu par le Gouvernement bruxellois, la majeure partie de cette forêt urbaine devrait disparaître, ce qui est complément antagoniste avec les objectifs de maintien de la biodiversité urbaine, de préservation des îlots de fraîcheur et de qualité de vie en ville.

     

    Cette forêt urbaine devrait disparaître, ce qui est complément antagoniste avec les objectifs de maintien de la biodiversité urbaine, de préservation des îlots de fraîcheur et de qualité de vie en ville. Gaëtan Van Goidsenhoven

     

    En se basant sur la situation concrète du lieu, le MR Bruxelles propose de protéger la majeure partie du bois, sur des parcelles vouées à la bétonisation dans le plan de la majorité PSEcoloDéfi.

    « Il y a lieu d’observer que la conception des autorités bruxelloises relative à la nécessité de construire autant de logements remonte à plusieurs années, dans un contexte où les projections démographiques faisaient état d’une hausse considérable de la population pour les années à venir, poursuit Geoffroy Coomans de Brachène. Or, entre-temps, les dernières projections démographiques ont été sérieusement revues à la baisse : le « boom démographique » bruxellois est désormais derrière nous ».

    « Il faut également tenir compte de l’importante possibilité de rénover de nombreux immeubles et maisons vides aux alentours, complète Gaëtan Van Goidsenhoven. On estime que plus de 3.000 logements pourraient ainsi être trouvés parmi les autres projets ou logements abandonnés dans la zone Reyers ».

    Néanmoins, le MR bruxellois demeure convaincu de la nécessité de créer du logement neuf, abordable et qualitatif en Région bruxelloise, d’une part pour répondre à la crise du logement actuel et, d’autre part, afin de proposer un modèle de ville attractif pour les personnes issues de la classe moyenne au sein de la capitale.

    « En ce sens, l’objectif poursuivi n’est pas de s’opposer radicalement à la construction de logements au sein du PAD Mediapark, mais bien de trouver un équilibre entre la nécessité de densifier de manière maîtrisée une partie du site et de préserver les richesses de diversité biologique d’une autre partie, le tout à la lumière des éléments contextuels », conclut David Leisterh, président de la Régionale du MR.

     

    L’objectif est de trouver un équilibre entre densifier de manière maîtrisée une partie du site et  préserver les richesses de diversité biologique, le tout à la lumière des éléments contextuels. David Leisterh

     

    Pour toutes ces raisons, le groupe MR défend un ajustement équilibré du programme de construction tel que prévu par le projet de Plan d’aménagement directeur (PAD) actuel, en élargissant le périmètre de protection de cette forêt urbaine à toute la partie sud, le long de la rue Colonel Bourg.

    Retrouvez la proposition de résolution complète ici.

  • Transférer les matières personnalisables aux Régions

    Transférer les matières personnalisables aux Régions

    David Leisterh propose une réforme de la Belgique. Cette dernière sera un compromis entre régionalistes et communautaristes. Il souhaite transférer les matières personnalisables aux Régions.

    Un Bruxelles en perte de vitesse

    Pour le libéral, il y a beaucoup trop de mandataires politiques en Région bruxelloise. 89 députés pour gérer Bruxelles, c’est trop lourd. Les administrations régionales sont également trop lourdes et parfois redondantes. On se pose parfois la question de leur utilité et de leur efficacité. La Région bruxelloise a créé des structures couche sur couche, rajoute de la graisse quand ça fonctionne moins bien. Sauf qu’il y a désormais plus de graisse que de rouages.

    Ensuite, Bruxelles a besoin d’une personne qui l’incarne. « Une personne qui a de la gueule et qui a les épaules suffisantes pour la défendre, notamment concernant un plan de relance ».

    Enfin, Bruxelles a développé ces derniers temps, une stratégie pour faire en sorte que les Wallons et les Flamands ne se sentent plus accueillis à Bruxelles. Ces derniers n’ont plus envie de venir dans la capitale. Pire que cela, la jeunesse et les talents bruxellois quittent la Région.

    Un exode de la classe moyenne et des talents

    On observe, à Bruxelles, un exode de la classe moyenne et des entreprises. L’an dernier, 3.000 entreprises ont quitté la capitale. Ces départs affaiblissent le positionnement politique et institutionnel de Bruxelles.

    Un Bruxelles crédible

    Pour régler ces problèmes, le Président du MR Bruxelles propose de redonner de la crédibilité à la Région bruxelloise. Pour ce faire, David Leisterh veut transférer les matières personnalisables aux Régions pour avoir une cohérence dans les politiques menées (santé, etc.). La Communauté française garde l’enseignement et la culture. Le Gouvernement serait composé de Wallons et Bruxellois. La Ministre-Président serait, à tour de rôle, entre une personne bruxelloise et wallonne.

    Retrouvez l’article complet du Le Soir ICI.

    Retrouvez l’interview de David Leisterh sur La Première ICI.