Catégorie : Clémentine Barzin

  • Uccle : des actions contre la malpropreté

    Uccle : des actions contre la malpropreté

    Chères riveraines, Chers riverains,

    Comme vous pouvez chaque jour le constater, la Chaussée d’Alsemberg, l’Avenue Winston Churchill ou encore le square des Héros connaissent d’importantes difficultés de propreté publique. On ne compte plus les déchets qui s’accumulent, les tags, etc.

    Bruxelles est trop sale pour les Bruxellois

    Cette situation ne peut plus durer. Elle n’est d’ailleurs malheureusement pas spécifique à notre quartier. Les enquêtes d’opinion sont unanimes : les Bruxellois ne sont pas satisfaits de la propreté dans leur région et placent cette thématique dans le top 3 de leurs priorités. On pourrait croire que le Gouvernement régional l’a compris puisque l’Agence Bruxelles-Propreté a vu sa dotation augmenter de 244% en 15 ans (186 millions en 2020) ! Hélas, la gestion de l’Agence a été plusieurs fois dénoncée par la Cour des Comptes. Pire, malgré une augmentation du personnel tout aussi impressionnante (+20% en 5 ans), la propreté à Bruxelles reste un vrai problème qui a entamé la crédibilité du Gouvernement, l’image de Bruxelles, mais aussi la motivation du personnel.

    Le MR, dans l’opposition régionale bruxelloise depuis bientôt 20 ans, veut rendre à Bruxelles ses lettres de noblesse et faire de la propreté une priorité en s’inspirant d’autres villes proches et plus propres, à l’instar de Malines, mais aussi en s’alimentant de votre expérience dans votre commune. Le manque de propreté est en effet précurseur de nombreuses situations négatives: un quartier sale est synonyme de quartier peu sécurisé pour ses habitants. Il est alors moins fréquenté, ce qui fait souffrir les commerces des alentours et par extension toute la vie économique du quartier.

    Le MR propose la mise en place d’actions concrètes

    Au niveau communal, notre Échevine de la Propreté Carine Gol et les services de la propreté à Uccle comblent chaque jours les défaillances de la Région bruxelloise en la matière. Notre Echevine de la Propreté continuera à suivre et à interpeller le Ministre de la Propreté ainsi que l’Agence de Bruxelles-Propreté. Au niveau régional, nos députés déposeront une résolution demandant au Gouvernement bruxellois de se doter de réels moyens de répressions des infractions mais aussi de transférer la compétence du nettoiement des voiries au niveau des communes, afin de ne plus être confronté à l’habituelle remarque : « cette voirie n’est pas du ressort de la commune mais bien de la Région… ».

    Plus spécifiquement, nous demandons de renforcer les cellules répressives dédiées à la traque des actes de malpropreté, d’instaurer de véritables patrouilles de surveillance sur le terrain, mais aussi nous demandons des sanctions pécuniaires élevées pour des incivilités en matière de non-respect de la propreté publique. Il faut aussi introduire la possibilité d’infliger la prestation citoyenne comme sanction alternative en cas d’infraction.

    N’hésitez pas à nous interpeller ou à nous contacter pour suivre notre travail, nous soutenir ou échanger !

  • Horeca, monde de la nuit et culture à Bruxelles : il faut urgemment un plan Marshall !

    Horeca, monde de la nuit et culture à Bruxelles : il faut urgemment un plan Marshall !

    A l’heure où le Comité de concertation devrait relâcher les restrictions liées à la situation sanitaire, le Mouvement Réformateur bruxellois demeure extrêmement préoccupé par la situation dans l’HORECA, le monde de la nuit et la culture non subventionnée.

     

    Il faut travailler sur trois axes pour tenter de limiter les dégâts économiques et humains dans ces secteurs qui occupent un volume d’emploi important et font vivre Bruxelles.

     

    David Leisterh, Président du MR Bruxellois et député régional, et Clémentine Barzin, députée MR, ont rencontré de nombreux acteurs ces dernières semaines. Le constat est clair : même si le secteur de la nuit pourra probablement lui aussi à nouveau accueillir cette fête à laquelle tout le monde aspire depuis deux ans, les entreprises de ces secteurs n’y sont pas, à la fête, et pour longtemps encore.

     

    En cause, le poids de la dette créée durant la crise, mais aussi, la perte de chiffres d’affaires dus aux fermetures, à la baisse de capacité d’exploitation ou à la perte de +/- 30 % de clients en télétravail pour l’Horeca.

     

    Dans ce cadre, Bruxelles devra grandement son redressement économique à la bonne santé de son horeca, de son secteur de la nuit et de ses entreprises culturelles. « C’est essentiel pour notre attractivité : aider l’HORECA, c’est aider au redéploiement de toute la Région », souligne David Leisterh. C’est pour cette raison que le MR a rencontré différents acteurs de terrain ce mardi pour faire le point.

     

    Suite à ces rencontres, nous demandons :

     

    1. La réouverture du secteur de la nuit lors du prochain CODECO au vu de l’amélioration de la situation sanitaire et des investissement lourds qui avaient déjà été réalisés en matière de protocole sanitaire par les acteurs du secteur.
    2. La mise sur pied d’une TASK FORCE composée des autorités fédérales et régionales mais aussi des acteurs de terrain afin de développer un Plan Marshall bruxellois qui doit aider à reconstruire tous ces secteurs et, derrière, toute une région. Où sont les aides promises ? Les professionnels les attendent depuis la mi-décembre ! Il faut s’assurer d’un soutien économique efficace.
    3. Où sont les indemnités promises au secteur bruxellois pour compenser les inégalités en termes de primes avec la Région wallonne et flamande.

     

    Et pour cause, les constats sont nombreux dont, entre autres, l’amnésie de certaines institutions publiques quant aux crises de ces dernières années (qui remontent aux attentats terroristes) et le peu de clémence que ça engendre auprès d’un secteur dont même des institutions qui ont pignon sur rue reçoivent des menaces de faillite si telle ou telle dette vis-à-vis de l’Etat n’est pas directement payée.

     

    En parallèle, d’autres sociétés bien connues ont vu leur trésorerie fondre comme neige au soleil et ne comprennent toujours pas les disparités régionales en termes de primes octroyées. La concurrence régionale va aujourd’hui battre son plein et Bruxelles ne peut pas perdre cette bataille-là aussi.

     

    L’urgence est aujourd’hui différente : nous ne devons plus saupoudrer une aide similaire à l’ensemble des acteurs mais plutôt développer une approche micro-économique dans le cadre d’un plan Marshall savamment étudié qui aide intelligemment les acteurs économiques bruxellois à se redresser et à redresser l’emploi bruxellois.

  • Bulletin décevant pour la prime Phoenix

    Bulletin décevant pour la prime Phoenix

    La députée Clémentine Barzin a interrogé le Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt, au sujet de la prime à l’embauche phoenix.brussels, mise en place par le gouvernement bruxellois comme réponse aux impacts de la crise du Covid sur le marché de l’emploi.

    Le nombre de demandeurs d’emploi en août 2021 s’élevait à 90.863 personnes. Depuis avril 2020, mois de référence retenu pour le lancement de la prime Phœnix, l’on dénombre ainsi 3.592 demandeurs d’emploi supplémentaires. *

    La députée libérale constate toutefois que la prime Phœnix, disponible depuis le 1er janvier 2021, n’a malheureusement permis d’engager que 837 demandeurs d’emploi. C’est extrêmement peu non seulement par rapport aux demandeurs d’emploi « venus » pendant la crise mais également par rapport aux ambitions du Gouvernement bruxellois qui avait initialement prévu un budget de 30 millions d’euros pour la mesure. 

     Aujourd’hui, le bilan est clair pour Phoenix : le ministre bruxellois de l’Emploi estime le budget liquidé à 3 millions d’euros, soit 10 fois moins que le budget initialement prévu ! « Le gouvernement doit recalibrer les critères pour rendre la prime plus efficace. La crise est loin d’être terminée. De nombreux secteurs ont perdu une part importante de leur chiffre d’affaires. La prime Phoenix est actuellement disponible pour les demandeurs d’emploi inoccupés (ré)inscrits entre le 1er avril 2020 et le 31 décembre 2021 suite à une perte d’emploi. Or, le chômage temporaire a été prolongé jusqu’au 31 décembre 2021, il faut donc absolument étendre la période d’inscription de sorte à pouvoir rencontrer, sans doute, l’arrivée d’un certain nombre de nouveaux demandeurs d’emploi après ce délai », demande Clémentine Barzin.

    Le Groupe MR veut également une évaluation des aides Activa et Phoenix vu ces faibles résultats constatés et les importants soldes budgétaires : « Les deniers publics pour l’emploi à Bruxelles doivent être investis dans des solutions efficaces ! Nous constatons par exemple qu’une majorité de demandeurs d’emploi engagés via Phœnix sont âgés de moins de 30 ans. « Qu’en est-il de l’efficacité pour les plus de 30 ans, qui constituent la part la plus importante de l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi depuis 1,5 an ? », s’interroge la députée libérale.

    6 mois : un délai trop court pour attirer des candidats et pérenniser l’emploi créé

    Par ailleurs, on observe une utilisation d’environ 17% dans le secteur du commerce, de 13% dans l’Horeca, et d’à peine 3% dans la construction. Ces trois secteurs, notamment la construction et l’Horeca, sont marqués par des pénuries. Un soutien plus long pourrait sans doute aider à séduire plus de candidats : « Dans une crise où pèse l’incertitude du lendemain quant à l’activité, la condition d’une embauche pour 6 mois minimum se révèle inappropriée », regrette Clémentine Barzin. « Il aurait fallu être plus souple pour favoriser l’accès à la prime ».
    D’un autre côté, le nombre de demandeurs d’emploi engagés via la prime pré-existante, Activa, est aussi assez faible, avec seulement 1.541 engagements à la mi-2021. On peut se poser la question s’il n’y a pas de surcroît une concurrence entre Phœnix et Activa, qui engage l’employeur à plus long terme (la prime activa.brussels peut atteindre 15.900 euros sur 30 mois).   
     
    « Phœnix est une prime de crise et Actiris doit aiguiller les demandeurs d’emploi vers ce qui est le plus intéressant à un moment donné. Dans l’immédiate arrivée au chômage, c’est Phœnix. Mais ensuite, c’est Activa. Si cette concurrence entre les primes existe, elle se fait au détriment du demandeur d’emploi ! Ça ne va pas », conclut la députée qui demande au ministre bruxellois de l’Emploi Bernard Clerfayt (Défi) de revoir Phoenix au plus vite.
  • « À Bruxelles, c’est la bérézina à tous les étages »

    « À Bruxelles, c’est la bérézina à tous les étages »

    Les députés bruxellois Clémentine Barzin et David Leisterh ont dénoncé la situation problématique à Bruxelles avec la mise en place imminente d’un Covid Safe Ticket.

     

    La Députée bruxelloise MR  Clémentine Barzin a évoqué, ce jour, en Commission des Affaires Économiques, toute la dimension du Covid Safe Ticket suite à l’annonce de son installation relayée par la presse.  Elle a notamment insisté sur les nouvelles différences créées entre les Régions et qui pénalisent à nouveau Bruxelles en raison de l’échec du Gouvernement bruxellois sur la vaccination.

     

    La levée des restrictions COVID depuis le 1er septembre sauf en Région bruxelloise prive aujourd’hui le secteur HORECA de la possibilité d’augmenter le nombre de personnes à table, d’accueillir davantage de clients, de servir au bar et d’ouvrir au-delà d’une heure du matin.

    La Députée déplore que cette restriction ne semble pas avoir été concertée avec les représentants du secteur HORECA dont les établissements subissent de plein fouet l’échec de la politique de vaccination mise en œuvre à Bruxelles malgré les nombreux signaux d’alarme des derniers mois.

     

    « L’annonce, en suite de la panique, d’un pass sanitaire ou de l’élargissement du Covid Safe Ticket, aujourd’hui avec des fuites dans la presse évoquant plusieurs secteurs concernés, divise et soulève de nombreuses interrogations quant à son efficacité sur le public non vacciné, déclaré « précarisé », dénonce Clémentine Barzin.   J’imagine que le gouvernement et votre collègue le Ministre de la Santé ont étudié l’impact d’une telle mesure sur le public visé, ont évalué précisément que restreindre encore l’accès aux bars et aux restaurants de même qu’à d’autres secteurs s’avérera efficace pour accélérer la vaccination et que vous avez sondé la population bruxelloise pour vous assurer de l’efficacité d’une telle mesure avant de l’annoncer ».

     

    Une situation pénalisante pour Bruxelles

     

    En guise de réponse, la Secrétaire d’État bruxelloise à la transition économique a fait un rétroacte et est restée très évasive. Aucun élément n’a été fourni concernant la durée du Covid Safe Ticket ou sur les modalités de ce dispositif alors que nous sommes en pleine urgence. Rien non plus sur la circonscription des mesures aux zones identifiées comme les plus problématiques en termes de vaccination.

     

    Par ailleurs, ces mesures vont avoir pour conséquences une concurrence directe avec les commerces hors de la Région bruxelloise. Un commerce d’Uccle où la vaccination est totalement satisfaisante risque de voir partir des clients vers le brabant wallon et le brabant flamand, ceci est extrêmement pénalisant.

     

    « L’absence de réponse sur la concertation préalable des secteurs et sur l’analyse d’impact des mesures montre une grande impréparation, avec le risque, d’une part, que les mesures prises ne soient pas une réponse à la faiblesse de la vaccination à Bruxelles et, d’autre part, que les conséquences économiques soient à nouveau plus lourdes à Bruxelles. Les commerçants bruxellois ont déjà assez subi : les conséquences inéluctables de la crise sanitaire, avec des aides plus faibles et plus tardives, que pour ne pas subir aujourd’hui les conséquences de l’incurie du gouvernement en matière de vaccination. »

     

    Le MR bruxellois reste fort préoccupé par l’évolution de la situation sanitaire à Bruxelles et regrette que les autorités bruxelloises n’aient pas réagi plus tôt face au manque d’adhésion à la vaccination visible dès le mois d’avril :  » Nous n’acceptons pas que l’économie bruxelloise soit systématiquement la victime collatérale des échecs du gouvernement bruxellois. Primes insuffisantes, relance du tourisme loupée, échec de la vaccination…C’est un peu la Bérézina à tous les étages. » dénonce David Leisterh, Président du MR bruxellois.

     

  • Sauvons nos commerces bruxellois après la crise !

    Sauvons nos commerces bruxellois après la crise !

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    Le commerce, les restaurants, les bars, le tourisme et l’événementiel à Bruxelles, ce sont 8.500 indépendants et 112.000 salariés.

    Depuis mars 2020, les compensations publiques à l’impact de la crise covid ont pénalisé les Bruxellois, qui ont globalement reçu des primes plus tard et plus faibles qu’en Wallonie et en Flandre.

    Les exigences de la reprise sont différentes pour chaque secteur mais le soutien public doit être total – encore et surtout aujourd’hui – à l’heure où les dettes accumulées, les investissements nécessaires et les incertitudes quant à la demande pèsent sur la trésorerie.

    De l’argent, il y en a, c’est une question de priorités.
    Et la priorité, c’est l’activité et donc le pouvoir d’achat des Bruxellois.

    Nos demandes envers le gouvernement bruxellois: 

    • Dégager de nouvelles marges budgétaires pour la trésorerie des indépendants et entrepreneurs bruxellois.
    • Mettre en place une compensation de reprise pour TOUS les demandeurs des secteurs les plus impactés, en fonction de leurs besoins et sans fixer de seuil en termes de perte du chiffre d’affaires.
    • Investir dans l’attractivité commerçante de Bruxelles : Offres « 2 nuits + 1 gratuite » pour les hôtels, appels à projets pour soutenir les incitants locaux à la consommation (chèques commerces)…
    • Renforcer les formations pour de futurs employés en hôtellerie, dans les restaurants, dans les événements, un nombre important d’employés ayant changé de vie pour passer le cap de la crise covid.
    • Renoncer ou reporter toute mesure qui aurait pour conséquence d’alourdir encore la charge sur les indépendants et entrepreneurs bruxellois au cours de l’année 2021 : taxation kilométrique, LEZ, toute taxe régionale…

    Aujourd’hui, les élus bruxellois ont la responsabilité de sauver les commerces bruxellois.

    Votre soutien compte. Votre soutien est précieux. Votre soutien est crucial. Soutenez-nous: signez la pétition !

     

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  • Prime Tetra : le MR veut revoir les critères d’accès

    Prime Tetra : le MR veut revoir les critères d’accès

    Le MR appelle le gouvernement bruxellois à revoir les critères de perte de chiffre d’affaires pour l’octroi de la prime Tetra. Pour Alexia Bertrand (cheffe de groupe MR au Parlement bruxellois), David Leisterh (Président MR Bruxelles) et Clémentine Barzin (Députée bruxelloise), le seuil de 40% de perte du chiffre d’affaires est intolérable et accentue la précarité d’établissements qui ont besoin d’un soutien du gouvernement bruxellois. La compensation minimale de 6.000€, devrait être accordé à tous les Horeca qui ont souffert de la crise sanitaire.

    Trop de restaurateurs et cafetiers sont laissés au bord du chemin ! C’est le constat des députés libéraux bruxellois à la suite des retours de la prime Tetra, disponible depuis ce lundi 19 avril. Et pour cause, les établissements horeca doivent prouver une perte du chiffre d’affaires de minimum 40% entre le dernier trimestre de 2020 et le dernier trimestre de 2019.

    Or, à l’automne de 2020, au milieu d’une année entière douloureusement marquée par la crise covid et son impact sur l’activité Horeca, de nombreux responsables d’établissements ont multiplié les initiatives pour s’en sortir, pour “se réinventer” : développement du take away, livraisons, commandes en ligne, communications toutes-boîtes….

    Le Gouvernement bruxellois exclut une série d’indépendants

    Le seuil de 40% a dès lors pour conséquence d’exclure d’un soutien financier indispensable des établissements qui, de par des efforts redoublés, n’ont par exemple accusé “que” 30% de perte de chiffres d’affaires. Le besoin est pourtant réel : les dettes de la crise sont toujours là tandis que le financement de la reprise le 8 mai (pour les terrasses) est source de nouvelles inquiétudes.

    « C’est la double peine pour l’Horeca à Bruxelles », dénoncent d’une seule voix Alexia Bertrand (MR), Clémentine Barzin (MR) et David Leisterh (MR). « Non seulement la crise a fragilisé tous ces indépendants mais, en plus, au moment de recevoir l’oxygène tant attendu, le gouvernement bruxellois les en prive ! »

    Élargir les critères d’accès

    Aujourd’hui, le MR bruxellois demande au gouvernement PS-Ecolo-Defi de rouvrir dans les meilleurs délais les critères d’accès à la prime Tetra.

    En Wallonie, les primes Horeca, entre 4.000 et 12.000 euros, sont calculées en fonction du nombre d’équivalents temps plein (ETP) d’un établissement. Quand on n’engage personne d’autre que soi, l’on reçoit quoi qu’il en soit une compensation de 4.000 euros. Le gouvernement bruxellois doit revoir ce critère de pourcentage de perte du chiffre d’affaires !

    En outre, en Région bruxelloise, un seuil de compensation minimum de 6.000 euros est accordé aux établissements ouverts récemment. Pourquoi ce seuil n’est-il pas applicable à tous les établissements Horeca qui ont souffert de la crise covid ?  A la veille de la reprise de l’Horeca dans le pays et à Bruxelles, de nombreux restaurateurs et cafetiers sont préoccupés par le financement de leur réouverture : comment payer le matériel de sécurité sanitaire, l’éventuelle nouvelle terrasse, les fournisseurs,…? Pour certains c’est déjà trop tard mais pour d’autres, c’est un cap qu’il faut aider à passer.

    « Le gouvernement bruxellois, à la traîne sur de nombreuses mesures, inférieures aux deux autres Régions, ne peut rater ce nouveau rendez-vous », concluent les députés libéraux.