Catégorie : Aurélie Czekalski

  • Aurélie Czekalski face à Alain Maron sur LN24

    Aurélie Czekalski face à Alain Maron sur LN24

    Il y a quelques jours, la Députée bruxelloise Aurélie Czekalski était invitée sur le plateau du « Petit théâtre de Vrebos » face au Ministre Alain Maron (Ecolo). Elle a pu y parler de sujets d’actualité et réagir concernant le récent referendum organisé à Paris visant à mettre en place un stationnement plus onéreux pour les SUV. La problématique de la propreté a également été abordée, notamment les collectes de déchets en Région bruxelloise et la lutte contre les dépôts clandestins.

    Un seul constat : Bruxelles est sale, 10 ans de promesses, 0 résultat. Les Bruxellois vivent pour la plupart dans des appartements et n’ont pas toutes et tous la chance d’avoir un local poubelles dans leur immeuble. La question du stockage des déchets en attendant le jour de la collecte est primordiale. L’occasion pour Aurélie Czekalski de plaider pour une collecte innovante des détritus. Elle propose des mesures concrètes : une analyse quartier par quartier pour étudier la possibilité d’installer des conteneurs enterrés, l’installation de petites unités décentralisées de biométhanisation, bref en résumé, faisons appel à l’innovation en matière de traitement des déchets…  L’objectif est clair : avoir une politique de collecte des déchets optimale.

     

    Les échanges ont aussi porté sur la mobilité, la politique de stationnement et la question de la fiscalité automobile. Les mesures du Gouvernement bruxellois actuel sont trop restrictives, punitives et désavantagent les conducteurs. Aurélie Czekalski a donc défendu le principe de multimodalité, la liberté de choisir le ou les moyens de transport que l’usager souhaite en fonction de ses besoins. Si on veut que Bruxelles devienne une capitale où il est facile de circuler, il faut que la transition soit accompagnée. Les pouvoirs publics doivent jouer un rôle de booster. Cela passe par la mise en place d’alternatives fiables tels que des transports en commun fiables, sûrs, propres et efficaces, le déploiement de bornes de recharge accessibles aux quatre coins de la Région, des investissements dans les carburants alternatifs, … Le but : une capitale attractive et accessible !

     

  • Les politiques de rénovation du bâti doivent être incitatives avant d’être punitives

    Les politiques de rénovation du bâti doivent être incitatives avant d’être punitives

    Pour le MR, les politiques de rénovation du bâti doivent être incitatives avant d’être punitives. Le Gouvernement bruxellois n’a pas encore défini comment financer cette rénovation. Une stratégie forte doit identifier des sources de financement stables et mettre en place des incitations financières pour encourager les gens à rénover.

    Pour rénover le bâti bruxellois, il faut 28,7 milliards d’euros d’ici à 2050 soit 956 millions d’euros par an. En effet, dans le secteur des bâtiments, le taux et l’ampleur des rénovations devaient augmenter radicalement et rapidement pour passer de 1 % à environ 5 % par an, ce qui représente donc en moyenne 50 immeubles à rénover par jour. La rénovation du bâti bruxellois, c’est un chantier titanesque. Il faut s’y atteler dès maintenant, mais il faut le faire intelligemment.

    • Les impacts de la réforme seront multiples :
    • impact sur les locataires comme la hausse des loyers
    • impact sur les propriétaires comme la disponibilité des moyens financiers ou obligation de vendre son bien au rabais
    • Un impact sur les entreprises comme le risque de faillite pour les entreprises étant en impossibilité financière de mise aux normes…
    • Un impact sur le nombre d’entreprises capables de réaliser les rénovations imposées. Le secteur de la construction qui pourrait rencontrer des difficultés à répondre à l’accroissement de la demande. Cette situation aurait notamment un impact sur les coûts des travaux de rénovation.
    • Un impact administratif comme l’augmentation du nombre de demande de permis d’urbanisme à examiner).

    La rénovation du bâti bruxellois, c’est une opportunité de créer de l’emploi et de développer des filières économiques durables. A cet égard, 8.000 jobsdevaient être créés !

    La politique actuelle du Gouvernement bruxellois consiste à demander à la classe moyenne de sortir des sous magiques pour rénover à ses frais sans véritable soutien supplémentaire. Payer plus pour recevoir moins.

    Plus de 40 % des logements bruxellois sont en copropriété. La rénovation énergétique des copropriétés est un sujet complexe qui peut générer des conflits entre les copropriétaires. Il est important de trouver des solutions équitables pour répartir les coûts des travaux et de prendre en compte les efforts déjà réalisés par certains copropriétaires. Des éléments auxquels le texte voté cette semaine au Parlement bruxellois ne répond pas.

    Obliger les propriétaires d’un bien de classe G ou F  à rénover leurs bâtiments d’ici 10 ans, sans en définir les priorités d’actions ni les sources de financements, c’est une catastrophe annoncée.

    La Région doit réussir sa transition sans dégâts socio-économiques. Les générations futures nous jugeront sur notre capacité à réussir cette transition.

  • L’accès à l’eau, un droit fondamental qui doit être garanti à toutes et tous   

    L’accès à l’eau, un droit fondamental qui doit être garanti à toutes et tous  

    La presse relaie ce matin les dernières informations financières de Vivaqua, intercommunale bruxelloise en charge de la production, de la distribution d’eau potable mais aussi de la gestion des réseaux d’égouttage et de la lutte contre les inondations en Région bruxelloise.

    Le groupe MR par la voix des députées bruxelloises MR Aurélie Czekalski et Viviane Teitelbaum a tenu à rappeler avoir déposé en juin dernier une proposition de résolution visant à garantir l’accessibilité tarifaire de l’eau à Bruxelles. Cette initiative est essentielle pour préserver l’accès équitable à l’eau, un bien de première nécessité, tout en tenant compte des coûts environnementaux et de la ressource. Ce texte[1] a été débattu et rejeté par la majorité le vendredi 12 janvier en séance plénière au Parlement bruxellois.

    L’augmentation tarifaire de Vivaqua, approuvée par Brugel en février 2023, a permis à l’opérateur d’assurer un niveau minimal de financement pour les investissements nécessaires au maintien d’un service de qualité en eau. Toutefois, ce n’est pas de cette manière que Vivaqua peut résoudre les problèmes de sous-financement chronique auxquels elle est confrontée depuis quelques temps.

    En octobre dernier, la Directrice générale de Vivaqua est venue faire le point au Parlement bruxellois quant à la situation financière de son institution. Elle tire de nouveau la sonnette d’alarme dans la presse ce jour. La dette de Vivaqua est estimée à un milliard d’euros, ce qui l’empêche de réaliser les investissements nécessaires à la rénovation du réseau d’égouttage. En outre, Vivaqua doit faire face à des problèmes informatiques et à une hausse des coûts du personnel. L’an dernier, l’intercommunale n’a pu rénover que 14 km d’égouts, soit une fraction des besoins. La directrice générale de Vivaqua plaide pour un soutien financier de la Région bruxelloise. Elle estime que l’avenir de l’entreprise est en jeu.

    Dans ce contexte, les Députées estiment qu’il est temps d’œuvrer à la rationalisation dans le partage des investissements entre les opérateurs de l’eau, notamment en matière de lutte contre les inondations, comme les bassins d’orage qui relèvent aujourd’hui, dans la pratique, tant de VIVAQUA que d’Hydria.

    Contrairement à d’autres structures publiques qui reçoivent une dotation, VIVAQUA, qui agit sur toute la chaine d’approvisionnement de l’eau, doit se procurer ses recettes quasi intégralement sur le prix de l’eau, prix sur lequel l’opérateur a un pouvoir de fixation très limité. Or, l’eau est un bien de première nécessité et  l’accès à l’eau un droit fondamental qui doit être protégé.

    Afin de disposer des garanties de transparence et d’objectivation des besoins financiers des opérateurs de l’eau, garanties nécessaires pour déterminer l’éventuel niveau d’intervention régionale, les députées du groupe MR ont demandé au Gouvernement bruxellois de réaliser au plus vite l’analyse de la rationalisation du secteur de l’eau qui doit permettre d’identifier les rôles et les responsabilités de chaque acteur de l’eau, les coûts liés à l’eau, les sources de financement de différents services, les synergies envisageables,… Le tout dans une optique d’optimisation et d’assainissement des charges financières de Vivaqua.

    « L’eau est un bien public important. Vivaqua, qui fournit l’eau à Bruxelles, est en difficulté financière. Le Gouvernement bruxellois devrait aider Vivaqua afin de garantir l’accès à l’eau à toutes et  tous les Bruxellois. Nous regrettons l’issue du vote majorité/opposition car cela fait neuf années que nous attendons cette étude quant à la rationalisation du secteur de l’eau à Bruxelles. La balle est dans le camp du Gouvernement. », déclarent Aurélie Czekalski et Viviane Teitelbaum.

    David Leisterh, chef de groupe MR est inquiet : « La situation devient plus dangereuse chaque jour. Mieux vaut sauver Vivaqua aujourd’hui que demain ».

     

    Viviane Teitelbaum,                                                                   Aurélie Czekalski,

    Députée bruxelloise                                                                Députée bruxelloise

     

    [1] Lien vers la proposition de résolution visant l’assainissement des charges financières de Vivaqua en vue de garantir le principe d’accessibilité tarifaire de l’eau et l’exécution des investissements assurants le maintien d’un approvisionnement de qualité en eau : http://weblex.irisnet.be/data/crb/doc/2022-23/148257/images.pdf

  • Soutien aux riverains excédés par les nuisances des nouvelles rames de métro !

    Soutien aux riverains excédés par les nuisances des nouvelles rames de métro !

    La ministre bruxelloise de la Mobilité a reconnu cette semaine au Parlement bruxellois l’ampleur du problème des nuisances sonores et vibratoires causées par les nouvelles rames de métro « M7 » sur les lignes 1 et 5 suite à une question posée par la Députée libérale Aurélie Czekalski.

    Depuis début 2022, des riverains d’Anderlecht, Molenbeek, Woluwe et Auderghem se plaignent de vibrations et de bruits qui perturbent leur quotidien. Ces nuisances sont causées par des roues défectueuses sur les nouvelles rames, qui s’usent plus rapidement que prévu et provoquent des chocs avec les rails.

    La STIB, la société de transport public de la Région bruxelloise, a mis en place plusieurs mesures pour atténuer les nuisances, notamment un système de détection des roues défectueuses et un programme de remplacement des roues. Cependant, ces mesures n’ont pas été suffisantes pour satisfaire les riverains, qui restent excédés et fâchés.

    La situation est invivable pour les riverains, qui sont au bout du rouleau. Il faut urgemment mettre en place des mesures pérennes pour stopper ces nuisances. Les riverains attendent des mesures concrètes de la part de la STIB et du Gouvernement bruxellois. Ils demandent notamment le remplacement rapide de toutes les roues défectueuses et l’indemnisation des personnes qui ont subi des dommages.

    « Je sens vraiment chaque métro passer », « Je commence à souffrir physiquement. Je sens le métro le matin quand je suis dans mon lit et mon cœur bat beaucoup plus vite lorsque cela tremble! », « La Ministre ne fait rien du tout. Silence radio du côté de la STIB! »,… Tels sont les témoignages que nous avons encore reçus il y a quelques jours.

    Au sein du groupe MR au Parlement bruxellois et avec l’appui des élus locaux des différents communes impactées, nous continuerons à suivre ce dossier de près et à être aux côtés des habitants.

     

    📰 Retour presse dans la Dernière Heure de ce 9 janvier: https://www.dhnet.be/regions/bruxelles/bruxelles-mobilite/2024/01/09/elke-van-den-brandt-reconnait-larrivee-des-metros-m7-a-fait-augmenter-le-taux-de-nuisance-pour-les-riverains-de-facon-disproportionnee-Q6FQTUFI4ZDUPE7C6EYUNY4I6U/

    🔗 Compte-rendu des échanges en commission mobilité au Parlement bruxellois la question, cfr pages 10 à 13 : http://weblex.irisnet.be/data/crb/biq/2023-24/00046/images.pdf

  • Plus d’inclusivité pour les PMR

    Plus d’inclusivité pour les PMR

    Une société plus inclusive passe aussi par une accessibilité numérique effective pour toutes et tous. Nous ne devons laisser personne au bord du chemin, ni ajouter du handicap au handicap. Cela va de pair avec la mise à disposition d’itinéraires accessibles aux PMR.

    Les investissements pour cette nouvelle app’ sont importants: €14 millions et €605.000 en frais de marketing et communication. A l’heure où les finances bruxelloises ne sont pas au beau fixe, ces investissements sont conséquents et l’application est perfectible. Celle-ci doit démontrer sa réelle plus-value par rapport à d’autres déjà existantes sur le marché.

    Il y a encore du pain sur la planche de la Ministre bruxelloise de la mobilité (Groen).

    Plus d’infos dans La Capitale.

  • Politique de l’énergie du Gouvernement bruxellois, un budget qui manque d’ambitions.

    Politique de l’énergie du Gouvernement bruxellois, un budget qui manque d’ambitions.

    Le Gouvernement bruxellois ne s’est pas donné les moyens de pouvoir en faire plus ! Tel est le constat des députées Aurélie Czekalski et Viviane Teitelabaum lors des débats budgétaires.

    La Région bruxelloise s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de transition énergétique. Elle souhaite réduire ses émissions de CO2 de 47% d’ici 2030 et atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050.

    Pour atteindre ces objectifs, il est nécessaire de rénover massivement le parc immobilier bruxellois. En effet, les bâtiments résidentiels et non résidentiels sont responsables de près de 70% des émissions de CO2 de la Région.

    Mais comment et qui va financer cette transition énergétique ?

    Le Gouvernement bruxellois a prévu un budget de 1,5 milliard d’euros pour la rénovation des bâtiments. Ce budget est insuffisant pour atteindre les objectifs fixés.

    En effet, il faudrait rénover 50 immeubles par jour pour atteindre un taux de rénovation de 3 à 5% d’ici 2030.

    À l’heure actuelle, le Gouvernement bruxellois n’a pas adopté de plan d’actions ni de feuille de route claire pour la rénovation des bâtiments. Il n’a pas non plus défini de priorités pour orienter les investissements vers les bâtiments les plus énergivores.

    De plus, le budget des primes à la rénovation a été épuisé en 2023. Les citoyens qui ont introduit un dossier doivent donc attendre d’être remboursés par la Région.

    L’urgence est d’adopter une véritable stratégie coordonnée pour la rénovation des bâtiments.

    Sans vision commune, la transition énergétique bruxelloise est vouée à l’échec. Il est grand temps de changer de recette !

  • Primes de rénovation à Bruxelles : un retard préoccupant

    Primes de rénovation à Bruxelles : un retard préoccupant

    L’attente des primes de rénovation à Bruxelles continue de susciter des inquiétudes parmi les propriétaires bruxellois. Alors que la stratégie Renolution de la Capitale promet une réduction de la consommation énergétique des bâtiments d’ici 2050, de nombreux ménages ont été séduits par l’idée de recevoir des primes pour leurs efforts en matière de rénovation. Cependant, le système de primes géré en partie par Urban.brussels est actuellement en difficulté, laissant de nombreuses personnes en attente de paiement.

    Urban.brussels gère seulement 20 % des dossiers de primes, mais elle lutte depuis des mois en raison de manque de budget. Bien que le budget ait été augmenté en juillet dernier, les 25,6 millions d’euros alloués ne semblent toujours pas suffire pour soutenir efficacement les propriétaires bruxellois dans leur processus de rénovation. En moyenne, chaque dossier de rénovation reçoit une prime de 6 000 euros.

    J’ai souligné l’importance de rassurer les Bruxellois quant à l’obtention des primes. J’ai posé des questions cruciales sur la nécessité de renflouer régulièrement les caisses d’Urban.brussels et sur les mesures prévues pour éviter que ce problème ne se reproduise à l’avenir.

    J’estime que la gestion des primes de rénovation à Bruxelles est un échec, laissant les Bruxellois dans l’incertitude. Je rappelle que la planification est essentielle en matière de gouvernance et qu’à Bruxelles, il semble y avoir un manque de prévoyance.

    Environ 2 000 demandes de primes de rénovation sont encore attendues cette année, et la pression sur le système de primes ne montre aucun signe de réduction. Les propriétaires bruxellois continuent de faire face à des incertitudes quant à l’obtention de leurs primes, ce qui remet en question la viabilité du programme de rénovation dans la capitale belge.

    Plus d’infos dans La Libre

  • Encore trop d’agressions la STIB

    Encore trop d’agressions la STIB

    Les chiffres sont en hausse : 1230 interventions ! La STIB tire la d’alarme. Ses agents sont agressés, les usagers de la STIB ont peur. Malgré les dispositifs installés, les témoignages persistent. Il est temps que le Gouvernement bruxellois se bouge !

    Qu’en pensez-vous ? Quel est votre ressenti ?

    Plus d’infos dans La Capitale.

  • L’accès à l’eau, un droit fondamental qui doit être garanti à toutes et tous

    L’accès à l’eau, un droit fondamental qui doit être garanti à toutes et tous

    Les députées bruxelloises MR Aurélie Czekalski et Viviane Teitelbaum ont déposé en juin dernier une proposition de résolution visant à garantir l’accessibilité tarifaire de l’eau à Bruxelles. Cette initiative est essentielle pour préserver l’accès équitable à l’eau, un bien de première nécessité, tout en tenant compte des coûts environnementaux et de la ressource. Ce texte sera débattu ce mercredi 13 décembre au Parlement bruxellois.

    La demande d’augmentation tarifaire de Vivaqua, approuvée par Brugel en février dernier, permet à l’opérateur d’assurer un niveau minimal de financement pour les investissements nécessaires au maintien d’un service de qualité en eau. Cependant, elle ne suffit pas à résoudre les problèmes de sous- financement chronique auxquels Vivaqua est confrontée depuis quelques temps.

    En octobre dernier, la Directrice générale de Vivaqua est venue faire le point au Parlement bruxellois quant à la situation financière de son institution. Vivaqua ne pourra bientôt plus assurer ses nombreuses missions que sont la production et la distribution d’eau ainsi que la construction de bassins d’orages et la gestion du réseau d’égouttage en Région bruxelloise.

    Dans ce contexte, les deux députées estiment qu’il est temps d’œuvrer à la rationalisation dans le partage des investissements entre les opérateurs de l’eau, notamment en matière de lutte contre les inondations, comme les bassins d’orage qui relèvent aujourd’hui, dans la pratique, tant de VIVAQUA que d’Hydria.

    Contrairement à d’autres structures publiques qui reçoivent une dotation, VIVAQUA, qui agit sur toute la chaine d’approvisionnement de l’eau, doit se procurer ses recettes quasi intégralement sur le prix de l’eau, prix sur lequel l’opérateur a un pouvoir de fixation très limité.

    Afin de disposer des garanties de transparence et d’objectivation des besoins financiers des opérateurs de l’eau, garanties nécessaires pour déterminer l’éventuel niveau d’intervention régionale, les deux députées demandent au Gouvernement bruxellois de réaliser au plus vite l’analyse de la rationalisation du secteur de l’eau qui doit permettre d’identifier les rôles et les responsabilités de chaque acteur de l’eau, les coûts liés à l’eau et les sources de financement de différents services, les synergies envisageables,… Le tout dans une optique d’optimisation et d’assainissement des charges financières de Vivaqua.

    « L’eau est un bien public essentiel, qui doit être accessible à toutes et tous. Nous devons nous assurer que Vivaqua dispose des moyens nécessaires pour assurer un service de qualité en eau, tout en garantissant l’accessibilité tarifaire de l’eau. C’est pourquoi nous proposons que la Région de Bruxelles- Capitale prenne en charge une partie du financement des investissements nécessaires à l’approvisionnement en eau et à la gestion des services liées à l’utilisation de l’eau actuellement assumés par Vivaqua. Cette intervention publique est essentielle pour garantir l’avenir de l’eau à Bruxelles », déclarent Aurélie Czekalski et Viviane Teitelbaum.

    Lien vers la proposition de résolution visant l’assainissement des charges financières de Vivaqua en vue de garantir le principe d’accessibilité tarifaire de l’eau et l’exécution des investissements assurants le maintien d’un approvisionnement de qualité en eau: http://weblex.irisnet.be/data/crb/doc/2022-23/148257/images.pdf

  • « Il faut réduire le train de vie des pouvoirs publics bruxellois »

    « Il faut réduire le train de vie des pouvoirs publics bruxellois »

    La grande interview de la députée Aurélie Czekalski. Elle y parle « bilan » du Gouvernement bruxellois, d’efficacité des politiques menées mais aussi des priorités du Mouvement réformateur en mobilité, sécurité, énergie, formation/emploi,…

    Un MR Bruxelles aux côtés de Georges-Louis Bouchez et de David Leisterh renforcé, sur le terrain à l’écoute des Bruxellois!

    Article complet dans l’Echo.