Catégorie : Aurélie Czekalski

  • Comprendre les défis des télécoms à Bruxelles

    Comprendre les défis des télécoms à Bruxelles

    Cette semaine, la Députée bruxelloise Aurélie Czekalski a participé au « Voka Zomerstage » organisé chez Orange Belgium.

    Suivant ces dossiers de près depuis le début de la législature au Parlement bruxellois, cette immersion de terrain m’a permis de mieux appréhender les réalités technologiques, économiques et réglementaires d’un secteur essentiel.

    La journée a été riche en échanges sur des enjeux stratégiques tels que la cybersécurité, le déploiement de la fibre optique et de la 5G ou encore les défis liés à la réglementation (normes d’émission, urbanisme, coordination des chantiers). Face aux évolutions rapides et aux contraintes multiples, le secteur doit constamment s’adapter, innover et rester compétitif.

    Au programme :

    • visite du centre de commande et de supervision (lieu hautement sensible),
    • échanges approfondis sur les enjeux politiques et économiques des télécoms,
    • présentation des réseaux fixes et mobiles,
    • visite de terrain à Ixelles pour observer concrètement le déploiement de la fibre dans les quartiers bruxellois.

    Orange Belgium prépare l’avenir en convertissant progressivement le réseau HFC (hybride fibre-coaxial) en fibre optique dans les zones densément peuplées. L’entreprise explore également des solutions satellitaires pour les zones moins couvertes, renforçant ainsi la connectivité pour toutes et tous.

    Les équipes ont aussi insisté sur l’importance du dialogue avec les riverains lors des travaux : une communication claire est indispensable pour assurer l’adhésion et limiter les nuisances.

    Cette expérience de terrain constitue un apport précieux pour mieux comprendre les défis d’un secteur technologique qui joue un rôle central dans l’avenir de Bruxelles et de la Belgique.

    Un grand merci à René Konings (Voka Metropolitan) pour l’organisation, ainsi que France Vandermeulen et Henry Maes (Public Affairs, Orange Belgium) pour leur accueil et la qualité de nos échanges. Chaque été, les Voka Zomerstages permettent aux parlementaires de passer une journée en immersion dans une entreprise. Ces rencontres renforcent le lien entre le monde politique et le monde économique, en rendant les dossiers parlementaires plus concrets et en ouvrant un espace d’échanges d’idées. Plus de 100 élus participent, preuve de l’intérêt croissant pour cette initiative unique.

  • À la découverte du Parlement bruxellois avec les Députées Aurélie Czekalski et Aline Godfrin

    À la découverte du Parlement bruxellois avec les Députées Aurélie Czekalski et Aline Godfrin

    Ce mardi soir, les citoyens et citoyennes de la Région bruxelloise ont eu l’occasion de franchir les portes du Parlement bruxellois pour une visite exceptionnelle de l’institution, co-organisée par les Députées libérales Aline Godfrin et Aurélie Czekalski.

    Guidés au fil des salles, les participants ont pu découvrir pendant près d’une heure les coulisses de l’assemblée : les salles de réception historiques, dont certaines datent du XVIIIe siècle, les salles de commission et, bien entendu, l’hémicycle, le cœur de la démocratie régionale bruxelloise. Ce fut également l’occasion de mieux comprendre le fonctionnement du Parlement régional, ses compétences législatives, ainsi que le rôle des Députés dans l’élaboration des politiques publiques.

    La visite s’est poursuivie par un moment convivial autour d’un verre de l’amitié, au cours duquel les discussions se sont poursuivies sans filtre, notamment sur les enjeux de sécurité et de qualité de vie dans les différents quartiers.

    Aline Godfrin, Présidente de la commission des Affaires intérieures, a ainsi évoqué les enjeux liés à la sécurité publique, notamment dans le contexte du projet de fusion des zones de police en Région bruxelloise. Elle est également revenue sur les récents travaux de la commission, qui se sont concentrés sur la lutte contre le trafic de drogues et les violences que ces activités illégales génèrent ainsi que la prise en charge des assuétudes. À la rentrée, les travaux de la commission reprendront avec le suivi de la résolution relative à la relation entre les citoyens, singulièrement les jeunes bruxellois, et la police, avec plusieurs visites de terrain et auditions parlementaires.

    De son côté, Aurélie Czekalski, Présidente de la commission de l’Environnement et de l’Énergie, a abordé plusieurs problématiques environnementales, notamment la gestion des déchets, la lutte contre la malpropreté au sein de notre Région ou encore la lutte contre le réchauffement climatique. Elle a également insisté sur l’importance de porter une écologie tournée vers des solutions, pragmatique et accessible à toutes et tous : l’écologie ne peut être punitive. Les ménages ne doivent pas être sanctionnés mais accompagnés dans la transition, avec des dispositifs lisibles, accessibles financièrement et justes socialement.

    Enfin, les participants ont également partagé leurs réflexions sur la situation politique actuelle et l’absence de gouvernement en Région bruxelloise.

    Des échanges riches et directs, à l’image de la démocratie que nous défendons.

    Venues des quatre coins de la Région bruxelloise, les personnes présentes ont témoigné un intérêt vif et sincère pour la politique régionale et pour le travail des parlementaires. Ce type de moment d’ouverture et de dialogue incarne pleinement l’esprit du MR : proximité, transparence, et engagement au service des Bruxelloises et des Bruxellois.

    Cette visite fut une belle réussite, tant sur le plan de la participation que de la qualité des échanges. D’autres rendez-vous de ce type seront organisés à la rentrée. N’hésitez pas à prendre contact pour de plus amples informations aux adresses suivantes : aurelie.czekalski@mrbruxelles.com et amd.godfrin@gmail.com.

  • Accord au Bureau du Parlement bruxellois : une modernisation ambitieuse au service de la sobriété budgétaire

    Accord au Bureau du Parlement bruxellois : une modernisation ambitieuse au service de la sobriété budgétaire

    Le Bureau du Parlement bruxellois a adopté ce jour une série de décisions visant à moderniser le fonctionnement de l’institution tout en contribuant significativement à l’effort budgétaire régional. Cet accord inédit réunit plusieurs familles politiques autour d’un objectif commun : garantir une gestion plus sobre, plus efficace et plus transparente.

    Les mesures adoptées prévoient notamment une réduction de 10 % des dépenses de fonctionnement à l’horizon de la fin de la législature, une révision des barèmes du personnel uniquement pour les nouveaux engagements et dans le respect du dialogue social, une digitalisation complète des procédures internes, ainsi qu’un gel temporaire de la cotisation à la caisse de retraite parlementaire. Une diminution de 5 % des revenus des députés a également été actée afin de s’aligner sur le niveau de rémunération en vigueur à la Chambre fédérale. Par ailleurs, l’indemnité parlementaire de sortie sera réduite de deux à un an. Des économies substantielles seront aussi dégagées par la suppression d’avantages obsolètes et une meilleure utilisation des ressources existantes.

    Cette réforme structurelle reflète une volonté politique partagée d’exemplarité et de responsabilité. Elle permettra au Parlement bruxellois d’inscrire sa gouvernance dans un cadre durable, moderne et rigoureux, tout en préservant l’intégrité de ses missions démocratiques.

    Clémentine Barzin (MR) : « Cette réforme est une réponse concrète à une exigence que nous partageons tous : celle d’une gestion exemplaire de l’argent public. Nous avons voulu poser des actes clairs, qui conjuguent rigueur, transparence et adaptation aux réalités de notre temps. Je me réjouis du travail collectif et particulièrement des efforts de mes collègues Anne-Charlotte d’ursel et Aurélie Czekalski, membres du bureau du Parlement bruxellois pour le MR. »

    Lotte Stoops (Groen) :  » Nous réduisons le salaire des députés bruxellois et limitons les indemnités de sortie. Ainsi, nous envoyons un signal clair : en période de difficultés, les politiciens doivent aussi se remettre en question. »

    Mounir Laarissi (LE) : « Dans un contexte budgétaire régional particulièrement tendu, il est de notre devoir de montrer l’exemple. Cette note marque une étape forte : celle d’une institution qui accepte de s’appliquer à elle-même les efforts qu’elle demande aux Bruxellois. Réduction des dépenses, rationalisation des moyens, transparence… Ce sont des économies structurelles, mais aussi un signal clair : l’exemplarité commence par nous. »

    Martine Raets (VLD) : « Cinq partis se sont retrouvés dans le bureau du Parlement bruxellois pour élaborer ensemble l’exercice d’austérité que le Parlement bruxellois devait de toute façon faire : un compromis équilibré, sans tabou, sans exclusive aussi. C’est une bonne façon de travailler. Merci à toutes les parties impliquées et aux services du Parlement ».

    Mathias Vanden Borre (N-VA) : « Bruxelles est à l’arrêt depuis un an à cause de jeux politiques et d’un manque de volonté de travailler ensemble. Je me réjouis qu’avec cette réforme de l’institution parlementaire et nos propres remboursements auprès d’un certain nombre de partis, nous montrions qu’il y a bien une volonté d’aller de l’avant, de faire des choix et d’économiser sur notre propre fonctionnement. Que ce soit un signal des partis de bonne volonté pour aller de l’avant et aussi pour donner enfin à la Région de Bruxelles-Capitale les réformes dont elle a besoin et qu’elle mérite ».

    Cet accord marque une nouvelle étape dans la volonté des forces politiques bruxelloises de renforcer la confiance des citoyens envers leurs institutions. Par cet engagement collectif, le Parlement montre qu’il est possible de conjuguer maîtrise budgétaire, exigence démocratique et modernisation du service public. D’autres chantiers suivront dans cet esprit de responsabilité partagée.


    Akkoord over besparingen Brussels Parlement: een ambitieuze en budgettair verantwoorde modernisering

    Het Bureau van het Brussels Parlement heeft vandaag een reeks belangrijke beslissingen goedgekeurd die gericht zijn op de modernisering van de werking van de instelling, en tegelijkertijd een aanzienlijke bijdrage leveren aan de budgettaire inspanningen van het Gewest. Dit ongeziene akkoord brengt verschillende politieke families samen rond één gemeenschappelijk doel: zorgen voor een sober, efficiënt en transparant beheer.

    De goedgekeurde maatregelen voorzien onder meer in een vermindering van 10% van de werkingskosten van het parlement tegen het einde van de legislatuur, een herziening van de personeelsschalen, alleen voor nieuwe contracten en met inachtneming van de sociale dialoog, een volledige digitalisering van de interne procedures en een tijdelijke bevriezing van de bijdrage aan de parlementaire pensioenkas. Er is ook beslist om de lonen van de parlementsleden te verminderen met 5%, om deze zo in lijn te brengen met de lonen van de federale parlementsleden. Bovendien wordt de vertrekvergoeding van de parlementsleden ingekort van twee naar één jaar. Er zullen ook aanzienlijke besparingen worden gerealiseerd door het schrappen van achterhaalde voordelen voor parlementsleden en een beter gebruik van de bestaande middelen.

    Deze structurele hervorming weerspiegelt een gedeelde politieke wil tot voorbeeldigheid en verantwoordelijkheid. Ze zal het Brussels Parlement in staat stellen zijn beheer te verankeren in een duurzaam, modern en strikt kader, met respect voor de integriteit van zijn democratische opdracht.

    Clémentine Barzin (MR) : « Deze hervorming is een concreet antwoord op een eis die we allemaal delen: een voorbeeldig beheer van publieke middelen. We wilden duidelijke stappen zetten die zorgvuldigheid, transparantie en aanpassing aan de hedendaagse realiteit combineren. Ik ben verheugd over het collectieve werk en in het bijzonder over de inspanningen van mijn collega’s Anne-Charlotte d’Ursel en Aurélie Czekalski, leden van het Bureau van het Brussels Parlement voor de MR. »

    Lotte Stoops (Groen) : « We verminderen het loon van Brusselse parlementsleden en beperken de uittredingsvergoedingen. Zo geven we het duidelijke signaal dat politici in moeilijke budgettijden ook naar zichzelf moeten kijken. Bovendien maken we eindelijk komaf enkele achterhaalde voordelen die geen plaats hebben in een modern parlement. Goed bestuur begint in de eerste plaats bij de werking van de politiek zelf.

    Mounir Laarissi (LE) : « In een bijzonder gespannen budgettair klimaat op het niveau van het Gewest is het onze plicht om het goede voorbeeld te geven. Deze nota is een belangrijk moment: een instelling die bereid is zichzelf dezelfde inspanningen op te leggen als diegene die zij van de Brusselaars vraagt. Kostenbesparing, rationalisering van middelen, transparantie… Het gaat om structurele besparingen, maar ook om een duidelijk signaal: voorbeeldgedrag begint bij ons. »

    Mathias Vanden Borre (N-VA) : « Brussel staat één jaar stil door politieke spelletjes en een gebrek aan wil tot samenwerken. Ik ben verheugd dat we met deze hervorming van de parlementaire instelling en onze eigen vergoedingen met een aantal partijen tonen dat er wél bereidheid is om vooruit te gaan, keuzes te maken en te besparen op onze eigen werking. Laat dit een signaal zijn van partijen die van goede wil zijn om verder te gaan en ook het Brussels Hoofdstedelijk Gewest eindelijk de hervormingen te geven die het nodig heeft en verdient. »

    Martine Raets (VLD) : “Vijf partijen hebben elkaar in het bureau van het Brussels Parlement gevonden om samen de besparingsoefening die het Brussels Parlement hoe dan ook moest doen, uit te werken: een evenwichtig compromis, zonder taboes, zonder exclusieve ook. Het is een goede, en vooral de juiste, manier van werken. Dank aan alle betrokken partijen en de diensten van het parlement”.

    Dit akkoord markeert een nieuwe stap in de gezamenlijke wil van de Brusselse politieke krachten om het vertrouwen van de burgers in hun instellingen te versterken. Met dit collectieve engagement toont het Parlement dat het mogelijk is om budgettaire discipline, democratische eisen en modernisering van de publieke dienstverlening met elkaar te verzoenen. Verdere hervormingen zullen volgen in dezelfde geest van gedeelde verantwoordelijkheid.

  • Aurélie Czekalski défend le report de la LEZ sur BX1

    Aurélie Czekalski défend le report de la LEZ sur BX1

    Ce jeudi, Aurélie Czekalski, Députée bruxelloise, était l’invitée de l’émission +d’Actu sur BX1 pour débattre du report d’un des jalons de la Zone de Basses Émissions (LEZ – Low Emissions Zone) concernant certains types de véhicules en Région bruxelloise.

    Favorable à ce report, elle a rappelé l’importance de trouver un juste équilibre entre les impératifs environnementaux et la réalité économique et sociale des Bruxelloises et des Bruxellois. L’amélioration de la qualité de l’air est un priorité pour le MR bruxellois et nous ne remettons pas en cause le principe de la  LEZ mais il faut permettre à chacune et à chacun d’avoir le temps de s’adapter à ces nouvelles restrictions. Le report de cette phase de la LEZ est nécessaire car il est beaucoup trop strict et ne contient pas de mesures d’accompagnement pour éviter de pénaliser les personnes qui n’ont pas les moyens de remplacer leur véhicule.

    Pour elle, la LEZ est une partie de la solution mais elle ne suffira pas à elle seule à diminuer les émissions de gaz à effet de serre (GES) en Région bruxelloise. Pour accélérer la transition énergétique de notre Région, le déploiement de la zone de basses émissions doit aller de pair avec la rénovation des bâtimentsresponsables de plus de 60% des émissions de CO2, un réseau de transports en commun sûrs, rapides et propres à tout moment de la journée/soirée, des alternatives en matière de la mobilité douce, un réseau efficace de bornes publiques de recharge,…

    Il est essentiel d’accompagner les citoyens et les entreprises dans cette transition, plutôt que de les pénaliser brutalement. Le MR continue de plaider pour une politique environnementale pragmatique, qui tienne compte du pouvoir d’achat et des alternatives de mobilité réellement accessibles à toutes et tous.

    Lien vers l’intégralité du débat : https://bx1.be/emission/report-de-la-zone-basses-emissions-risque-pour-la-sante/?theme=classic

  • Enfin une action contre les nuisances des métros M7 avec une réduction de vitesse sur le tronçon le plus bruyant

    Enfin une action contre les nuisances des métros M7 avec une réduction de vitesse sur le tronçon le plus bruyant

    Depuis la mise en service des nouvelles rames de métro M7, les nuisances sonores et vibratoires sur la ligne 1 ont suscité de nombreuses plaintes de la part des riverains. Malgré des mesures mises en place par la STIB, comme un reprofilage plus fréquent des roues, les nuisances persistent, particulièrement la nuit, transformant le quotidien des habitants en un véritable calvaire.

    Récemment, Ombuds Bruxelles a émis une série de recommandations à l’attention de Bruxelles Environnement, de la STIB et du Gouvernement bruxellois. Parmi celles adressées à la STIB, figure notamment la réduction de la vitesse des métros sur les tronçons les plus problématiques, une mesure essentielle pour limiter les nuisances. Le tronçon Montgomery-Tomberg est le plus touché par les nuisances sonores et vibratoires compte tenu d’une usure anormale des roues des M7. Face à ces problèmes, le groupe MR au Parlement bruxellois interpelle depuis des années les autorités régionales en relayant les préoccupations de nombreux riverains.

    Amélie PANS a questionné la ministre Elke Van den Brandt ce vendredi au Parlement bruxellois. En réponse, la ministre a confirmé que la STIB s’est engagée à tester quelques jours une réduction de la vitesse des métros M7 entre 22h et 7h sur le tronçon Montgomery-Tomberg afin d’en évaluer l’impact sur les nuisances sonores et vibratoires subies par les riverains.

    « En tant que parlementaire mais aussi conseillère communale à Woluwe-Saint-Lambert, je suis soulagée de voir ce dossier avancer après tant de signalements et de plaintes déposées. Cette phase test est un premier pas, mais elle doit être mise en œuvre sans délai. Les riverains ne peuvent plus attendre », déclare Amélie PANS.

    Aurélie CZEKALSKI députée MR qui suit ce dossier depuis 2022 au Parlement bruxellois, ajoute : « Je salue le rôle positif et constructif de la ministre Van den Brandt dans ce dossier qui entend la détresse des riverains et met en place une phase test de réduction de vitesse sur ce tronçon problématique. Le MR aurait cependant voulu que la vitesse soit diminuée jusqu’à l’obtention du rapport définitif du test. Si le test conclue à des vibrations moindres, nous attendons de la STIB une réduction de la vitesse jusqu’à ce que ce problème soit résolu de manière pérenne.”

    Pour les Députées MR : “C’est enfin une première mesure concrète, mais trois jours de test, c’est dérisoire ! Les riverains subissent ces nuisances depuis trop longtemps, et il est inacceptable de se contenter d’une période de réduction de vitesse aussi courte pour un problème aussi grave. Le MR déplore ce délai et exige que cette réduction de vitesse soit maintenue tant qu’aucune solution définitive n’est trouvée. La STIB doit assumer ses responsabilités sociétales et cesser de tergiverser. »

  • Le secteur HoReCA a remporté une avancée

    Le secteur HoReCA a remporté une avancée

    Ce vendredi, le parlement bruxellois débattait du projet du gouvernement sortant (PS-Ecolo-Défi) visant notamment à pérenniser des mesures de sobriété énergétique mises en place au moment de la crise de l’énergie. Au menu : l’interdiction des chaufferettes sur les terrasses, obligation de fermer les portes des commerces et d’éteindre les lumières pendant la nuit.

    Pas du ressort des affaires courantes

    Clémentine Barzin et Aurélie Czekalski ont marqué très tôt leur opposition : de telles mesures ne sont pas du ressort d’un gouvernement en affaires courantes, elles devraient être évaluées dans un cadre global de mesures d’accompagnement et de soutien aux indépendants de notre région, et, surtout, les commerçants, qui subissent encore les effets des crises, n’ont pas besoin de nouvelles contraintes.

    Manque de concertation

    Autre critique, le manque de concertation par le gouvernement. C’est pourquoi, avec Ludivine de Magnanville, Le Groupe MR a rencontré les fédérations ces derniers jours pour voir comment on pouvait tenter d’assouplir le texte. C’est dans ce cadre que la fédération Horeca, représentée par son président Matthieu Léonard, a défendu un amendement concernant l’interdiction des chaufferettes, afin de lever cette interdiction pour les chaufferettes électriques, moins émettrices de gaz à effets de serre.
    Grâce à son travail de conviction, soutenu par notre travail parlementaire, cette proposition a obtenu une majorité de votes hier soir. Conclusion : les chaufferettes au gaz seront autorisées jusqu’en juin 2026, au-delà les chaufferettes électriques pourront continuer à être utilisées.
    Le MR aurait préféré retirer toutes ces dispositions de contraintes mais nous n’avions pas réussi à obtenir de majorité à ce sujet en commission il y a 10 jours. Aujourd’hui, c’est néanmoins à un assouplissement très concret que nous avons pu aboutir pour les cafés et restaurants. Bravo à l’Horeca bruxellois pour cette avancée!
  • Il est temps de sortir de l’impasse politique à Bruxelles !

    Il est temps de sortir de l’impasse politique à Bruxelles !

    La députée bruxelloise Aurélie Czekalski était l’invitée de l’émission « Les Experts » diffusée sur BX1 ce samedi. L’occasion de parcourir l’actualité politique : absence de Gouvernement bruxellois, transition énergétique et climatique, zone de basses émissions…


    Report de la LEZ

    Concernant le report de la phase de la zone de basses émissions, certaines associations ont émis des critiques quant au texte adopté en octobre dernier au Parlement bruxellois. Aurélie Czekalski a rappelé que la volonté des législateurs et de l’ordonnance bruxelloise était claire : un report de deux années pour les véhicules Euro 5 et Euro 2. C’est dans cet esprit que le texte a été voté par les parlementaires et qu’il est appliqué par les autorités régionales. Elle a aussi rappelé les raisons de ce report à 2027, avec l’importance de limiter l’impact social et économique pour de nombreux ménages défavorisés, dépendant de véhicules plus anciens et qui n’ont pas les moyens financiers de changer de véhicule. Ce report leur offre une transition progressive.

    Dispositions Énergie/Climat

    « Les Experts » se sont penchés sur un récent débat parlementaire relatif à diverses dispositions en matière d’énergie et de climat, avec notamment des mesures relatives à la sobriété énergétique impactant les commerces et l’HoReCa bruxellois. La députée a regretté la tournure des échanges prise au Parlement : « Nous sommes dans un contexte d’affaires courantes, où le ministre bruxellois sortant vient avec de nouvelles mesures sans véritable concertation avec les représentants du secteur. Or, la situation socio-économique bruxelloise est alarmante : faillites, réorganisations judiciaires, dissolutions, etc. Il y a quelques jours à peine, le président du tribunal francophone de l’entreprise tirait la sonnette d’alarme. »

    Il est important de rappeler que l’HoReCa joue un rôle essentiel à Bruxelles. Il crée de la convivialité. C’est aussi un secteur pourvoyeur de nombreux emplois. Et nous devons le soutenir. Le MR ne s’oppose pas à des mesures de sobriété énergétique, mais il y a des mesures de bon sens qui peuvent être prises par les acteurs de terrain eux-mêmes. C’est de la responsabilité de chacun. Ces acteurs, qui font tourner notre Région, n’ont pas besoin de sanctions, ni de contraintes supplémentaires vu les difficultés quotidiennes rencontrées.

    Le groupe MR a voulu retirer les articles problématiques qui pourraient être débattus ultérieurement à la table des négociateurs bruxellois dans le cadre d’un plan global d’accompagnement aux commerces et à l’HoReCa bruxellois. La main a été tendue aux autres partenaires politiques, mais les amendements du MR bruxellois ont été rejetés.

    Concernant l’isolation et la rénovation du bâti bruxellois, Aurélie Czekalski a rappelé sur le plateau de BX1 l’importance d’avoir un Gouvernement de plein exercice pour rassurer le secteur de la construction, mais aussi accompagner les citoyens dans leurs travaux. La rénovation est l’une des priorités du MR. Pour rappel, le bâti est responsable de plus de 60 % des émissions de CO2 en Région bruxelloise.

    Formation du Brugov

    Enfin, Aurélie Czekalski a insisté sur l’urgence de former un gouvernement bruxellois pour faire face aux défis socio-économiques et environnementaux de la Région. La relance économique, la maîtrise de la dette et du déficit, la rénovation du bâti, responsable d’une part importante des émissions de CO2, la sécurité, la propreté, etc doivent être des priorités.

    Extraits vidéos ici.

  • Dispositions diverses énergie / climat :  Le Groupe MR regrette le manque de constructivité

    Dispositions diverses énergie / climat : Le Groupe MR regrette le manque de constructivité

    Le groupe MR regrette la tournure des débats parlementaires prise ce mercredi en commission environnement au Parlement bruxellois concernant le projet d’ordonnance modifiant diverses dispositions en matière d’énergie, de climat et en matière de déchets.

    Si nous pouvons saluer en très grande partie les ambitions climatiques portées par cette ordonnance, elle n’est pas sans poser de véritables défis économiques, sociaux et administratifs pour notre Région, nos entreprises et nos citoyens. Et nous regrettons que des mesures liées à la « sobriété énergétique » impactant l’HORECA et les commerces bruxellois aient été incluses dans ce paquet des dispositions, des mesures qui pourraient être débattues et décidées ultérieurement par un Gouvernement de plein exercice.

    Ces mesures avaient été mises en place dans un contexte de crise énergétique où les prix de l’énergie avaient explosé. Même si aujourd’hui nous subissons encore les effets de la crise énergétique, notre Région connait malheureusement un nombre important de faillites, de dissolutions et de procédures de réorganisation judiciaire. Il y a quelques jours, le président du tribunal de l’entreprise francophone de Bruxelles tirait la sonnette d’alarme quant à la dégradation du tissu économique bruxellois. Des chiffres de faillites jugés « affolants ».  Selon le président du tribunal de l’entreprise de Bruxelles, notre Région fait face à une hausse de 15% des faillites en 2024 (7% au niveau national) : « Aux 1.500 faillites d’entreprises bruxelloises francophones et aux 400 néerlandophones, il faut ajouter 764 dissolutions au total pour l’année écoulée. Si ça continue au rythme actuel, on en aura 1.600 en 2025 » A cela s’ajoutent 208 dossiers de procédures de réorganisation judiciaire (PRJ) en 2024 ; et les défauts bancaires en augmentation.

    Pour notre groupe, il ne revient pas à un Gouvernement en affaires courantes de prolonger de telles les mesures prévues.

    Par l’intermédiaire des Députés Aurélie Czekalski, Gaëtan Van Goidsenhoven et de leur cheffe de groupe Clémentine Barzin, des amendements ont été déposés afin de retirer les articles liés à la sobriété énergétique. Ces articles visaient en effet à interdire l’usage des chaufferettes dans le secteur de l’HORECA, à instaurer une obligation de fermer les portes des commerces chauffés et à éteindre les lumières des établissements entre 23h et 6h.

    Pour le MR, ces amendements respectaient le principe des affaires courantes tout et prenant en considération les besoins des secteurs de l’Horeca et du commerce aujourd’hui, frappés par les différentes crises et qui n’ont pas besoin de contraintes ajoutées à leurs difficultés. C’était la voie de la sagesse et nous regrettons que les partis de la majorité sortante ne s’y soient pas inscrits de manière constructive.

    Pour le MR bruxellois, c’est au prochain Gouvernement de plein exercice, en collaboration avec les secteurs concernés, qu’il reviendra de prendre des mesures soutenant l’activité économique, tout en permettant à la fois de pouvoir respecter nos engagements climatiques sans pour autant condamner ces derniers.

    Quant à l’amendement déposé par ECOLO visant à postposer l’entrée en vigueur de l’interdiction des chaufferettes au 1er juin 2027, le MR s’interroge sur le fait que les signataires ne les aient pas maintenus et s’en sont volontairement tenus à une entrée en vigueur au 1er janvier 2026.

    Pour le MR, il s’agissait de tenir compte de la demande du secteur Horeca notamment de reporter, sans date, les nouvelles contraintes. Car où en sera l’économie bruxelloise dans 1 ou 2 ans ? Peut-on aujourd’hui être certain que la situation, après deux crises majeures, sera totalement rétablie ?

    Le MR regrette encore que, tel qu’il le proposait, aucune mesure visant à supprimer les sanctions imposées dans l’ordonnance et aucune mesure d’assouplissement des nouvelles contraintes vis-à-vis du secteur des commerces n’aient pu faire consensus avec la majorité sortante.

    « Le MR a été largement soutenu par les électeurs en juin dernier, c’est pour peser entre autres en faveur de l’activité économique, pas le contraire, c’est cela la différence que nous voulons apporter à Bruxelles », concluent les députés libéraux.

    Le groupe MR a donc voté contre les articles relatifs à la sobriété énergétique du projet d’ordonnance et concernant le projet d’ordonnance. Les débats parlementaires se poursuivront lors de la prochaine séance plénière du Parlement bruxellois.

  • 21 députés pour déployer une autre politique

    21 députés pour déployer une autre politique

    Le Mouvement réformateur est la première force politique du Parlement bruxellois. Avec 21 députés, les libéraux auront à coeur de défendre une politique autre que celle qui a été faite par le passé. Dans nos rangs, 12 députés étaient déjà présents lors de la précédente législature.  Retrouvez ci-dessous de qui il s’agit et dans quelles commissions ils exercent :

    • David Leisterh – Chef de Groupe au Parlement bruxellois
      • PRB : Finances
      • Cocof / Cocom : /
    • David Weytsman – Chef de Groupe adjoint au Parlement bruxellois
      • PRB : Mobilité
      • Cocof / Cocom : Affaires Bicom
    • Clémentine Barzin
      • PRB : Affaires économiques
      • Cocof / Cocom : Enseignement, Cion spéciale du Budget et du compte du Parlement (PFB),
    • Geoffroy Coomans de Brachène
      • PRB : Développement territorial (2e VP), Questions européennes, Environnement
      • Cocof / Cocom : Affaires sociales, de la Famille et de la Santé, Santé & aide aux personnes (1er VP)
    • Aurélie Czekalski
      • PRB : Mobilité, Environnement
      • Cocof / Cocom : Affaires Bicom (Présidente), Affaires Générales, Cohésion sociale et Infrastructures sportives,
    • Ariane de Lobkowicz
      • PRB : Égalités des chances
      • Cocof / Cocom : /
    • Vincent De Wolf
      • PRB : Finances, Affaires Intérieures (Président), Logement
      • Cocof / Cocom : /
    • Anne-Charlotte d’Ursel
      • PRB : Développement territorial, Mobilité,
      • Cocof / Cocom : Affaires sociales, de la Famille et de la Santé
    • Sadik Köksal
      • PRB : Développement territorial, Affaires Bicom, Questions européennes (3e VP),
      • Cocof / Cocom : Affaires Générales, Cohésion sociale et Infrastructures sportives,
    • Bertin Mampaka
      • PRB : Questions européennes (Président), Environnement (Président)
      • Cocof / Cocom : Affaires Générales, Cohésion sociale et Infrastructures sportives (Président),
    • Françoise Schepmans
      • PRB : Logement
      • Cocof / Cocom : Affaires sociales, de la Famille et de la Santé, Santé & aide aux personnes
    • Gaëtan Van Goidsenhoven
      • PRB : Questions européennes, Environnement
      • Cocof / Cocom : Affaires Générales, Cohésion sociale et Infrastructures sportives,

    Neuf nouveaux libéraux ont été élus :

    • Loubna Azghoud
      • PRB : Égalités des chances, Affaires économiques
      • Cocof / Cocom : Cion spéciale du Budget et du compte du Parlement (PFB),
    • Kristela Bytyçi
      • PRB : Égalités des chances (3e VP), Budget et comptes du Parlement
      • Cocof / Cocom : Enseignement, Comité d’avis pour l’égalité des chances entre les hommes et femmes, Santé & aide aux personnes (2e VP)
    • Louis De Clippele
      • PRB : Développement territorial, Logement (3e VP)
      • Cocof / Cocom : /
    • Ludivine De Magnanville
      • PRB : Égalités des chances, Affaires économiques
      • Cocof / Cocom : Comité d’avis pour l’égalité des chances entre les hommes et femmes
    • Amin El Boujdaini
      • PRB : Affaires Intérieures, Budget et comptes du Parlement
      • Cocof / Cocom : Affaires Bicom, Santé & aide aux personnes
    • Aline Godfrin
      • PRB : Finances (1ère VP), Affaires Intérieures
      • Cocof / Cocom : Enseignement, Cion spéciale du Budget et du compte du Parlement (PFB)
    • Amélie Pans
      • PRB : Mobilité,
      • Cocof / Cocom : Affaires sociales, de la Famille et de la Santé, Cion spéciale du Budget et du compte du Parlement (PFB), Comité d’avis pour l’égalité des chances entre les hommes et femmes
    • Eleonore Simonet
      • PRB : Affaires Intérieures, Budget et comptes du Parlement, Logement
      • Cocof / Cocom :
    • Olivier Willocx
      • PRB : Finances, Affaires économiques (2e VP), Budget et comptes du Parlement (2e VP)
      • Cocof / Cocom : Enseignement, Comité d’avis pour l’égalité des chances entre les hommes et femmes
  • La propreté, le tri, le recyclage et la valorisation des matériaux : une exigence en Région bruxelloise !

    La propreté, le tri, le recyclage et la valorisation des matériaux : une exigence en Région bruxelloise !

    Aurélie Czekalski et David Leisterh étaient invités par Denuo à visiter le centre de tri de Renewi Forest le jeudi 28 mars 2024. Ce site est à la pointe du tri et de la valorisation des déchets, contribuant ainsi à la réduction des émissions de CO2.

    De telles initiatives doivent être encouragées et valorisées. Tout comme les partenariats entre le public et le privé, qui sont complémentaires en fonction des spécialisations de chacun.

    Les pouvoirs publics peuvent jouer un rôle de booster en harmonisant la réglementation entre les trois Régions de notre pays, en améliorant le système de collecte des déchets, en accentuant le contrôle du tri et en sensibilisant la population.

    N’oublions pas non plus le rôle des nouvelles technologies. Renewi utilise d’ailleurs l’intelligence artificielle pour faciliter le tri des déchets mais aussi la détection des bonbonnes de protoxyde d’azote, hélas de plus en plus présentes dans les poubelles.

    Agissons pour une approche circulaire et surtout pour une meilleure qualité de vie ! Le déchet d’aujourd’hui, c’est l’or de demain.

    Plus d’informations dans le programme du Mouvement Réformateur (MR) : https://www.mr.be/wp-content/uploads/2024/02/PROGRAMME-GEN-2024-1.pdf (p. 97-100).